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Depuis hier, la ville de Tamanrasset accueille, et cela jusqu’au 20 février, la première édition du Festival international des arts de l’Ahaggar (Abalessa - Tin- Hinan) qui a pris ses quartiers dans un campement dans la région de Abalessa, distante de quelque 120 km du chef-lieu de la wilaya de Tamanrasset, et où se trouve la tombeau de la reine touareg Tin-Hinan.
Le festival institutionnalisé par le ministère de la Culture bénéficie aujourd’hui d’un appui certain, qui lui permet d’aller au-delà des aspirations tracées, surtout pour cette édition vu que c’est toute la région qui est représentée dans ce festival initié par l'Office du parc national de l'Ahaggar (OPNA) aux côtés du ministère de la Culture. Ce festival, qui célèbre la reine Tin-Hinan, s'inscrit aujourd’hui dans le cadre de la mise en valeur du patrimoine immatériel de la région.
Plusieurs conférences-débats et de nombreuses communications animées par des invités de marque tels que Hélène Lee, écrivaine et musicologue, Mehenna Mahfoufi, ethnomusicologue, Mahmoud Guettat, musicologue, Kamel Sadou, universitaire, Ali Sayad, anthropologue et écrivain, autour de la valorisation du patrimoine culturel local et du legs musical.
En marge des conférences journalières, des chants et des musiques animeront les soirées du festival, des chants du terroir avec l'imzad et le tindi, avec Baddy Lalla, très appréciée à Tamanrasset ainsi que des chanteurs venus de Djanet, Beni- Abbès et d’autres régions du pays, de l’Afrique noire avec la diva malienne Oumou Sangaré qui se produira pour la première fois en Algérie, son compatriote le bluesman Samba Touré ou encore Abdellah Mesbahi.
Des conteurs viendront charmer les participants et les visiteurs comme Sabine Pakora, le griot Moussa Koita.
L'un des volets importants de la manifestation sera constitué par le «village d'ateliers» établi à Abalessa pour mettre en évidence des activités séculaires comme le travail du bronze, du cuir ou encore de l’argent.
Par le soir
Le festival institutionnalisé par le ministère de la Culture bénéficie aujourd’hui d’un appui certain, qui lui permet d’aller au-delà des aspirations tracées, surtout pour cette édition vu que c’est toute la région qui est représentée dans ce festival initié par l'Office du parc national de l'Ahaggar (OPNA) aux côtés du ministère de la Culture. Ce festival, qui célèbre la reine Tin-Hinan, s'inscrit aujourd’hui dans le cadre de la mise en valeur du patrimoine immatériel de la région.
Plusieurs conférences-débats et de nombreuses communications animées par des invités de marque tels que Hélène Lee, écrivaine et musicologue, Mehenna Mahfoufi, ethnomusicologue, Mahmoud Guettat, musicologue, Kamel Sadou, universitaire, Ali Sayad, anthropologue et écrivain, autour de la valorisation du patrimoine culturel local et du legs musical.
En marge des conférences journalières, des chants et des musiques animeront les soirées du festival, des chants du terroir avec l'imzad et le tindi, avec Baddy Lalla, très appréciée à Tamanrasset ainsi que des chanteurs venus de Djanet, Beni- Abbès et d’autres régions du pays, de l’Afrique noire avec la diva malienne Oumou Sangaré qui se produira pour la première fois en Algérie, son compatriote le bluesman Samba Touré ou encore Abdellah Mesbahi.
Des conteurs viendront charmer les participants et les visiteurs comme Sabine Pakora, le griot Moussa Koita.
L'un des volets importants de la manifestation sera constitué par le «village d'ateliers» établi à Abalessa pour mettre en évidence des activités séculaires comme le travail du bronze, du cuir ou encore de l’argent.
Par le soir