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L’année 2010 placée sous le signe de la rupture en Algérie

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  • L’année 2010 placée sous le signe de la rupture en Algérie

    L’année 2010 est placée sous le signe de la rupture au sommet de l’Etat, avec le déchirement au sein du pouvoir qui a fait preuve de son insuffisance, voire de sa malsuffisance en Algérie.

    . Si le pouvoir use, et si le pouvoir absolu use absolument, l’absence du pouvoir au pouvoir use encore plus. Une confrontation frontale entre les deux institutions du pouvoir que sont le Président et l’ANP, concurrents et adversaires déclarés, séparés par des divergences stratégiques, s’annonce serrée. Dans cette équation complexe, il y a un paramètre peu quantifiable dont il faut tenir compte, le rapport de force. Nous vivons une période de blocage de la vie nationale, où dans ses profondeurs se prépare un orage ou peut-être une tempête, la coupe est pleine, c’est le ras-le-bol, une étincelle peut déclencher l’incendie, car on ne manie pas à la légère un détonateur, et personne n’est là pour faire le pompier. Où allons-nous ? On ne se parle plus.

    La politique aime l’odeur et le goût du sang, il faut les écarter. Un proverbe iranien dit : « Si l’on peut défaire le nœud avec les doigts, pourquoi y mettre les dents ? » Les grandes manœuvres vont commencer. A la prochaine réunion « des cadres de la Nation », le Président va rompre un silence calculé, et certainement dévoiler avec force, clarté et précision, dans un réquisitoire implacable soigneusement préparé, sa stratégie pour mobiliser la société civile en sa faveur, et surtout sa volonté non seulement de garder le pouvoir, mais de rester le maître du jeu, celui qui propose, dispose et décide.

    La réplique se fera dans l’autre camp, qui agira dans le domaine clé de la corruption de haut niveau qui rentre dans les mœurs, se développe, affecte tous les secteurs d’activité, même ceux imperméables à ce genre de pratique, et éclabousse l’entourage du Président. Alexandre Dumas disait : « Un bon courtisan peut, quand il est de race, d’avance 15 jours flairer sa disgrâce ». Chacun dans cette crise observe, se réjouit ou se désole. Il y a urgence à faire entendre la voix de la société civile, libérer ses énergies longtemps contenues par le pouvoir qui ne doivent pas observer la réalité du balcon, mais descendre sur le terrain. Il ne faut pas se croiser les bras en latitude stérile du spectateur, car la vie n’est pas un spectacle. La société doit participer au processus de prise de décisions, se préparer à une transition politique pour éviter le changement par la violence. Il y a des femmes et des hommes dont le peuple apprécie les qualités, qu’on doit rassembler autour d’une table pour que le crépuscule qui s’étend sur le système politique laisse entrevoir l’aube de la démocratie, de la liberté, de la justice et des droits de l’homme. Il faut se méfier des manipulateurs et des manipulés avides du sensationnel, qui prennent le train en marche et courent plus vite que la locomotive. L’ouverture et le renouveau sont indispensables.


    Le pouvoir s’est emparé de l’état qui dispose du peuple



    Il faut poser sur le Président et la fonction présidentielle qui est complexe, multiple et exigeante, le regard froid et impartial de l’objectivité : le président Abdelaziz Bouteflika qui est couvert de nombreuses cicatrices du passé, concentre entre ses mains la quasi-totalité du pouvoir qui s’est transformé au cours des années en monarchie républicaine. La verticale du commandement a fait du Président omniprésent, dominateur totalitaire, qui se croit propriétaire de l’Algérie et des Algériens, une sorte de pharaon au pouvoir illimité qui veut tout organiser, tout régenter, tout diriger, tout contrôler. Il a voulu le pouvoir puis tout le pouvoir, et jaloux de le conserver, l’exerce sans partage, non pas pour régler les contradictions en éliminant les contradicteurs. Il est à la fois chef de l’Etat et de l’exécutif, ministre de la Défense, a fait du gouvernement l’annexe de la Présidence, et du Parlement deux chambres d’enregistrement. Il a accentué la primauté présidentielle en fixant la marge d’action du Parlement selon le principe : « Vous devez faire ce que j’ai décidé que vous feriez. »

    Le Parlement n’est en réalité qu’une maison de retraite lucrative destinée aux cadres des trois partis de la coalition gouvernementale. Tous les postes-clés du gouvernement sont détenus par des hommes issus d’une même région, voire d’une seule wilaya. Les ministres qui ont sensiblement outrepassé leur crédit politique se maintiennent au-delà de leur utilité. Leur longévité n’est pas un facteur de stabilité, mais fabrique de la fragilité économique et de l’exaspération sociale. Tous s’évertuent à prévenir les désirs du Président pour gagner du grade ou prévenir la disgrâce. Le Président utilise les partis, les associations, leurs représentants comme le citron à qui il faut prendre le jus et jeter la peau. La justice a abdiqué ses pouvoirs constitutionnels pour se mettre à son service.

