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maroc :plan casablanca business park 2030

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  • maroc :plan casablanca business park 2030

    Casablanca Comment éviter les goulots d’étranglement


    · Des pôles dédiés aux industries, services et habitat…

    · 50.000 emplois à créer et plus de 35.000 logements par an



    Casablanca aura de grands défis à relever dans les 20 prochaines années à venir. Ce sont en substance les prévisions d’experts à l’horizon 2030. Urbanisme, logistique, logement, services, industrie… Autant de chalenges auxquels la métropole doit trouver des solutions.
    Le premier enjeu consiste à créer chaque année plus de 50.000 emplois par an à l’horizon 2030. Le deuxième challenge est celui de la satisfaction de plus de 35.000 demandes en logement par an au cours de la même période. «Pour répondre à ces contraintes, une stratégie de développement d’économie régionale a été mise en place. Le but étant de donner une visibilité à la région de Casablanca et attirer davantage d’investisseurs», explique Hamid Benlafdil, directeur du CRI de Casablanca. Ainsi, cinq moteurs de croissance ont été identifiés (le plan Rawaj Casablanca, projets métropolitains, niches à dimension régionale, industrie et services et le plan de développement régional du tourisme).
    D’ailleurs, 5.000 hectares ont été réservés par le schéma directeur aux zones d’activité dites Casablanca Business Park.
    Concrètement, quatre couloirs ont été identifiés. Le premier, qui relie le port de Casablanca à l’aéroport, est réservé au secteur tertiaire. Le deuxième est destiné à héberger le secteur des technologies de l’information. Quant au troisième, il est dédié à la logistique et à l’industrie. Enfin, le couloir du littoral abritera les activités touristiques. «Afin de maintenir le positionnement du Grand Casablanca en tant que destination d’investissement, 14 offres territoriales (zones d’activité, formation, promotion, packages incitatifs…) dans chacun des secteurs porteurs et niches stratégiques identifiés pour la région de Casablanca. Selon le CRI, d’autres offres viendront à l’avenir enrichir ces opportunités d’investissement.
    Pour le moment, la métropole s’appuie sur quatre secteurs stratégiques (automobile, aéronautique, offshoring et logistique).
    Dans le secteur de l’automobile par exemple, 85 entreprises s’activent pour un volume d’investissement de 190 millions de DH et un chiffre d’affaires de 15 milliards de DH.
    Les exportations sont estimées à 1,1 milliard de DH. A l’horizon 2015, Casablanca ambitionne de réaliser un volume d’exportations de 1,8 milliard de dollars dans l’automobile uniquement. Un secteur qui a créé jusque-là plus de 30.000 emplois. A son tour, l’offshoring présente des atouts non négligeables avec un volume d’investissement de 280 millions d’euros généré par 40 entreprises installés à Casanearshore. Sur ce secteur, les ambitions pour 2013 consistent en la création d’un PIB additionnel de 5 milliards de DH avec la création de quelque 30.000 emplois.
    Dans l’aéronautique où une cinquantaine d’entreprises s’activent, le volume des investissements est estimé à plus de 900 millions d’euros, pour un chiffre d’affaires de plus 3 milliards de DH en 2007. Jusque-là, le secteur a pu créer quelque 6.000 emplois. A l’horizon 2020, les prévisions tablent sur un chiffre d’affaires de 28 milliards de DH.
    Côté logistique, Casablanca dispose de la première plate-forme multimodale (ferroviaire, portuaire, aéroportuaire et autoroutière) du pays. La métropole revendique 80% du fret aérien et 51% du mouvement des passagers. Le secteur représente 55% des échanges extérieurs et 45% des exportations industrielles. A cette plate-forme, s’ajoutent deux nouveaux pôles logistiques (Port de Mohammedia et Aéroport de Nouaceur avec un nouvel axe de développement logistique entre les deux pôles).
    L’enjeu est d’étendre les plateformes logistiques de 50 à 90 hectares en 2030 et celles périphériques à 300 ha en 2020, voire 500 ha à l’horizon 2030.
    Par ailleurs, le schéma directeur a également réservé 25.000 ha aux logements. «L’enjeu est de faire face à la croissance du nombre de ménages. Ce qui se traduit par une demande encore plus importante», signale Benlafdil. Pour répondre à cette demande croissante, neuf pôles urbains ont été identifiés. Il s’agit de Béni Yakhlef, Zenata, Tit Mellil, Bousoukoura, Nouaceur, Mediouna, Lahraouyine, Errhamna, Dar Bouaaza). Chacun des pôles devra accueillir près de 150.000 habitants.
    Dernière modification par alino01, 14 février 2010, 10h09.

  • #2
    Ambitieux le ben elfadil... Où en est son projet de clean tech à Casa ?
    http://www.algerie-dz.com/forums/arc...p/t-98932.html
    http://www.algerie-dz.com/forums/arc...p/t-97127.html

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    • #3
      Tous ce qui est à Casa avance trop trop lentement.
      C'est irritant à la longue. C'est incroyable mais ces projets là prennent tous sans exception du retard. Et beaucoup trop de retard.
      J'ai l'impression qu sans le roi et la pression qu'il exerce tout s'arrêtrai.

      Sinon pour le clean-tech, je n'en ai plus aucune nouvelle, ils doivent coopérer avec la municipalité de la banlieue Mohamedia pour le faire aboutir.

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      • #4
        je pense aussi que casa n'avance pas ci vite vu son potentiel énorme, et c'est a cause de sses élus médiocres , casa a besoin d'un métro pour le transport le tramway n'arrangera pas la situation

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        • #5
          On sait tous que Casa a une nappe phréatique proche de la surface, l'idée du metro souterrain est donc à mettre aux oubliettes pour le moment.
          Cela dit le RER en projet, aura 10 km de sousterrains aux environs de la gare Casa-port.
          Quant à la lenteur des projets de casa, c'est vrai si seulement est comparée aux régions les plus frémissantes bénéficiant d'attention particulière (Tanger et Rabat entre autres).

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