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  • des hommes d’affaires, Europeens ont été refoulés hier des frontières libyennes

    Il ne délivre Plus de visa aux ressortissants de l’espace Schengen
    Kadhafi met à exécution sa menace


    Branle-bas de combat à Bruxelles où la Commission européenne, les États membres de l’Union européenne et les pays associés à Schengen dans le cadre du groupe des visas se réunissent pour décider d'une réaction “appropriée”.

    Kadhafi a mis sa menace à exécution : la Libye n'accorde plus de visas d'entrée aux citoyens de l'espace Schengen. Les voyageurs européens, des hommes d’affaires, ont été refoulés hier des frontières libyennes alors qu’ils avaient obtenu des visas avant que la mesure ne soit prise.
    Le leader de la “révolution verte” ne s’est pas contenté de ce seul acte. Sa décision a fait ressortir des contradictions au sein même de Bruxelles.

    La Grande-Bretagne est épargnée, ne faisant pas partie de l’espace Schengen, et alors que la Commission européenne déplore une décision “unilatérale et disproportionnée”, l'Italie, partenaire privilégiée de la Libye, accuse la Suisse de “prendre en otage” les pays de l'espace européen. Le couperet de Kadhafi est tombé après que la Suisse eut interdit à 188 responsables libyens d'entrer sur son sol, avec en toile de fond la crise diplomatique entre les deux pays suite à l'arrestation d'Hannibal Kadhafi à Genève. La crise entre les deux pays avait, en effet, éclaté après l'interpellation musclée, en juillet 2008 dans la capitale helvétique, d’un fils de Mouammar Kadhafi, Hannibal, et de son épouse, sur plainte de deux domestiques accusant leur employeur de mauvais traitements.

    L'affaire Hannibal a envenimé les relations entre les deux pays qui ont pris diverses mesures de rétorsion. Le président de la Confédération suisse s’est rendu à Tripoli où il avait fait son mea-culpa, à la grande indignation de la presse suisse, mais Tripoli retient toujours deux hommes d'affaires suisses accusés de séjour illégal et d'exercice d'activités économiques illégales. Branle-bas de combat à Bruxelles où la Commission européenne, les États membres de l'Union européenne et les pays associés à Schengen dans le cadre du groupe des visas se réunissent pour décider d'une réaction “appropriée”. Mais cela ne paraît pas évident, puisque le chef de la diplomatie italienne Franco Frattini s’en est pris à son voisin suisse accusé de prendre en otage tous les pays de l’espace Schengen.

    Selon Rome, Berne doit être aidé à résoudre une question bilatérale avec Tripoli, mais pas “aux dépens de tous”. La Suisse qui a déjà essuyé un embargo sur le pétrole libyen et le gel de ses avoirs à Tripoli reste sur ses positions. Le département fédéral des Affaires étrangères, qui n'a pas souhaité commenter les informations relatives aux mesures prises par Tripoli, a rappelé que la Suisse continuera sa pratique restrictive concernant les visas Schengen à l'égard de la Libye. Kadhafi menaçait, depuis plusieurs semaines, de durcir sa politique de visas à l'encontre notamment des hommes d'affaires et chefs d'entreprise européens travaillant sur son territoire. Chose faite.


    liberté

  • #2
    Du Tac au Tac.

    Mesure de réciprocité : Un Choix simple et efficace.

    Ça incite à mieux réfléchir qu'on se croit supérieur.

    Commentaire


    • #3
      La Suisse ne fait pas parti de l'union européenne, donc elle ne devrait pas faire parti de l'espace Shengen, les contradictions sont du côté de l'usine à gaz bureaucratique de Bruxelle.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

      Commentaire

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