    Les cours de justice et les tribunaux ne sont pas des lieux où la justice est rendue, mais des instances politiques où le pouvoir politique juge non pas ses alliés mais ses adversaires. Les jugements et arrêts ne sont pas des opérations de justice mais des actes de justice, dans les affaires politiques et d’opinion, en fonction des consignes données par le pouvoir, par le ministre de la Justice et services de sécurité interposés. Quand la justice est bafouée, les libertés sont en danger. Il y a opacité dans la gestion des revenus du pétrole qui devait être le sang et la liberté du peuple algérien ; il y a gaspillage des fonds publics, incurie des institutions politiques et administratives, prédation de certains dirigeants qui ont rejoint les rangs fournis des prédateurs à l’effrayante curée que subit l’Algérie.

    La mascarade de certains procès prouve que la justice est aux ordres. Quand le pouvoir dit : « Une information judiciaire est ouverte, laissons donc la justice faire son travail et ne laissons pas la place aux rumeurs en cédant au sensationnalisme. » Cela veut dire, laissons le temps au temps qui fera oublier les malversations de certains en délicatesse avec la justice. J’ai remarqué que dans ces affaires de corruption, les journalistes, qui sont des hommes et des femmes de plume, d’enquêtes, de recherche de vérité, d’impartialité qui est leur mission et la fierté de leur métier, posent les questions qui fâchent, alimentent la nécessaire réflexion démocratique, ont rendu correctement les faits, avec la somme de sincérité et d’intégrité qui habitent ceux qui ont embrassé la laborieuse et austère profession du journalisme. Il y a en Algérie deux conceptions du journalisme mal séparées : le droit à la libre expression et à la libre critique, ainsi qu’à la diversité des opinions, qui est une liberté fondamentale, et le service du prince, qui relèvent tous deux de l’expérience, du travail et du talent.

    Le pouvoir a politisé le sport pour faire diversion et faire oublier au peuple la baisse de niveau de vie qui frappe les milieux populaires et moyens, le creusement des inégalités, les retraites de misère et la misère tout court. Le football est une force sociale que le pouvoir utilise pour mobiliser le peuple et particulièrement la jeunesse algérienne en sa faveur. Les conditions de vie de la population qui lutte durement pour sa survie se dégradent, les signes de détresse sociale s’accumulent, les grèves à répétition se succèdent et les grévistes sont traumatisés par les gestes brutaux d’un ordre fondé sur la force ; les émeutes surviennent à intervalles de plus en plus rapprochés. Le pouvoir incarne la brutalité de la répression, contrôle les manifestations dès le moindre développement. Est-ce que le monde du travail peut vivre, non survivre avec les salaires distribués.

    La distribution des richesses et des revenus est si inégale qu’elle viole les normes nominales de justice. Libéral en économie, conservateur sur le plan social, le gouvernement mène une politique de plus en plus antisociale. Une partie du peuple vit dans l’extrême pauvreté, végète dans la misère, et le pouvoir, qui n’a pas répondu à sa détresse et sa souffrance, donne encore plus à ceux qui avaient déjà trop, ce qui est le comble de l’injustice. Les Algériens ne croient pas à la fiabilité et à l’objectivité des statistiques sur l’inflation, le pouvoir d’achat, le chômage, le nombre de logements réalisés, manipulées à des fins politiques.

    Les dirigeants du pays, censés préparer l’avenir des citoyens, sont seulement préoccupés de leur propre avenir, de leur devenir et ne songent qu’à s’enrichir d’une manière effrénée au vu et au su de tout le monde.

  • #2
    Comment sortir de l’impasse en Algérie ?


