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Mohamed Meziane échappe à la mise sous mandat de dépôt
Contrôle judiciaire confirmé pour le PDG de Sonatrach
La Chambre d'accusation de la cour d'appel d'Alger a confirmé la mise sous contrôle judiciaire du PDG et de quatre dirigeants de société publique d'hydrocarbures Sonatrach, inculpés dans une affaire de présumées malversations.
La Chambre d'accusation "a confirmé (dimanche) la mise sous contrôle judiciaire du PDG de Sonatrach Mohamed Meziane, de son vice-président Chawki Rahal" chargé de la commercialisation et de trois autres prévenus.
La Cour a, ainsi, rejeté l'appel du parquet qui demandait la détention provisoire pour ces inculpés et celui des avocats qui ont plaidé pour la levée de leur contrôle judiciaire.
Cependant, deux cadres de la compagnie, également mis en examen, ont bénéficié de la levée de ce contrôle, précise-t-on.
Le 14 janvier, la presse algérienne avait révélé que M. Meziane avait été inculpé après une enquête portant sur de présumées malversations ainsi que trois vice-présidents, plusieurs hauts cadres de la société et des dirigeants de bureaux d'études dont les deux fils de M. Meziane, placés pour leur part sous mandat de dépôt.
Des malversations auraient été commises à l'occasion de la passation de marchés avec des bureaux d'études ou des sociétés spécialisés dans la sécurité, précisait-on.
Le ministre algérien de l'Energie Chakib Khelil avait confirmé ces informations le 17 janvier, sans préciser les accusations portées contre les inculpés.
Elkhabar
Contrôle judiciaire confirmé pour le PDG de Sonatrach
La Chambre d'accusation de la cour d'appel d'Alger a confirmé la mise sous contrôle judiciaire du PDG et de quatre dirigeants de société publique d'hydrocarbures Sonatrach, inculpés dans une affaire de présumées malversations.
La Chambre d'accusation "a confirmé (dimanche) la mise sous contrôle judiciaire du PDG de Sonatrach Mohamed Meziane, de son vice-président Chawki Rahal" chargé de la commercialisation et de trois autres prévenus.
La Cour a, ainsi, rejeté l'appel du parquet qui demandait la détention provisoire pour ces inculpés et celui des avocats qui ont plaidé pour la levée de leur contrôle judiciaire.
Cependant, deux cadres de la compagnie, également mis en examen, ont bénéficié de la levée de ce contrôle, précise-t-on.
Le 14 janvier, la presse algérienne avait révélé que M. Meziane avait été inculpé après une enquête portant sur de présumées malversations ainsi que trois vice-présidents, plusieurs hauts cadres de la société et des dirigeants de bureaux d'études dont les deux fils de M. Meziane, placés pour leur part sous mandat de dépôt.
Des malversations auraient été commises à l'occasion de la passation de marchés avec des bureaux d'études ou des sociétés spécialisés dans la sécurité, précisait-on.
Le ministre algérien de l'Energie Chakib Khelil avait confirmé ces informations le 17 janvier, sans préciser les accusations portées contre les inculpés.
Elkhabar