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Sous-traitance industrielle

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  • Sous-traitance industrielle

    L’emploie (notamment en ce qui concerne le gardiennage, jardinage…charges...) sont de plus en plus gérés par la sous-traitance…….Sonatrach, de son cote opte pour cette méthode …Et Le président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME (CNC), Juge que le marché national est porteur en matière de sous-traitance, et que l’on doit prendre les pays qui sont déjà passées par cette exeprience comme exemple,..…
    Oui, pour les entreprises employeuses, pour le marchée, mais pour les employés!!!!….Ce n'est point en leur faveur, La sous-traitance n’est qu’une autre façon d’exploiter les gens…

    ====
    Dix-huit mille entreprises peuvent être créées par Sonatrach dans le secteur pétrolier, a déclaré, hier, Zaïm Ben Sassi, lors d’un débat sur la sous-traitance industrielle, organisé par le Forum d’El Moudjahid.
    Le président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME (CNC), pour qui le marché national est porteur en matière de sous-traitance, citant des facteurs qui militent pour ce créneau, tels le coût de la main-d’œuvre et celui de l’énergie, a estimé que les « décideurs doivent prendre conscience de l’importance du développement de la sous-traitance », citant, au passage, le cas de l’Espagne, qui s’est développée, a-t-il dit, grâce à la sous-traitance, au même titre que le Portugal, les pays du Sud-Est asiatique et la Turquie. Le président du CNC a même « recommandé » au département de Abdelhamid Temmar d’y recourir dans certains cas de rétrocession d’entreprises dans le cadre de la sous-traitance, moyennant, précise-t-il, un contrat de performance. Citant une initiative, mort-née, d’un comité intermaghrébin, créé dans les années 1980, chargé de la sous-traitance entre les pays du Maghreb, Ben Sassi a estimé que la sous-traitance « est une technique qui nécessite des investissements et une formation technique ». Le PDG de la SNVI, Mokhtar Chahboub, a, quant à lui, affirmé que l’entreprise nationale intervient doublement dans ce créneau : en donneur et en preneur d’ordres. Il a indiqué que quelque 5000 articles sont proposés par la SNVI à la sous-traitance, pour un volume des achats de 8 milliards de dinars en 2005. Passant d’une vingtaine de sous-traitants en 1990 à plus de 350 actuellement, et ce dans différents domaines (production, capacité...), M. Chahboub a révélé que la SNVI a réalisé, en 2005, un chiffre d’affaires de 3 milliards de dinars en produits sous-traités, contre 1,5 milliard de dinars en 2002. Un chiffre, dit-il, qui représente près de 20% du chiffre d’affaires de l’entreprise. « Sur les 5000 références à sous-traiter, nous avons pu placer 2204 », a affirmé M. Chahboub, pour qui « un cadre de concertation manque pour faire des propositions concrètes entre différents partenaires ». Il citera un projet « en cours de maturation » avec l’ANSEJ, et consistant en l’octroi de 80 ha de foncier industriel aux jeunes promoteurs de l’ANSEJ pour « le développement d’une base industrielle de sous-traitants à Rouiba ». Slimi Kheira, du ministère de l’Industrie, a indiqué que les résultats d’une étude commandée par le ministère à un bureau français a mis en exergue des opportunités existantes, notamment, dit-elle, dans le secteur de l’industrie agroalimentaire, non sans préciser qu’une batterie de mesures réglementaires et législatives doivent d’abord préparer le terrain. Pour sa part, le secrétaire général de l’Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), Belkacem Mezine, a estimé que « la restructuration de l’industrie et le processus de privatisation, qui a atteint aujourd’hui sa vitesse de croisière, offrent, d’ores et déjà, un éventail intéressant d’opportunités d’investissement allant de la joint-venture à la sous-traitance. L’essaimage et le recentrage des activités des grandes entreprises publiques sur leurs principaux métiers, ainsi que la mise en place effective et concrète des incubateurs d’entreprises concernent directement la sous-traitance de biens et services ainsi que le développement de filières spécifiques et constituent le domaine privilégié des petites et moyennes entreprises ». Pour le SG de l’AGEA, « on ne peut passer à l’industrialisation sans passer par la sous-traitance ». Créée en 1991, la « Bourse algérienne de la sous-traitance », que préside Abdellah Ghedjatti, n’a pas encore fait l’état des lieux de cette activité. « La sous-traitance a des années d’activités, mais l’état des lieux doit être fait », a estimé Ghedjatti, qui a souligné le « manque de statistiques dans le domaine ».

