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L’installation de l’AFRICOM est en marche au Maghreb

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  • L’installation de l’AFRICOM est en marche au Maghreb

    Les discussions concernant le Commandement régional américain pour l’Afrique (AFRICOM) se sont imposées une fois de plus à l’attention dans le Maghreb, à la suite de la publication dans Asharq Alawsat, le 15 février dernier , d’une interview exclusive avec un haut diplomate servant comme Adjoint en Commandant de l’entité militaire.

    Dans cette interview, J. Anthony Holmes – ancien ambassadeur américain au Burkina Faso – a abordé la question persistante de l’intention de l’AFRICOM d’établir un quartier général en Afrique. « De nombreux pays africains ont exprimé leur intérêt d’accueillir l’AFRICOM, mais nous avons pris la décision de rester en Allemagne pour une durée indéterminée », a dit l’Adjoint au Commandant chargé des activités civiles et militaires.

    Holmes a souligné que la stratégie mise en place par l’AFRICOM pour lutter contre Al Qaida au Maghreb Islamique se centrait sur la coopération avec les gouvernements de la région, et non par l’intervention militaire directe.
    Les personnels de l’AFRICOM sont, en fait, actifs depuis très longtemps dans la coopération militaire existante dans les nations de toute l’Afrique. Les militaires des Etats-Unis conduisent des formations et des exercices conjoints en partenariat avec les nations à travers l’Afrique.

    Les soldats marocains et les troupes de la Garde Nationale américaine ont su , par exemple, développer un partenariat fructueux durant les six dernières années. Des actions conjointes ont permis de répondre à des besoins tels que l’ingénierie, le secours aux populations sinistrées et la gestion des crises et des épidémies. Le Commandement américain en Afrique a aussi participé à des exercices conjoints avec des troupes de l’Ouganda, du Kenya et de la Tanzanie, pour préparer aux crises humanitaires et aux catastrophes naturelles, tandis qu’au Libéria, l’année dernière, les Marines américains ont aidé à former des officiers non commissionnés dans l’armée libérienne.

    Le rôle du commandement régional américain pour l’Afrique a pris de l’importance avec la persistance du problème de la piraterie et de terrorisme s’est répandu dans le Sahel et dans des pays comme la Somalie, ce qui nécessite une réflexion profonde autour des moyens de maintenir la stabilité sur le continent. Ces efforts ne sont pas seulement étayés par l’AFRICOM, mais aussi par l’OTAN, qui a des relations bien établies avec les pays de la région par le biais de manoeuvres stratégiques conjointes.

    Les inquiétudes exprimées par les responsables politiques et militaires des pays africains et plus précisément ceux du Maghreb ont poussé les gouvernements à travailler ensemble avec les experts américains pour affronter le phénomène de l’extrémisme et de la violence. Récemment les visites des responsables d’AFRICOM se sont multipliées. En novembre dernier, le Chef de l’US Africa Command militaire (AFRICOM) a rencontré le Président algérien Abdelaziz Bouteflika afin de discuter avec lui le renforcement de la coopération bilatérale dans le domaine de lutte contre le terrorisme. Le Général William Ward, chef de l’US Africa Command a exprimé durant cette rencontre la motivation des forces américaines de travailler avec l’Algérie sur des projets futurs en matière de lutte anti-terroriste.
    « Je suis venu pour écouter les inquiétudes exprimées par les responsables politiques et militaires en Algérie, et pour connaître leurs positions sur les questions qui se posent actuellement », a expliqué Ward aux responsables algériens. « Nous devons travailler ensemble pour affronter le phénomène de l’extrémisme et de la violence » a expliqué le commandant américain.
    Le responsable américain a déclaré qu’il appréciait les positions officielles algériennes sur les « développements face à la situation sécuritaire continentale et à la menace terroriste ». Les deux parties ont évoqué le renforcement de leur coopération en matière de sécurité, dans le domaine du partage d’information par le biais de la formation.

