Sports : CE QUE RISQUE L’ÉGYPTE, SELON LA PRESSE ÉGYPTIENNE, AUX ÉLIMINATOIRES DU MONDIAL-2014
La Fifa défalquerait trois points aux Pharaons
En plus d’une amende financière «très conséquente», la presse cairote anticipe sur les décisions que la Fifa prononcera au sujet du dossier des incidents du 12 novembre dernier à l’arrivée de la délégation algérienne au Caire, où elle a disputé deux jours plus tard le match de la dernière journée des éliminatoires (groupe 3) de la Coupe du monde.
Les médias égyptiens, «sourcés» certainement par les membres égyptiens qui infestent les rouages de la CAF et de la Fifa, avancent la défalcation de trois points à l’équipe égyptienne qui prendra part aux éliminatoires de la prochaine Coupe du monde prévue en 2014, au Brésil. Les canards de «Misr Oum Dounia» ne s’appuient sur aucune base réglementaire pour étayer leur affirmation. Juste s’ils donnent une date (le 10 mars prochain) pour le verdict attendu de la part de la commission de discipline de l’instance internationale. Celle-ci «mijote» le dossier depuis le 19 novembre dernier. Les Egyptiens ayant mis en avant les «exactions » des fans algériens à Omdourman envers leurs supporters et joueurs ont, avancent les mêmes journaux, rejeté l’idée d’un «pardon» de la part de la fédération de Samir Zaher auprès de son homologue algérienne. «Cela signifie que l’Egypte reconnaît le caillassage dont aurait fait l’objet le bus qui transportait la délégation algérienne », écrit Akhbar Al- Ousboue. Ce dernier croit savoir qu’une importante réunion est prévue très bientôt aux Emirats unis pour «sceller la réconciliation entre Egyptiens et Algériens». Le président de la FAF a, pour rappel, toujours endossé la responsabilité du mitraillage du bus algérien au Caire au président de la FEF, Zaher. Il a, en outre, rejeté tout moyen de rapprochement avec la FEF tant que son président ne reconnaît pas son tort et demande des excuses officielles à tous les Algériens. En Angola, en marge de la CAN, le président de la FAF a évité de s’asseoir autour de la même table avec Zaher, initiative prise par le président de la CAF, Issa Hayatou, et le membre égyptien de la CAF et de la Fifa, Hany Abou Rida. Le boss de la fédération égyptienne a toujours affirmé aux médias de son pays que l’Egypte ne sera pas sanctionnée et que c’était elle la victime. Il avait osé programmer une conférence de presse à laquelle les médias internationaux devaient être conviés. Celle-ci n’a jamais eu «faute d’arguments», même si Zaher justifiait son annulation par des problèmes de calendrier.
M. B.
La Fifa défalquerait trois points aux Pharaons
En plus d’une amende financière «très conséquente», la presse cairote anticipe sur les décisions que la Fifa prononcera au sujet du dossier des incidents du 12 novembre dernier à l’arrivée de la délégation algérienne au Caire, où elle a disputé deux jours plus tard le match de la dernière journée des éliminatoires (groupe 3) de la Coupe du monde.
Les médias égyptiens, «sourcés» certainement par les membres égyptiens qui infestent les rouages de la CAF et de la Fifa, avancent la défalcation de trois points à l’équipe égyptienne qui prendra part aux éliminatoires de la prochaine Coupe du monde prévue en 2014, au Brésil. Les canards de «Misr Oum Dounia» ne s’appuient sur aucune base réglementaire pour étayer leur affirmation. Juste s’ils donnent une date (le 10 mars prochain) pour le verdict attendu de la part de la commission de discipline de l’instance internationale. Celle-ci «mijote» le dossier depuis le 19 novembre dernier. Les Egyptiens ayant mis en avant les «exactions » des fans algériens à Omdourman envers leurs supporters et joueurs ont, avancent les mêmes journaux, rejeté l’idée d’un «pardon» de la part de la fédération de Samir Zaher auprès de son homologue algérienne. «Cela signifie que l’Egypte reconnaît le caillassage dont aurait fait l’objet le bus qui transportait la délégation algérienne », écrit Akhbar Al- Ousboue. Ce dernier croit savoir qu’une importante réunion est prévue très bientôt aux Emirats unis pour «sceller la réconciliation entre Egyptiens et Algériens». Le président de la FAF a, pour rappel, toujours endossé la responsabilité du mitraillage du bus algérien au Caire au président de la FEF, Zaher. Il a, en outre, rejeté tout moyen de rapprochement avec la FEF tant que son président ne reconnaît pas son tort et demande des excuses officielles à tous les Algériens. En Angola, en marge de la CAN, le président de la FAF a évité de s’asseoir autour de la même table avec Zaher, initiative prise par le président de la CAF, Issa Hayatou, et le membre égyptien de la CAF et de la Fifa, Hany Abou Rida. Le boss de la fédération égyptienne a toujours affirmé aux médias de son pays que l’Egypte ne sera pas sanctionnée et que c’était elle la victime. Il avait osé programmer une conférence de presse à laquelle les médias internationaux devaient être conviés. Celle-ci n’a jamais eu «faute d’arguments», même si Zaher justifiait son annulation par des problèmes de calendrier.
M. B.
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