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Bouteflika face à la corruption .

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  • Bouteflika face à la corruption .

    Bouteflika face à la corruption

    par Kharroubi Habib
    Quand les Algériens évoquent désormais les gigantesques chantiers et réalisations qui ont vu le jour sous la présidence de Bouteflika, ce n'est plus pour en apprécier l'impact positif qu'ils ont sur le développement et la modernisation du pays. Mais, pour supputer sur les opportunités d'enrichissement qu'ils offrent à la faune de corrupteurs et de corrompus qui sévit dans le pays. C'est, pourquoi, il est très probable que dans le futur, la mémoire collective des Algériens gardera des années de pouvoir de Bouteflika, le souvenir qu'elles auront été avant tout la période durant laquelle la corruption dans le pays s'est «socialisée» et, pour tout dire, «démocratisée». Soyons clairs, cette situation, le président actuel ne l'a pas voulue et l'accepte encore moins comme le démontre sa détermination à engager l'Etat et la nation dans le combat contre ce fléau de la corruption. Son erreur, toutefois, a été de ne pas avoir engagé cette lutte dès les débuts de son arrivée au pouvoir, pris peut-être qu'il était par d'autres priorités politique, sécuritaire et économique. Accaparé par ces dossiers dont l'urgence s'imposait à lui, il s'est contenté de dénoncer de façon récurrente la corruption, mais sans s'y attaquer de façon pratique et dissuasive. Ce dont la faune de corrupteurs et de corrompus n'a eu cure. De ce point de vue, l'attitude du président a été taxée de laxisme.

    Depuis sa deuxième réélection, Bouteflika donne l'impression d'avoir pris l'exacte mesure de la gravité du phénomène de la corruption et des menaces qu'il fait peser sur l'Etat et la nation. Cela d'autant qu'il sait que ses ennemis instrumentalisent contre lui la généralisation et l'ampleur de cette corruption sous sa présidence. Il était temps par conséquent pour lui de prendre le taureau par les cornes, en faisant de la lutte contre la corruption la priorité des priorités de son troisième mandat. Des résultats que cette lutte aura dépendra en grande partie l'ultime perception que les Algériens auront de ses années de pouvoir et de sa gouvernance.

    Bouteflika est revenu au pouvoir habité par l'ambition de laisser une trace glorieuse dans l'histoire du pays. La chance et les circonstances lui ont été favorables à plus d'un titre. Il les a exploités pour prendre des initiatives et ouvrir des chantiers dont on ne peut honnêtement dire qu'ils se sont soldés par l'échec absolu. Au plan politique, sécuritaire et économique, le bilan des dix années de pouvoir écoulées de Bouteflika fait débat. L'opinion est partagée dans son jugement. Il y a d'importantes réussites, comme d'importants ratages. Mais, au final, c'est sur la question de la corruption que les années Bouteflika s'apprécieront. Soit positivement, parce que l'engagement du président sur le terrain de la lutte anti-corruption entraînera le recul sinon l'extinction du fléau. Soit négativement, si son engagement se limite à des opérations «mains propres» ponctuelles, sélectives dans le ciblage.

    C'est peu dire, donc, que si Bouteflika ne veut pas que sa place future dans l'histoire soit ternie par l'accusation d'avoir fait preuve de tolérance coupable à l'égard de la corruption, il doit faire la preuve de sa détermination à la combattre sans concession et, surtout, sans compromission avec ceux qui y ont recours, fussent-il de ses proches ou amis politiques.