    Dans le sillage de la visite de Ward, le spécialiste algérien en affaires de sécurité Hocine Boulahia a appelé Washington “à s’en tenir au renforcement des relations entre l’armée américaine et l’armée algérienne dans différents secteurs basés sur l’intérêt commun”, et il a ajouté qu’au début du mois de novembre, l’Algérie avait “reçu une équipe médicale américaine dans le cadre du programme de coopération visant à aider le commandement médical militaire dans sa gestion des catastrophes naturelles à grande échelle“.

    En vertu de sa situation centrale et stratégique dans le Maghreb, l’Algérie a maintenant commencé à émerger comme un ‘noyau’ aux yeux des américains dans plusieurs initiatives portant sur la coopération multiple et régionale. D’autres pays s’intéressent aussi de coopérer avec AFRICOM. Le lieutenant Général Abdoulaye Fall, Chef d’Etat-Major de l’armée sénégalaise, a affirmé début février 2010 qu’il appréciait les efforts du Commandement américain en vue « d’aider les africains à mieux gérer les problèmes liés à la sécurité et à s’investir eux-mêmes dans ce domaine ». Les spécialistes tunisiens du terrorisme réagissent aussi favorablement aussi aux efforts menés dans l’anti-terrorisme et en vue du renforcement de la coopération pour mettre un frein à l’expansion d’al-Qaïda en Afrique du Nord.
    Adel Chaouch, membre du parlement tunisien, a expliqué récemment les dangers de l’expansion d’al-Qaïda dans la région. « Le Maghreb n’est pas à l’abri du terrorisme », a déclaré Chaouch, député du mouvement d’opposition Ettajdid.

    L’analyste politique tunisien Morsel Kesibi a expliqué au journal Magharebia que « les questions du terrorisme et de la lutte restent encore vitales pour tous les pays du monde, car la stabilité et la paix sont des conditions nécessaires pour parvenir au développement et au bien-être de tous les peuples, partout dans le monde ». « Je pense qu’al-Qaïda et son idéologie extrémiste ont grandi dans un environnement qui a été très long à mettre en place les fondements de la justice, de la transparence, du respect de la loi et de l’institutionnalisation dans certains pays de la région. » ajoute-t-il. Dans l’opinion publique toutefois, le rôle joué par le Commandement américain reste peu connu.

    Fatima al-Gheriani, étudiante tunisienne d’une vingtaine d’année, déclare : « Je ne m’imaginais pas que l’armée américaine pouvait opérer hors des zones de combat ; je ne l’avais jamais vu. Son intervention à Haïti à la suite du récent séisme m’a malgré tout fait penser autrement ». Des voix s’élèvent en Tunisie pour abriter le siège de l’AFRICOM, une question qui a fait l’objet des spéculations des médias après des informations sur la demande du Maroc d’accueillir cette force.

    Adnen Hasnaoui, un militant pro-américain très célèbre en Tunisie, travaille depuis des années pour le renforcement de la stratégie de la lutte anti-terroriste et n’exclut pas la possibilité que son pays hébergera le commandement régional américain pour l’Afrique en lieu et place de l’Allemagne actuellement.

    L’AFRICOM a « tiré les enseignements de ses expériences antérieures… particulièrement dans l’approche qu’il a adopté“, déclare Adnan Al Hasnaoui, activiste tunisien travaillant pour le compte de plusieurs associations américaines des Droits de l’Homme. Son approche semble maintenant « basée sur l’action multilatérale et l’intervention par des moyens à la fois militaires et diplomatiques, à travers aussi des contributions au développement local“, indique-t-il.

    « Je suis soulagé que la volonté des Etats-Unis soit de créer la coordination nécessaire avec les forces armées des pays africains, et de coopérer avec elles… dans leur mission de préservation de la sécurité et de la stabilité, et pour affronter le terrorisme qui menace la région“, ajoute Al Hasnaoui.
    Au sujet du siége de l’AFRICOM, beaucoup d’informations restent en effet contradictoire.

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    Ftouh Souhail le Feb 22nd, 2010

  • #2
    L’installation de l’AFRICOM est en marche au Maghreb suite

    Un responsable du Pentagone s’est longuement entretenu sur cette question avec les responsables algériens et sur la lutte contre le terrorisme en Afrique, a encore dit en novembre dernier que la position qui a été officiellement prise par les Etats-Unis est que l’AFRICOM a choisi la ville allemande de Stuttgart pour accueillir son siège permanent, et que le Commandement n’a aucune intention de construire des bases militaires en Afrique en ce moment.