    - El Watan

  • #2
    Sujet particulièrement intéressant. Par ailleurs, cela rejoint ce que je disais sur un autre post

    Admirez donc l'ouejh esshih des responsables :
    Le premier ---> Et Le président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME (CNC), Juge que le marché national est porteur en matière de sous-traitance, et que l’on doit prendre les pays qui sont déjà passées par cette exeprience comme exemple

    Qu'il nous cite un seul pays qui ne fait pas appel à la sous-traitance !!!!

    Le deuxième---> Créée en 1991, la « Bourse algérienne de la sous-traitance », que préside Abdellah Ghedjatti, n’a pas encore fait l’état des lieux de cette activité. « La sous-traitance a des années d’activités, mais l’état des lieux doit être fait », a estimé Ghedjatti, qui a souligné le « manque de statistiques dans le domaine ».

    Il attend que les statistiques viennent lui dire bonjour peut être, a quoi sert donc l'entité qu'il dirige...

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    • #3
      Un bon point pour le SNVI

      M. Chahboub a révélé que la SNVI a réalisé, en 2005, un chiffre d’affaires de 3 milliards de dinars en produits sous-traités, contre 1,5 milliard de dinars en 2002.
      Le partenariat avec l'entreprise allemande qui produit des boîtes de vitesses semble avoir porté ses fruits cette exemple de réussite devrait être suivie par les autres entreprises algériennes et maghrebines.

      La SNVI a bien anticipé sont coup en allant à la recherche de partenaire performant pour diversifer sa production.

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      • #4
        Renault veut sous-traiter avec SNVI

        Renault fait appel aux marocains pour la sous traitance, ces derniers font appel aux algériens! pourquoi ne pas passer directement aux algériens qui ont une grande culture industrielle comparativement aux pays de la région et avec des coups de main d'oeuvre les plus bas!


        ====
        Les pièces destinées au véhicule Logan fabriqué au Maroc
        Renault veut sous-traiter avec SNVI


        Au moment où les négociations entre SNVI et Renault véhicule industriel (RVI) peinent à aboutir, une autre force de coopération entre les deux sociétés pourra voir le jour. Invité, hier, au forum d’El-Moudjahid sur la sous-traitance en Algérie, le président-directeur général de la Société Nationale de Véhicules Industriels, Mokhtar Chahboub, a révélé que Renault a émis officiellement son désir de sous-traiter la fabrication de certaines pièces. Celles-ci, précise-t-il, seront destinées à l’usine installée au Maroc et qui fabrique la «Logan». Interrogé sur la nature des pièces, le PDG nous a indiqué qu’il s’agit notamment de la pièce de tôlerie, mécanique, de fonderie et même plastique.

        Selon M. Mokhtar Chahboub, SNVI est disposée à étudier et à discuter l’offre qui lui a été faite par la firme française il y a déjà deux mois.

        Dans ce cadre, les responsables du constructeur public de véhicules industriels sont, précise notre source, invités par Renault à visiter ses installations au Maroc et à approfondir les discussions sur le projet en question. Si cette coopération venait à se concrétiser, SNVI se verra acquérir un nouveau marché. Mais l’enjeu est beaucoup plus important pour Renault. En effet, sous-traiter la fabrication de certaines pièces nécessaires au véhicule «Logan made in Moroco» est pratiquement une nécessité si le constructeur français veut mettre sur le marché une voiture à un prix concurrentiel.

        Par ailleurs, la concrétisation de ce projet entre SNVI et Renault prouve, et selon les spécialistes, que l’Algérie offre un important «gisement de sous-traitance». C’est là une approche que défend ardemment le président du conseil consultatif pour la promotion de la PME, Zaîm Bensaci. Selon lui, le potentiel n’est pas uniquement au niveau local.

        Les donneurs d’ordre (ce sont de toutes grandes entreprises qui font appel à la sous-traitance) peuvent venir également d’ailleurs. Il cite le cas de l’Espagne, un pays qui a constitué une plaque tournante en matière de sous-traitance en Europe.

        Le premier responsable du CNC/PME estime que le marché algérien peut l’être pour bon nombre d’entreprises étrangères, notamment dans certains secteurs comme la mécanique. Et ce, grâce au prix concurrentiel de l’énergie ajouté à une main-d’oeuvre expérimentée. Le pari est jouable, soutient Bensaci, pour peu que «chacun joue le jeu».