    Le Quotidien d'Oran
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Soyons clairs, cette situation, le président actuel ne l'a pas voulue et l'accepte encore moins comme le démontre sa détermination à engager l'Etat et la nation dans le combat contre ce fléau de la corruption
    ouais c'est ca et le pere noel existe toujours !!!!!
    Son erreur, toutefois, a été de ne pas avoir engagé cette lutte dès les débuts de son arrivée au pouvoir, pris peut-être qu'il était par d'autres priorités politique, sécuritaire et économique
    pas autant que ca quand meme je dirait qu'on a l'impression qu'il a laisse faire de plus il est sorti du temps de chadli par cette porte la
    Bouteflika est revenu au pouvoir habité par l'ambition de laisser une trace glorieuse dans l'histoire du pays
    oui toute a fait le nom de la dynatie bouteflika avec son petit frere en cadeau a la tete du royaume
    La chance et les circonstances lui ont été favorables à plus d'un titre. Il les a exploités pour prendre des initiatives et ouvrir des chantiers dont on ne peut honnêtement dire qu'ils se sont soldés par l'échec absolu
    peut etre mais en tout cas tout ces chantier sont en stand-by !!!! vous voulez savoir pourquoi ???? lol
    C'est peu dire, donc, que si Bouteflika ne veut pas que sa place future dans l'histoire soit ternie par l'accusation d'avoir fait preuve de tolérance coupable à l'égard de la corruption, il doit faire la preuve de sa détermination à la combattre sans concession et, surtout, sans compromission avec ceux qui y ont recours, fussent-il de ses proches ou amis politiques.
    on ne le dira jamais assez les loups ne se mangent pas entre eux il n'y aura ni operation mains propre ni rien d'autre ca va etre les habituels discour demago et tout ce qui s'en suit .....c'est a dire RIENNNNNNNN
    PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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    • #3
      tout ca c'est du pipo

      avant c'etait comme ca:
      Je manges-tu manges
      je manges, je mange-tu manges
      je manges, je manges, je manges, je manges - tu manges
      je manges, je manges, je manges, je manges, je manges, je manges, je manges, je manges, je manges, je manges, je manges, je manges

      puis c'est hooohohohahaaaa et moi

      alors c'est la :18:

      dans peu de temps ca va etre ca

      Je manges-tu manges et c'est la

      et le peuple dans tou ca ????? CREVE DE FAIM

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      • #4
        et a sa sorti pendant l'ere chadli aussi !!!! n"y avait il pas eu soupçon de detournement de deniers publics ????
        PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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        • #5
          Quotidien d'Oran et c'est un article de Kharoubi Habib...Vous êtes sur ???

          J'AI L'IMPRESSION D'AVOIR LU UN ARTICLE DE CE TRES CHER QUOTIDIEN EL-Moudjehid !!!...Enfin!...Est ce que ce canard boiteux existe toujours ?
          "C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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          • #6
            A chacun son tableau de chasse !