    Néanmoins Mary Carlin Yates, la commandante adjointe civile de l’AFRICOM, disait lors de sa vidéoconférence à l’ambassade américaine à Alger le 16 janvier 2008, que des pays africains postulaient pour abriter le siège de ce commandement militaire.

    Mettant à profit le refus de certains pays africains, dont l’Algérie, d’accueillir le siège du commandement militaire américain (Africom), le royaume du Maroc est depuis deux ans entrain de négocier et de conclure en douce avec les États-Unis l’installation de cette structure militaire sur son territoire.

    Aujourd’hui le Maroc est sur le point de conclure cet accord avec les États-Unis sur l’installation à Tan Tan d’une base du commandement militaire en Afrique. La numéro deux de l’Africom a indiqué que des membres du Congrès américain ont mis les dernières retouches à un accord avec les autorités marocaines, au cours d’un récent séjour au Maroc, pour que la base devant abriter le commandement militaire US pour l’Afrique sera édifiée pas loin de Tan Tan dans le sud, à la limite des frontières du Sahara Occidental.

    C’est la bourgade de Ras Dari qui a été choisie pour abriter ce projet. Des négociations entre le renseignement américain et les services secrets marocains ont préparé le terrain à cet accord conclu par les congressmen US, lesquels auraient visité d’autres pays africains, alliés de Washington, qui étaient sur les rangs pour accueillir le siège de l’Africom.

    Des experts américains ont réalisé une étude topographique du terrain, qui se prête idéalement à un tel projet en raison de la proximité des côtes atlantiques marocaines, d’où la facilité pour l’US Navy de s’en approcher.
    Transmise au Pentagone, la proposition a été entérinée par le département de Robert Gates, qui entamera prochainement la livraison des équipements nécessaires à la construction de la base. En échange de ces facilités, les États-Unis ont proposé au Maroc une contrepartie financière, sous forme d’aide très séduisante, indiquent les mêmes sources.

    Ceci étant, la présence militaire américaine au Maroc ne constitue pas un fait nouveau dans la mesure où le royaume alaouite a autorisé en 1983 les États-Unis à édifier plusieurs installations de ce genre, dont la plus célèbre est la base aérienne de Ben Jarir, située à une soixantaine de kilomètres de Marrakech.
    Rabat a également proposé aux USA de construire des bases au Sahara Occidental, mais Washington, qui ne reconnaît que l’administration marocaine dans ce territoire, et non sa souveraineté en raison de la contestation du Front Polisario, a rejeté cette offre. Ainsi, Mohammed VI a mis à profit le refus de nombreux pays africains d’accueillir le commandement de l’Africom, dont particulièrement l’Algérie et le Nigeria, pour soumettre sa proposition. Une aubaine que le Pentagone ne pouvait se permettre de rater au vu de l’hostilité de la majeure partie des États du continent à ce projet.

    Nombre d’entre eux ont justifié leur position par le fait qu’une présence militaire US sur leur territoire pourrait être à l’origine d’attentats terroristes. Il est de notoriété publique que la nébuleuse Al-Qaïda de Oussama Ben Laden s’attaque aux intérêts américains partout dans le monde.

    Mais il semble que Rabat a été très courageuse par rapport à d’autres pays, notamment la Tunisie qui a beaucoup hésité à accueillir le quartier général en Afrique. Le Maroc a fait preuve d’une logique implacable. Il ne peut moderniser son armée à coup de milliards comme le fait l’Algérie… alors une issue pareille, il fallait s’y attendre.


