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Ouyahia reçoit l'envoyé spécial de Sarkozy

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    Algérie-France

    Ouyahia reçoit l’envoyé spécial de Sarkozy


    Le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, a reçu dimanche à Alger le secrétaire général de la présidence de la République française, M. Claude Guéant, rapporte l’APS.



    Selon l’agence de presse l’audience, qui s’est déroulée à la résidence El-Mithaq, a porté sur les relations algéro-françaises, sans toutefois donné de détails sur les sujets abordés par les deux parties. Depuis plusieurs mois les relations entre les deux pays sont au plus bas.
    Ont pris part à cette rencontre, du côté algérien, le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, et le secrétaire général de la présidence de la République, M. Habba El-Okbi.
    Etaient présents, du côté français, le conseiller diplomatique du président Nicolas Sarkozy, M. Jean-David Levitte, le conseiller technique à la cellule diplomatique de la présidence de la République chargé de l’Afrique du Nord, du Proche et Moyen-Orient, M. Nicolas Galey.




    Par El Watan avec APS
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Que ceux qui veulent que l'Algérie et les algériens se mettent à plat ventre , meéditent un peu .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

    Commentaire


    • #3
      Des émissaires de l'Elysée pour renouer le dialogue avec l'Algérie



      Envoyés à Alger par le président Nicolas Sarkozy, dimanche 21 février, le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, et le conseiller diplomatique, Jean-David Levitte, n'ont pas eu la tâche aisée. Reçus par le premier ministre, Ahmed Ouyahia, accompagné du ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, ils se sont appliqués à dénouer une série de contentieux et, sortir, selon un diplomate français, "de cette période d'aigreur". Dans l'immédiat, ces échanges n'ont pas abouti à des mesures concrètes, hormis des "pistes de travail", mais, de source algérienne, on note avec satisfaction le "désir de désamorcer les choses, côté français". "
      _ ] "Des propos qui n'honorent ni la France ni son peuple"


      La Fondation algérienne du 8 Mai 1945, une ONG proche des autorités, a estimé, dimanche 21 février, que les propos du ministre des affaires étrangères français, Bernard Kouchner, sur la relation franco-algérienne, "n'honorent ni la France, ni son peuple". "Les propos de M. Kouchner ne sont pas étrangers à nos prévisions. Ils n'honorent ni la France, ni son peuple, ni même les principes du socialisme dont il est tributaire", a indiqué la Fondation 8 mai 1945.
      Sachez que "l'Algérie (...) est indépendante. Elle est souveraine et ses politiques le sont également", ajoute la Fondation.










      "C'était très timide, disons que cela ressemblait à une mission de bonne volonté affichée, avant, peut-être d'autres étapes", a indiqué au Monde un officiel algérien, sous couvert d'anonymat. "Ces contacts seront poursuivis", assure-t-on côté f'rançais.
      La libération par Bamako - contre l'avis d'Alger - de quatre combattants islamistes au Mali, en échange de celle du français Pierre Camatte enlevé fin novembre 2009 dans le nord malien par Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), a ajouté une pomme de discorde dans un contexte déjà fourni entre Paris et Alger. Et les déclarations, samedi, de Bernard Kouchner, n'ont rien arrangé. Interrogé par Le Journal du dimanche sur les relations franco-algériennes, le ministre des affaires étrangères avait répondu: "Nos rapports avec l'Algérie ont été à ce point sentimentaux, violents et affectifs que tout est très difficile et douloureux. La génération de l'indépendance algérienne est encore au pouvoir. Après elle, ce sera peut-être plus simple." Aussitôt, la presse algérienne a dénoncé "l'arrogance" de M. Kouchner, estimant qu'il avait eu des propos "humiliants" pour le peuple algérien et, en particulier, pour son président, Abdelaziz Bouteflika, qui fêtera dans quelques jours ses 73 ans.
      La visite éclair de la délégation française, arrivée le matin même et repartie en fin d'après-midi, a néanmoins fait l'objet d'une intense préparation, des deux côtés, au cours de plusieurs séances de travail à Paris, en compagnie de l'ambassadeur d'Algérie, Missoum Sbih. Dès jeudi, l'annonce de la libération imminente des quatre islamistes au Mali était acquise après leur condamnation par un tribunal de Bamako à des peines déjà couvertes par leur détention pour "possession illégale d'armes de guerre". Dimanche, le président malien, Amadou Toumani Touré, a déclaré avoir de "l'espoir pour la (libération) de tous les otages européens", trois Espagnols, deux Italiens et un Français détenus par AQMI. "L'otage français est bien traité, il est en vie", a-t-il ajouté, selon l'Agence France-Presse.
      L'AQMI avait fixé la date-butoir du 20 février, menaçant de tuer à cette date M. Camatte si ses "combattants" n'étaient pas libérés. Mais dimanche, à Alger, ce dossier, assure-t-on, n'a pas été abordé au fond. La délégation française a simplement "remercié" les Algériens de leur "compréhension".
      Pour apaiser l'iritation d'Alger, tous les sujets de crispation qui se sont accumulés ces derniers mois, ont été passés en revue. Les autorités algériennes ont dressé une liste de griefs et posé leurs exigences. Dans l'ordre: la confirmation, rapide, du non-lieu requis le 9 février par le parquet de Paris en faveur du diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, interpellé en France en 2008 et placé sous contrôle judiciaire dans l'enquête sur l'assassinat de l'opposant Ali Mecili, en 1987, à Paris - une affaire qui empoisonne les relations bilatérales depuis deux ans; le retrait de l'Algérie de la "liste noire" des pays à risque en matière de sécurité aérienne après son inscription révélée en janvier. Une disposition qui a particulièrement mis en colère les autorités algériennes, du fait de la lutte antiterroriste qu'elles mènent depuis des années en collaboration avec les Européens et les Américains.
      Isabelle Mandraud
      Dernière modification par Iska, 22 février 2010, 14h49.
      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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      • #4
        Sarkozy a donc fini par dépêcher le véritable premier ministre et le véritable ministre des A.E. de la France. Cela prouve que la "chose" est importante....

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        • #5

          Sarkozy a donc fini par dépêcher le véritable premier ministre et le véritable ministre des A.E. de la France. Cela prouve que la "chose" est importante....

          he oui... et parlant de viellles générations dixit kouchner (71 ans), guéant et lavitte ont respectivement 7 ans et 6 ans de plus que hmimed

          kouchner a 4 ans de plus que medelci
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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