        Il cite le cas du secteur de l’énergie où ce sont les entreprises de sous-traitance étrangères qui opèrent. Il regrette aussi de constater que des pièces qui peuvent être fabriquées en Algérie sont importées par «des importateurs de chômage». Il conclut que «l’ensemble des décideurs et opérateurs doivent être conscients que la sous-traitance est porteuse de développement».

        Dans ce sens, le PDG de la SNVI, une entreprise qui sous-traite avec 350 PME, a révélé lors de la même rencontre qu’une réflexion est actuellement engagée avec l’ANSEJ autour de la possibilité de mettre à la disposition des jeunes promoteurs les terrains excédentaires de la SNVI (80 hectares). Le but est de créer une base industrielle d’une cinquantaine (voire même une centaine) de micro-entreprises de sous-traitance de pièces pour le constructeur public.

        Du côté du gouvernement, on n’en est pas encore à une telle prise de conscience. Au ministère de l’Industrie, on parle d’une étude d’un bureau français sur la sous-traitance.

        Quotidien d'Oran

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        • #5
          Renault fait appel aux marocains pour la sous traitance, ces derniers font appel aux algériens! pourquoi ne pas passer directement aux algériens qui ont une grande culture industrielle comparativement aux pays de la région et avec des coups de main d'oeuvre les plus bas!
          c'est une politique pour que le gouvernemt algerien laisse ces voitures ce vendre en algerie, alors tous le monde et gagnant.

          pour ce qui est de la culture industielle (automobile) le maroc export pour beacoup compagny ameriacain et almand et biensur francais, et les exportation cette anne ont depase 500 million de $, tous dans les cables et plastique.......

          et autre chose ils ont choisis le maroc pour monter ces voiture parceque tous simplement le marche et plus grand sa regroupe 4 pays min sans douane alors ils peuvent vendre des logans sur la tunisie l'egypt et la jordanie et aussi la turky.

          mais l'algerie a biensur tous ce qu'il faut pour faire une grande usine pour faire des voitures pour l'export surtous que le marche algerien et le plus grand du maghreb +100 000 voiture vendue par an, pourkoi pas faire une ptite voiture maghrebine et chaque pays essaye de faire des pieces differentes.

          bon c'est mon explication pourkoi renaut a choisis le maroc.

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          • #6
            Salam pico

            Renault fait appel aux marocains pour la sous traitance, ces derniers font appel aux algériens! pourquoi ne pas passer directement aux algériens qui ont une grande culture industrielle comparativement aux pays de la région et avec des coups de main d'oeuvre les plus bas!
            L'Usine de la SOMACA (Renault Maroc) est une entreprise autonome dans sa gestion et ses décisions. Chaque usine Renault à des objectifs de vente et de production à atteindre.

            Les investissements des multinationales ne se font pas en jugeant la culture industrielle ou le faible coût de main d'oeuvre de telle ou telle pays.

            Les multinationales intégrent d'autres données plus larges :

            Efficiences des transports,
            Efficacité du reseau routier,
            Qualité du réseaux d'approvisionnement d'énergie électrique,
            Niveau des infrastructures de communications,
            Inertie des démarches administratives,
            Coût du transport national dollar/km,
            Coût du transport international dollar/km,
            Temps du transport national dollar/km,
            Temps du transport international dollar/km,
            Capacité du pays à faire de l'outsourcing
            Niveau d'étude des salariés,
            Coût de la formation,
            Existance d'accord de libre échange,
            Facilité douaniaire,
            Performance du service douanier,
            Capacité du marché intérieur pour absorbé la production,
            Coût de la main d'oeuvre... etc,

            Pour faire plus simple les multinationales réalisent se qu'on appelle des etudes de Benchmarking entre pays.

            Et en générale se ne sont pas forcement les pays ayant le coût de main d'oeuvre les plus bas qui remporte les benchmarking.

            Il est illusoire de croire que le Maroc ou tout autre pays puisent s'aligner sur toutes les piéces entrant dans le fabrication d'une automobile.

            Il est impérative de créer des synergies dans tout le Maghreb et dans ce domaine le Maroc, l'Algérie et la Tunisie ont grandement à y gagner en créant des partenariat fiable pour attirer localement d'autres investissements si bien sûr tout le monde joue le jeux.