            Enquête sur Tonic
            Où est passé l’argent ?
            Cette enquête est orientée également vers la comptabilité et la gestion financière de l’ex-Groupe Tonic Emballage et de la BADR qui remonte aux années 2004 et 2005. Plusieurs personnes seront auditionnées durant cette importante enquête.
            Selon une source judiciaire généralement bien informée, la brigade de recherches de la Gendarmerie nationale a ouvert une enquête il y a quelques jours sur les crédits octroyés par la Banque algérienne de développement rural (Badr) au Groupe Tonic Emballage (aujourd’hui dissous) durant 2004 et 2005, et qui sont estimés par la gendarmerie à 13 000 milliards de centimes et ce, sans que ce client ne présente en contrepartie des hypothèques sous forme de biens, voire pas même honorer ses crédits bancaires. Cette enquête est orientée également vers la comptabilité et la gestion financière de l’ex-Groupe Tonic Emballage et de la Badr qui remonte aux années 2004 et 2005. Plusieurs personnes seront auditionnées durant cette importante enquête, parmi elles, des responsables de la Badr qui étaient à l’époque à la tête de certaines agences qui travaillaient avec les responsables de Tonic Emballage. Plusieurs agences de la Badr seront soumises également à cette enquête, entre autres, celles d’Alger, Blida et Tipasa. Les enquêteurs de la brigade de recherches de la GN s’intéresseront de plus sur la manière avec laquelle l’ex-Groupe Tonic avait bénéficié de ces crédits alors qu’il n’avait même pas pu payer ses anciens crédits toujours auprès de la même banque. Un traitement très spécifique accordé par la Badr à son client de choix Tonic qui reste tout à fait énigmatique, mais seule l’enquête déterminera les vraies conditions d’octroi de ces crédits. Comment expliquer qu’une banque publique puisse accorder des crédits aussi importants à la Sarl Tonic pour créer un empire de machines pour imprimer des sachets en papier, alors qu’en face le Groupe Tonic n’a même pas présenté de gages. Cet ex-leader de l’industrie d’emballage en Algérie, Tonic Emballage, lorsqu’il était à court de financement, a tout de même bénéficié d’autres crédits bancaires de son fournisseur financier, la Badr. Ce n’est qu’en février 2005 que la Badr avait lâché définitivement Tonic, car il était trop risqué pour cette banque de continuer à alimenter un client condamné à disparaître. En effet, la banque accompagnatrice de Tonic avait réagi, mais beaucoup trop tard, Tonic n’arrivait plus à compter sur ses fonds propres pour continuer à financer ses projets de développement. Une réaction tardive qui a soufflé non seulement le Groupe Tonic Emballage, mais également l’argent de la Badr. Cette situation avait des répercussions graves sur Tonic, qui a été tout simplement dissoute tandis qu’en face, des responsables de la Badr ont été limogés, cela sans compter des pertes colossales apportées à cette banque publique, estimées à 13 000 milliards de centimes. Certes, la décision prise à l’époque par la Badr d’arrêter de financer les activités de Tonic à cause des retards accumulés dans le remboursement de la ligne de crédits était sage, mais elle a été faite pour dégager tout soupçon et écarter toutes poursuites judiciaires. Et pour démasquer les complicités, les responsables de certaines agences de la Badr ont exigé de Tonic Emballage le recouvrement immédiat de ses créances, à la fin 2005. Chose qui n’a pas été faite par les responsables de Tonic depuis cette date. Aujourd’hui, le dossier a été ouvert par la brigade de recherches de la Gendarmerie nationale qui compte mener son enquête pour démasquer les vrais coupables du gâchis de 13 000 milliards de centimes. Une investigation qui pourrait créer beaucoup de surprises dans les semaines à venir, d’autant qu’elle est à ses premiers jours. L’avenir nous le dira.
            La Cnas s’en mêle
            En plus de la brigade de recherches de la Gendarmerie nationale, la Caisse nationale d’assurance sociale (Cnas) a ouvert de son côté une enquête contre Tonic Emballage. Cette enquête est en opération depuis quelques jours seulement, selon une source proche de cette institution publique. Elle concerna l’assurance des employés de l’ex-empire de l’industrie d’emballage en Algérie. Selon quelques sources, le Groupe Tonic Emballage employait en tout 5 000 travailleurs, dont certains n’étaient pas assurés. La Cnas veut confirmer cette question à partir de son enquête déjà mise sur pied. En cas de confirmation, l’ex-Tonic Emballage risque de payer une lourde facture à ses ex-employés. Déjà dissous, les ennuis continuent de lui coller à la peau. Mais pour la Cnas, il est tout à fait obligatoire de restituer les droits des travailleurs de Tonic, bien que l’entreprise soit déjà dissoute depuis des années.
            Par Sofiane Abi/le jour d'Algérie
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            • #7
              Sallâm !

              Non mais ! Certains sont marrants ici !!!
              Vous croyez quoi, que les choses peuvent s’arrangé comme ça, avec une baguette magique ??
              Laisser le temps au temps…Et ne perler pas avant l’histoire …
              N’oubliez pas d’où l’Algérie ressort… Le cas de la corruption, et une chose grave ! Nous avons déjà perdu un président, Boudiaf (Allâhou Rahmou’) !

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              • #8
                Soyons clairs, cette situation, le président actuel ne l'a pas voulue et l'accepte encore moins comme le démontre sa détermination à engager l'Etat et la nation dans le combat contre ce fléau de la corruption.
                Je me suis arrêté là!...
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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