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A la tête d’une importante délégation d’hommes d’affaires, venus dans le cadre d’une mission de prospection, la sous-secrétaire américaine au Commerce chargée de la Manufacture et des Services, Mme Nicole Lamb Hele, a eu, jeudi, une entrevue avec le ministre algérien de l’Industrie et de la Promotion des investissements M. Hamid Temmar.
Liès Hellas - Alger (Le Soir) - Les discussions entre les deux parties ont porté surtout sur les possibilités de conclure des partenariats dans des activités hors hydrocarbures. L’Algérie offre, selon les termes utilisés dans le communiqué diffusé à cet effet, plusieurs opportunités pour une coopération diversifiée et susceptible de renforcer les échanges commerciaux entre les deux pays. Limités jusqu’ici dans un seul secteur — les Américains ont importé en 2009 l’équivalent de 20 milliards USD d’hydrocarbures algériens contre 1 milliard d’exportations diverses —, les échanges entre les deux pays restent en deçà des aspirations communes. M. Temmar a, ainsi, affiché la volonté de l’Etat algérien de s’ouvrir au partenariat étranger dans des créneaux aussi stratégiques que les «matériels motorisés, les produits pharmaceutiques, les ciments et l’électronique ». Une ouverture devant «booster la croissance tout en protégeant l’économie du pays. La politique économique telle que définie pour les cinq ans à venir garantira à l’Algérie la majorité dans ces projets». Mme Nicole Lamb Hele, qui a estimé dans une conférence de presse tenue mercredi dernier à son arrivée à l’hôtel Hilton que la législation en vigueur en Algérie ne constitue pas d’obstacle à l’investissement, a, pour sa part, souligné «la nécessité de dépasser les écueils pouvant se dresser à un moment ou à un autre». Ce faisant, il a été convenu que la multiplication des visites et des échanges d’expériences entre opérateurs économiques algériens et américains «facilitera la concertation pour mieux appréhender en temps opportun les difficultés pouvant surgir». Une autre délégation de représentants de firmes américaines est attendue en mai prochain.
L. H.
Liès Hellas - Alger (Le Soir) - Les discussions entre les deux parties ont porté surtout sur les possibilités de conclure des partenariats dans des activités hors hydrocarbures. L’Algérie offre, selon les termes utilisés dans le communiqué diffusé à cet effet, plusieurs opportunités pour une coopération diversifiée et susceptible de renforcer les échanges commerciaux entre les deux pays. Limités jusqu’ici dans un seul secteur — les Américains ont importé en 2009 l’équivalent de 20 milliards USD d’hydrocarbures algériens contre 1 milliard d’exportations diverses —, les échanges entre les deux pays restent en deçà des aspirations communes. M. Temmar a, ainsi, affiché la volonté de l’Etat algérien de s’ouvrir au partenariat étranger dans des créneaux aussi stratégiques que les «matériels motorisés, les produits pharmaceutiques, les ciments et l’électronique ». Une ouverture devant «booster la croissance tout en protégeant l’économie du pays. La politique économique telle que définie pour les cinq ans à venir garantira à l’Algérie la majorité dans ces projets». Mme Nicole Lamb Hele, qui a estimé dans une conférence de presse tenue mercredi dernier à son arrivée à l’hôtel Hilton que la législation en vigueur en Algérie ne constitue pas d’obstacle à l’investissement, a, pour sa part, souligné «la nécessité de dépasser les écueils pouvant se dresser à un moment ou à un autre». Ce faisant, il a été convenu que la multiplication des visites et des échanges d’expériences entre opérateurs économiques algériens et américains «facilitera la concertation pour mieux appréhender en temps opportun les difficultés pouvant surgir». Une autre délégation de représentants de firmes américaines est attendue en mai prochain.
L. H.