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            • #7
              sous traitance

              la bourse algerienne de sous traitance à collaborer beaucoup au develloppement de cette façon de faire.
              toute fois, les resultats ne sont pas à la hauteur des espoirs .alors je préconise ,la creation d'un site internet dynamique ou tout le monde trouvera son compte (donneurs et receveurs d'ordre)tout simplement .
              autrement dit il ne faut rien creer, il faut faire comme font les pays qui ont reussi!

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              • #8
                Et Pkoi Pas Nous Meme!!!

                Pourquoi pas une voiture économique maghrebine ou les 5 pays participe a partir d'un consortuim intra-maghrében à fond maghrebine

                je reve ... c'est vrai

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                • #9
                  tu reves pas riati pourkoi pas?

                  tous ce qu'il faut c'est un grand marche sans douane de la mauritanie a l'egypt.

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                  • #10
                    SNVI se verra acquérir un nouveau marché. Mais l’enjeu est beaucoup plus important pour Renault. En effet, sous-traiter la fabrication de certaines pièces nécessaires au véhicule «Logan made in Moroco» est pratiquement une nécessité si le constructeur français veut mettre sur le marché une voiture à un prix concurrentiel

                    Et on va faire comment pour les transporter ces pièces?,les frontières terrestres sont fermées,pour ramener ces marchandises par la mer il faudrait passer par marseille,et par les airs cela coûterait trop cher...,reste plus qu a les faire passer par contrebande...

                    Commentaire


                    • #11
                      Réouverture !!!!!!!!!!!!

                      Et on va faire comment pour les transporter ces pièces?,les frontières terrestres sont fermées,pour ramener ces marchandises par la mer il faudrait passer par marseille,et par les airs cela coûterait trop cher...,reste plus qu a les faire passer par contrebande...
                      C'est vrai que c'est un autre probléme donc on va simplement les réouvrir !!!!!!!!

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                      • #12
                        frontiére...

                        Je suis persuadé que les impératifs économiques, doublé de la lassitude des deux peuples va faire réouvrir cette frontiére. Il faut arrêter ces comportements puérils ! Il faut être pragmatique, il faut aller de l'avant ! Ce n'est qu'une question de temps...
                        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

                        Commentaire


                        • #13
                          Salam Dzmes

                          Je suis persuadé que les impératifs économiques, doublé de la lassitude des deux peuples va faire réouvrir cette frontiére. Il faut arrêter ces comportements puérils ! Il faut être pragmatique, il faut aller de l'avant ! Ce n'est qu'une question de temps...
                          Rien a rajoutter.

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                          • #14
                            Convention pour l'introduction du gaz naturel au Maroc

                            voila aussi une bonne opportunité pour les sociétés algériennes de travailler au maroc,mais un bon climat politique serait nécessaire entre les 2 pays je pense-

                            L'Office national de l'Electricité (ONE), la SAMIR et le groupe Akwa ont conclu une convention de partenariat visant à mettre en place les infrastructures nécessaires pour l'introduction du gaz naturel au Maroc, indique un communiqué du ministère de l'Energie et des Mines.

                            Aux termes de cette convention, signée notamment par M. Mohamed Boutaleb, ministre de l'Energie et des Mines, une étude de faisabilité sera menée pour définir l'infrastructure optimale (terminal gazier, gazoduc...) permettant de généraliser l'utilisation du gaz naturel dans le Royaume, la sécurité des approvisionnements et la mise à disposition du gaz au moindre coût, précise le communiqué dont copie est parvenue lundi à la MAP.

                            Dans le cadre de cet accord, le gouvernement marocain mettra en place les mesures d'accompagnement, notamment réglementaires et législatives (code gazier), pour la réalisation de ce projet de grande envergure.

                            Selon le communiqué, cette convention s'inscrit dans le cadre de la stratégie énergétique visant la diversification des sources d'approvisionnement, la garantie de l'énergie à moindre coût et la protection de l'environnement.


                            http://www.**********/Infos/includes...&lmodule=Maroc

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                            • #15
                              @ Ismail

                              L'Office national de l'Electricité (ONE), la SAMIR et le groupe Akwa ont conclu une convention de partenariat visant à mettre en place les infrastructures nécessaires pour l'introduction du gaz naturel au Maroc, indique un communiqué du ministère de l'Energie et des Mines.
                              J'espére que ce partenariat verra l'introduction de sociétés algériennes spécialisé dans ce genre de travaux. Ceci permettra au deux pays de se retrouver en utilisant le gaz algérien les entreprises marocaine gagneraient plus en compétitivité...

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