    Le pouvoir vieillit, le pouvoir absolu vieillit absolument. Deux quinquennats hélas, trois quinquennats holà. Près d’un an après le début de son 3e mandat, le Président paraît dans l’impasse ; la fin du système politique instauré en 1962 se dessine à l’horizon, et on s’interroge sur la survie du pouvoir actuel. L’Algérie traverse une crise politique sérieuse. Le chef de l’Etat est plus un problème qu’une solution. De nombreuses questions se posent. Devant qui le Président est responsable et quelles sont les limites de son pouvoir ? Devant les décideurs de l’armée qui l’ont porté au pouvoir. De par les Constitutions, 5 en 48 ans d’indépendance peu appliquées, révisées et usées avant d’avoir servi, seul le peuple détient et confère la légalité et la légitimité. La fraude électorale, vieille tradition coloniale, amplifiée depuis l’indépendance du pays, bien intégrée dans les mœurs politiques du pays, est au rendez-vous de toutes les élections.

    Le Conseil constitutionnel valide le détournement du suffrage universel. Dans le monde arabe, il n’y a pas que les monarchies qui créent des dynasties. Après Bouteflika, qui ? Il n’est pas impossible qu’il murisse le projet de passer la main à son frère ; cette hypothèse est peu crédible. Le Président a-t-il la capacité d’exercer pleinement sa fonction ? Là se trouve peut-être la solution de la crise. Il existe dans l’opinion publique une très forte volonté de changement. Pour entrer de plain-pied dans le XXIe siècle, le peuple doit disposer de la volonté et de la capacité d’exercer son libre arbitre. Il n’a aucune confiance dans les institutions politiques, que ce soit la Présidence, le gouvernement ou le Parlement. Le pays a besoin de cohésion nationale et de cohésion sociale.

    Pour prétendre jouer dans un prochain avenir son rôle, le premier impératif de la société est d’assurer sa cohésion, d’établir la preuve de son existence, pour ne pas se diluer avant même d’exister. Le vrai courage politique exige le rassemblement et la mobilisation des forces capables de créer les conditions du changement démocratique. Les temps que nous vivons requièrent des hommes et des femmes de principe, pour défendre la liberté et la justice, ce domaine qui nous concerne tous dans notre liberté de chaque jour. La stratégie doit être simple, lisible, crédible, s’ouvrir aux autres avec détermination, vigilance et sérénité, pour nourrir une action politique claire et précise, forte, afin de ne pas passer pour une duperie, une gageure, vu l’importance des problèmes à régler. L’Algérie a besoin de se démocratiser, de réformer en profondeur ses institutions.

    Cette crise politique, si elle s’approfondit, peut se transformer en crise de régime qui laissera place au pouvoir à la nouvelle génération. La solution de la crise doit être pacifique. L’action politique ne consiste pas à ne rien dire ou à parler trop tard, car si on ne s’occupe pas de la politique, la politique s’occupera de vous.


    Par Ali Yahia Abdennour, El Watan

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    • #3
      C'est bizarre comme c'est article ne ressemble pas à ali yahia abdenour il dit pas ce qu'il pense sauf le passage, la touche qui le trahit,

      La politique aime l’odeur et le goût du sang, il faut les écarter.
      je pense pas que bouteflika ou l'ANP sont des sanguinaires comme il les accuse sournoisement. Les seuls sanguinaires c'est ses amis et chéris islamistes du processus électoral tâa toto.

      y a d'autres passages cachés aussi mais j'ai pas envie de perdre mon temps avec ce berbériste qui déteste l'Algérie

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      • #4
        je pense pas que bouteflika ou l'ANP sont des sanguinaires comme il les accuse sournoisement
        126 jeunes Kabyles morts dans une manifestation, c'est quoi ?
        Rebbi yerrahmek ya djamel.
        "Tu es, donc je suis"
        Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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        • #5
          Fidèle à sa ligne de conduite, Monsieur Ali Yahia Abdennour, pose un diagnostic implacable, sans complaisance... Il donne des vérités, exprime son opinion avec courage et conviction.
          Ce Monsieur est propre et il ne risque pas d'être souillé par les propos infamants qui viennent de derrière un écran anonyme. Quant aux jugements du genre
          ce berbériste qui déteste l'Algérie
          , ce n'est que pets de dromadaire, comme disait un vieux de mon village...
          Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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          • #6
            126 jeunes Kabyles morts dans une manifestation, c'est quoi ?
            rabi yarhamhoum c'est jeunes chauffés et envoyé à la mort par le clan kabyle d'Alger pour démontrer sa force face au clan chaoui. ait ahmed et les arouchs ont fournis les jeunes innocents à sacrifier pour donner plus de valeur à la cause.

            le taré ali benhadj et ses complices afghans parmi la foule ont déjà employé cette technique à bab el oued ou il a chauffé les jeunes adolescent puis les a envoyé affronter les forces anti émeutes. plus il y a de morts plus on va vers la guerre civile et il n y a plus de possibilité de revenir à la paix.


            dommage que beaucoup de gens ne comprennent pas tout de suite le flou tout le temps entretenu par des faux jetons comme ce ali yahia abdenour

            Commentaire


            • #7
              Ali Yahia Abdennour honoré

              Les locaux de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), sis à la rue Didouche Mourad, se sont avérés trop exigus pour contenir les nombreuses personnalités venues rendre hommage au vieux routier des droits de l’homme en Algérie, Ali Yahia Abdennour, dans la soirée d’avant-hier.