    Ftouh Souhail

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    • #3
      Rabat a également proposé aux USA de construire des bases au Sahara Occidental, mais Washington, qui ne reconnaît que l’administration marocaine dans ce territoire, et non sa souveraineté en raison de la contestation du Front Polisario, a rejeté cette offre. Ainsi, Mohammed VI a mis à profit le refus de nombreux pays africains d’accueillir le commandement de l’Africom, dont particulièrement l’Algérie et le Nigeria, pour soumettre sa proposition.
      Qu'ils aillent l'installer en territoire espagnole en Afrique: les Espagnoles ne sont-ils pas leur alliés, membre de l'OTAN et ils disposent d'un terrain en Afrique aux frontiéres marocaines!

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      • #4
        les états africains a part l'Algérie ne reconnaissent pas la souveraine de l'Espagne sur ces terres
        renseignes-toi mieux: sebta et Mlila sont reconnus comme territoires espagnoles par tlm, EU, USA, Africains, Asiatique.. et même par le Maroc lui même puisque les marocains vont demander un Visa auprés des Consulats espagnoles pour se rendre sur leur propre territoire!

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        • #5
          comme d'hab ,au lieu de parler de cette guerre qui se concocte au pentagone ,vous politiqués HS.....
          le grand Sahara(de dakhla jusqu'a Ghat) sera américain ,et personne n'est contre (ni boutef ni sidi zekri )reste a négocier les modalités .les enchères fonctionnent bien dans cette région

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          • #6
            @pentium

            De nombreux pays appartenant à l'Union africaine, à l'Organisation de la conférence islamique, ou à la Ligue arabe ont exprimé leur soutien aux revendications marocaines. Ces territoires revendiqués ne font cependant pas partie des territoires non-autonomes en attente de décolonisation tels que définis par l'ONU. L'Espagne, quant à elle, peut compter sur le soutien de l'Union Européenne, qui l'aide à financer sa politique de lutte contre l'immigration clandestine dans cette région.
            entre ce que tu dis est la réalité y a comme même une différence tu trouve pas?, car entre soutenir les revendications marocaines, et ne pas reconnaitre la souveraineté espagnole y a une sacré différence.
            Anakin

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            • #7
              La souveraineté espagnole sur Ceuta et Melilla n'est reconnue ni par l'Union africaine [3], ni par l'Organisation de la conférence islamique, ni par la Ligue arabe, ni par l'organisation de l'Union du Maghreb arabe, les pays membres de ces quatre organisations considérant que l'Espagne doit décoloniser ces territoires et les restituer au Maroc. De plus Melilla ne bénéficie pas de la protection de l'OTAN[4].
              Tu sais mon ami, même l'Algérie soutient la revendication marocaine de ses terres, il suffit que le Roi s'en occupe un peu; soutenir une cause est une chose, mais son statut de facto en est une autre!

              Ceuta a obtenu en 1995 le statut de « ville autonome » (en espagnol : Ciudad Autónoma de Ceuta), statut intermédiaire entre la commune et la communauté autonome. Auparavant, Ceuta faisait partie de la province de Cadix. L'enclave est également incluse dans l'Union européenne ; avant l'entrée de l'Espagne dans ce qui était alors la Communauté européenne, en 1986, la ville avait le statut de port franc. En 2009, elle est intégrée au système monétaire européen, à l'instar de toute l'Espagne.
              De nombreux pays appartenant à l'Union africaine[3], à l'Organisation de la conférence islamique, ou à la Ligue arabe ont exprimé leur soutien aux revendications marocaines. Ces territoires revendiqués ne font cependant pas partie des territoires non-autonomes en attente de décolonisation tels que définis par l'ONU. L'Espagne, quant à elle, peut compter sur le soutien de l'Union Européenne, qui l'aide à financer sa politique de lutte contre l'immigration clandestine dans cette région.

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              • #8
                Durant cette crise, le Maroc est soutenu dans ses revendications par tous les membres de la Ligue arabe à l'exception de l'Algér


                Morocco's claims had official support from the Arab League, except for Algeria, which reinstated its recognition of Spanish sovereignty over the exclaves of Ceuta and Melilla. This exception should be placed in the context of historical geopolitical tension between Morocco and Algeria, combined with the fact that Spain is currently Algeria's third biggest trading partner (mostly based on the natural gas trade).


                http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Elot_Persil

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                • #9
                  Morocco's claims had official support from the Arab League, except for Algeria,
                  Même Wikiki dermande à l'auteur de ces propos d'étayer par des sources fiables.
                  Envoyé par Dans Wikiki
                  Durant cette crise, le Maroc est soutenu dans ses revendications par tous les membres de la Ligue arabe à l'exception de l'Algérie[réf. nécessaire],
                  Sens donné à ref. nécessaire
                  Envoyé par Dans wikiki aussi
                  Vous êtes arrivé sur cette page en suivant un lien du type : [réf. nécessaire].

