L'eau est le sang
Le sang revêtu d'une croute glacée
Comme une peau héritée de l'hiver
Comme un hiver hérité du vent,
Protection séculaire des éléments
J'avais la vigilance d'une mère
La clairvoyance des prophètes
L'insouciance d'un rêveur
Et mon âme, mon âme a moi
J'ai installé au sein des vagues de béton
Un abime aux mille magentas
Pour exulté de la peau de l'eau,
Chair minérale et sèche...
Dévores, ma prison de coton
L'océan abreuvera ta soif
Je ferais don du reste des miens
Leurs ossements te rassasierons
L'écume fluorescente me demande,
Si tu en vaux réellement la peine
Poséidon est mort, l'amour vivra
Dans les veines du Dieu poisson
Cristallisée et blanc, mes pleurs salés
On battis les phares que tu contournes
Tu sourit au pirates de l'amour
A croire que cela t'amuses...
Les belles Néréides, m'ont entendu crié
Elle m'ont voué le culte que je méritais
Noyé dans mon sépulcre d'ivoire,
Elles on prié le scaphandre Maudit...
Le Zéphyr brulant annonce ta lumière
Tes chevilles ont tout éclaboussé
Jusque dans mes suicides, tu hantera
Mes sommeils, dans l'aquarium de ma folie
Leurs sang sur ta peau laiteuse
Je savais ces hommes incapable de t'aimer
C'est horrible
L'hémoglobine puante des ces fous
N'altère en rien ton parfum...
Aux sources inaltérables de tes cordes vocales
Ce sont mariés les conques infernales
Qui chuchotent dans un ultime vacarme
Ton désamour, ta haine, ton omnipotence
Ce monde, au sons des langueurs humides
Aux flutes érigés a ton honneur,
Tu a fait basculer, alliés et ennemis
Moi qui pensait être maitre, dans ma tombe
Tu est venu bousculer jusqu'au jugement dernier
Mes remords seront donc immortels
Chérubins de goudron, aux ailes de carbone
T'accompagne dans l'ouragan de l'orgueil
Un vaisseau viens déchiré les flots
Tes cheveux se séparent en deux fragrances
Une qui m'annonce l'été, et l'autre hérité de l'hiver
Ô misérable larme qui coule sur mon visage
Ne va tu donc jamais sécher...?
Chaarar,
Le sang revêtu d'une croute glacée
Comme une peau héritée de l'hiver
Comme un hiver hérité du vent,
Protection séculaire des éléments
J'avais la vigilance d'une mère
La clairvoyance des prophètes
L'insouciance d'un rêveur
Et mon âme, mon âme a moi
J'ai installé au sein des vagues de béton
Un abime aux mille magentas
Pour exulté de la peau de l'eau,
Chair minérale et sèche...
Dévores, ma prison de coton
L'océan abreuvera ta soif
Je ferais don du reste des miens
Leurs ossements te rassasierons
L'écume fluorescente me demande,
Si tu en vaux réellement la peine
Poséidon est mort, l'amour vivra
Dans les veines du Dieu poisson
Cristallisée et blanc, mes pleurs salés
On battis les phares que tu contournes
Tu sourit au pirates de l'amour
A croire que cela t'amuses...
Les belles Néréides, m'ont entendu crié
Elle m'ont voué le culte que je méritais
Noyé dans mon sépulcre d'ivoire,
Elles on prié le scaphandre Maudit...
Le Zéphyr brulant annonce ta lumière
Tes chevilles ont tout éclaboussé
Jusque dans mes suicides, tu hantera
Mes sommeils, dans l'aquarium de ma folie
Leurs sang sur ta peau laiteuse
Je savais ces hommes incapable de t'aimer
C'est horrible
L'hémoglobine puante des ces fous
N'altère en rien ton parfum...
Aux sources inaltérables de tes cordes vocales
Ce sont mariés les conques infernales
Qui chuchotent dans un ultime vacarme
Ton désamour, ta haine, ton omnipotence
Ce monde, au sons des langueurs humides
Aux flutes érigés a ton honneur,
Tu a fait basculer, alliés et ennemis
Moi qui pensait être maitre, dans ma tombe
Tu est venu bousculer jusqu'au jugement dernier
Mes remords seront donc immortels
Chérubins de goudron, aux ailes de carbone
T'accompagne dans l'ouragan de l'orgueil
Un vaisseau viens déchiré les flots
Tes cheveux se séparent en deux fragrances
Une qui m'annonce l'été, et l'autre hérité de l'hiver
Ô misérable larme qui coule sur mon visage
Ne va tu donc jamais sécher...?
Chaarar,
Commentaire