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Malgré les opérations successives de déminage menées par l’ANP, les mines existent toujours.
Ainsi, dans l’après-midi de jeudi dernier, au niveau de l’école primaire Daïra Brahim, dans la daïra de Ouled Driss, distante de 13 km du chef-lieu de la wilaya, des mines antipersonnel enfouies sous terre par l’armée coloniale avant 1962 ont été découvertes par un travailleur dans la cour de l’école.
Pour sécuriser les écoliers à l’intérieur de l’enceinte de l’établissement en question, l’espace où se trouvent les mines antipersonnel a été fermé à tous les passants en attendant le déminage de cette zone par l’ANP. Il faut dire que malgré les nombreuses opérations de grande envergure lancées par l’Armée nationale populaire pour déminer les régions où sont enfouies les mines, cela n’a pas pour autant arrêté l’hécatombe.
La question reste toujours posée quant au nombre important de mines antipersonnel existant jusqu’à ce jour, et il serait judicieux de jeter un coup d’œil sur les bulletins de renseignements que diffuse chaque jour le commandement de la Gendarmerie nationale.
Beaucoup de personnes sautent sur des mines datant des années 1957 et 1958. Ceux qui ont la chance de survivre sont mutilés et handicapés à vie.
Rappelons qu’au mois de mai 2001, dans la mechta d’El Fédène, dans la même commune (Ouled Driss), l’explosion d’une mine antipersonnel avait fait trois morts et deux blessés. Croyant avoir affaire à une sorte d’objet inoffensif, trois bambins le ramenèrent chez eux et c’est à l’intérieur du domicile familial que la mine explosa, tuant sur le coup deux enfants âgés de 12 et 15 ans, alors que leur frère Rahim, âgé de 3 ans, décéda lors de son évacuation vers l’hôpital.
Par le soir
Ainsi, dans l’après-midi de jeudi dernier, au niveau de l’école primaire Daïra Brahim, dans la daïra de Ouled Driss, distante de 13 km du chef-lieu de la wilaya, des mines antipersonnel enfouies sous terre par l’armée coloniale avant 1962 ont été découvertes par un travailleur dans la cour de l’école.
Pour sécuriser les écoliers à l’intérieur de l’enceinte de l’établissement en question, l’espace où se trouvent les mines antipersonnel a été fermé à tous les passants en attendant le déminage de cette zone par l’ANP. Il faut dire que malgré les nombreuses opérations de grande envergure lancées par l’Armée nationale populaire pour déminer les régions où sont enfouies les mines, cela n’a pas pour autant arrêté l’hécatombe.
La question reste toujours posée quant au nombre important de mines antipersonnel existant jusqu’à ce jour, et il serait judicieux de jeter un coup d’œil sur les bulletins de renseignements que diffuse chaque jour le commandement de la Gendarmerie nationale.
Beaucoup de personnes sautent sur des mines datant des années 1957 et 1958. Ceux qui ont la chance de survivre sont mutilés et handicapés à vie.
Rappelons qu’au mois de mai 2001, dans la mechta d’El Fédène, dans la même commune (Ouled Driss), l’explosion d’une mine antipersonnel avait fait trois morts et deux blessés. Croyant avoir affaire à une sorte d’objet inoffensif, trois bambins le ramenèrent chez eux et c’est à l’intérieur du domicile familial que la mine explosa, tuant sur le coup deux enfants âgés de 12 et 15 ans, alors que leur frère Rahim, âgé de 3 ans, décéda lors de son évacuation vers l’hôpital.
Par le soir
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