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                  En attendant que ce problème soit réglé, les lecteurs sont invités à considérer cette information avec précaution.

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                  • #10
                    Aujourd’hui le Maroc est sur le point de conclure cet accord avec les États-Unis sur l’installation à Tan Tan d’une base du commandement militaire en Afrique. La numéro deux de l’Africom a indiqué que des membres du Congrès américain ont mis les dernières retouches à un accord avec les autorités marocaines, au cours d’un récent séjour au Maroc, pour que la base devant abriter le commandement militaire US pour l’Afrique sera édifiée pas loin de Tan Tan dans le sud, à la limite des frontières du Sahara Occidental.
                    Tout benef pour le Maroc, grosse menace pour l'Algerie gazière. Ca fera reflechir Alger 2 fois avant de vouloir "se perdre" hors de ses frontieres encore.

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                    • #11
                      RIF

                      Tu n'as pas d'informations plus fiables que celles que vous p^échez dans la poubelle de MICKEYPEDIA;

                      Vous serez plus crédibles .
                      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                      • #12
                        La chose qui a plus motivée le Maroc pour accepter ou plutot se prosterner aux americains c'est ça;

                        Transmise au Pentagone, la proposition a été entérinée par le département de Robert Gates, qui entamera prochainement la livraison des équipements nécessaires à la construction de la base. En échange de ces facilités, les États-Unis ont proposé au Maroc une contrepartie financière, sous forme d’aide très séduisante, indiquent les mêmes sources.

                        Il fallait leurs montrer le porte monnaie, est tout deviendra possible.

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                        • #13


                          The Algerian government favored “exception” when it sided with Spain in its aggression against Morocco, the London-based Al-Quds Al-Arabi daily wrote, recalling that both Morocco and Algeria are members of the Arab Maghreb Union (UMA).

                          The Algerian minister for Maghreban and African affairs had accused Morocco of violating Spain’s territorial integrity and that his country “decries any policy aimed at violating international legality.”

                          source:
                          Al-Quds Al-Arabi daily



                          Algerian minister of Maghreban and African affairs, Abdelkader Messahel, said Tuesday "Algeria refuses any fait accompli policy and any violation of international legality" and drew a comparison between the Mediterranean Leila islet and the Sahara issue, which he both considered as situations of borders inherited at independence.


                          http://www.arabicnews.com/ansub/Dail...002071822.html

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                          • #14
                            Tout benef pour le Maroc, grosse menace pour l'Algerie gazière. Ca fera reflechir Alger 2 fois avant de vouloir "se perdre" hors de ses frontieres encore.

                            le gaz te derange a ce point ???

                            aucun de tes conseils ta pas compris encore , on verra qui c'est qui va se perdre

                            et se mai a genoux pour l'ouverture de la frontiere

                            comment ta pu endormir tout le forum avec ce nombre impressionnant de post chapeau chapeau ayoub

                            Commentaire


                            • #15
                              la base devant abriter le commandement militaire US pour l’Afrique sera édifiée pas loin de Tan Tan dans le sud, à la limite des frontières du Sahara Occidental.
                              Ce serait une excellente nouvelle pour tout le monde. Peut être des subsides à la partie marocaine et une avancée dans la lutte contre la drogue pour la partie algérienne.


                              Les narco-trafiquants étouffes par les GGF aux frontières ouest privilégient depuis quelque temps la filière sud et les routes sahélienne.

                              Avec la mer au nord et à l'ouest, les GGF aux frontières algériennes et l'Africom au sud, il ne restera plus aux barons de la drogue que d'inventer des vertues culinaires au cannabis. Pourquoi pas un "Tadjine Zetla"

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