              La Ligue a tenu à honorer son président d’honneur et rendre ainsi un hommage au parcours exceptionnel de cet infatigable militant à l’occasion de son 89e anniversaire. Dans l’assistance, on pouvait remarquer la présence d’anciens chefs de gouvernement, Sid Ahmed Ghozali, Mokdad Sifi, Ahmed Benbitour, d’anciens ministres, Abdelaziz Rehabi et Saïd Bendakir. Il y avait également Abdelhamid Mehri, Mohamed Saïd, l’ex-candidat à la dernière élection présidentielle, mais aussi d’anciens compagnons de prison de Ali Yahia, comme les frères Aït Larbi, Arezki et Mokrane. Des universitaires, des militants anonymes et surtout beaucoup de femmes n’ont pas raté cette occasion. Ils étaient nombreux à venir saluer le combat courageux du fondateur de la LADDH. Seul Ali Yahia Abdennour peut réunir dans une même salle autant de personnes d’horizons politiques différents. « C’est là justement la force de Ali Yahia. Il a su incarner, tout au long de son itinéraire, l’esprit d’un homme tolérant et généreux. Il a été le défenseur de tous les militants politiques, les communistes, les berbéristes et les islamistes », a témoigné un proche de Ali Yahia. Ce dernier aimait répéter « la défense des droits de l’homme, c’est défendre la personne pas son idéologie ». Le président de la LADDH, Mustapha Bouchachi, dans sa courte intervention, a estimé que « le nom de Ali Yahia Abdennour est étroitement lié à la défense des droits de l’homme en Algérie comme partout ailleurs », avant de dénoncer le fait que Ali Yahia continue à être ignoré dans son pays.

              « Il a été honoré dans le monde entier, aux USA, au Mexique, en France, en Suisse, à Londres sauf en Algérie », s’est indigné M. Bouchachi. Ali Yahia Abdennour qui garde toujours sa vivacité, prêt à en découdre malgré ses 89 ans, était très ému. Il s’est contenté de dire : « Je suis très touché par cet hommage et ému par votre présence. Je vous en remercie. » A l’occasion, un film documentaire retraçant le parcours du militant, depuis son adhésion au PPA-MTLD, vers la fin des années 1930 a été projeté. Le film réalisé par la fondation Alkaram, basée à Genève, fait un zoom sur les différentes étapes qui ont marqué l’engagement de l’enfant de Michelet (Aïn El Hammam). Cette fondation, faut-il le rappeler, lui a décerné le prix « Elkarama », à l’occasion du 10 Décembre (anniversaire des droits de l’homme). Monsieur droits de l’homme est sans doute né pour être un défenseur acharné des droits, tous les droits de la personne humaine. Très actif durant la guerre de Libération, il a succédé à Aïssat Idir à la tête de l’UGTA combattante, avant d’être arrêté par l’armée française. A l’indépendance, il participe à la fondation du FFS, avant de rejoindre le gouvernement, en tant que ministre des Travaux publics puis de l’Agriculture, dans le gouvernement de Boumediène, qu’il quitte en 1967. Depuis, il se consacre entièrement à la défense des droits de l’homme. Une lutte qui le conduit au sinistre bagne de Berrouaghia en 1985. La même prison qui l’a « accueilli » durant la guerre de Libération. Que de chemins parcourus, mais « il faut regarder le chemin qui nous reste à parcourir et les conquêtes à conquérir », a tranché Ali Yahia Abdennour.

              Par Hacen Ouali
              Alessandro
              C'est ce Moudjahid que tu qualifies de faux-jeton ?
              Dernière modification par ETTARGUI, 10 février 2010, 18h17.
              Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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              • #8
                dommage que beaucoup de gens ne comprennent pas tout de suite le flou tout le temps entretenu par des faux jetons comme ce ali yahia abdenour
                Heureusement que tu es là pour nous inonder de tes lumières!!!
                Qu'est ce qu'il faut pas lire!
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                Commentaire


                • #9
                  Le pouvoir vieillit, le pouvoir absolu vieillit absolument. Deux quinquennats hélas, trois quinquennats holà. Près d’un an après le début de son 3e mandat, le Président paraît dans l’impasse ; la fin du système politique instauré en 1962 se dessine à l’horizon, et on s’interroge sur la survie du pouvoir actuel. L’Algérie traverse une crise politique sérieuse. Le chef de l’Etat est plus ........
                  les journaleux d'el WATAn sont aussi mauvais pour critiquer leurs dirigeants qu''ils le sont pour critiquer le makhzen.

                  la citation correcte est :

                  "Le pouvoir corrompt
                  , le pouvoir absolu corrompt absolument "

                  qu'est ce qu'ils sont mauvais , ils pourrait me dire que 1+1=2 et je les croirais pas parceque ca sort de leur plume
                  " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                  • #10
                    Ce n'est pas El Watan que tu critiques mais Me Ali Yahia Abdennour.
                    Il n'y a pas de faute, c'est toi qui a mal compris le sens de la phrase... Il dit que le pouvoir vieillit (au présent de l'indicatif), c'est à dire que le pouvoir est atteint de sénescence... Tu as compris ?
                    Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                    • #11
                      alessandro,

                      rabi yarhamhoum c'est jeunes chauffés et envoyé à la mort par le clan kabyle d'Alger pour démontrer sa force face au clan chaoui. ait ahmed et les arouchs ont fournis les jeunes innocents à sacrifier pour donner plus de valeur à la cause.

                      le taré ali benhadj et ses complices afghans parmi la foule ont déjà employé cette technique à bab el oued ou il a chauffé les jeunes adolescent puis les a envoyé affronter les forces anti émeutes. plus il y a de morts plus on va vers la guerre civile et il n y a plus de possibilité de revenir à la paix.


                      dommage que beaucoup de gens ne comprennent pas tout de suite le flou tout le temps entretenu par des faux jetons comme ce ali yahia abdenour
                      Du n'importe quoi!!!!!!

                      Tu ne sais même pas que le FFS ( Ait-Ahmed ) était contre le mouvement des aarchs en 2001.

                      Tu t'es discrédité tout seul. Dorénavant, tes commentaires seront sans valeur pour moi.

                      P.

                      Commentaire


                      • #12
                        dommage que beaucoup de gens ne comprennent pas tout de suite le flou tout le temps entretenu par des faux jetons comme ce ali yahia abdenour
                        Ce qu'on ne peut pas lire comme sornette !

                        Même quand le monsieur fait un constat implacable et sans complaisance sur la situation politique catastrophique algérienne, on lui cherche des poux.
                        On a appris deux mots à savoir : islamiste et barbu et en ensuite on fait avec le choux gras. On use et on abuse de leur utilisation tout le temps et à moindre occasion.
                        les journaleux d'el WATAn sont aussi mauvais pour critiquer leurs dirigeants qu''ils le sont pour critiquer le makhzen.
                        Maître Ali Yahia Abdenour est le doyen des avocats et défenseurs des droits de l'homme. Il n'est pas journaliste d'El-Watan. C'était une contribution personnelle de sa part.
                        si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

                        Commentaire


                        • #13

                          Je n'ai pas été toujours d'accord avec ses thèses, notamment lors de ses accointances avec l'intégrisme et son "démocratisme acharné", mais je lui ai toujours témoigné un profond respect; d'abord pour sa qualité d'ancien moudjahid, pour ses positions constantes en faveurs des droits de l'homme et enfin pour son intégrité et son honnêteté!...

                          Envoyé par Cell
                          la citation correcte est :

                          "Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument "
                          Cell, il ne faut pas confondre citation et paraphrase. Dans la citation proprement dite, Maitre Ali Yahia, en fait, a tenté avec succès, un pastiche pour relever non pas l'absolutisme de Bouheff and Co mais la sénilité de ce qu'il faut bien appeler la gérontocratie algérienne!...
                          Dernière modification par hben, 10 février 2010, 21h28.
                          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                          Commentaire


                          • #14
                            En effet, c'est un personnage respectable. mais entre le discours et son application il y a la réalité.

                            C'est un discours d'apposant, s'il y avait une base derrière lui le pouvoir aurait cédé.

                            malheuresement, il reste figé avec ses 90 ans, un ce clin d'oeil vers l'armée et une oreille tendue vers geneve.

                            on attends la releve, mais comme ceux qui vilipende. J y suis je reste.
                            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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