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Le président Bouteflika boude les festivités officielles du 24 février

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  • Le président Bouteflika boude les festivités officielles du 24 février

    Cette année, le président Abdelaziz Boutefika a décidé de bouder la célébration officielle du 24 février, double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures. Le chef de l’Etat, qui a participé à la quasi-totalité des festivités officielles du 24 février depuis 1999, veut ainsi montrer son mécontentement de la gestion des deniers publics de la part des responsables de l’Etat, a indiqué à TSA une source proche de la présidence de la République.

    Au lieu d’assister à la célébration du 24 février, M. Bouteflika s’est contenté mardi 23 février d’adresser un message aux travailleurs à l’occasion de cette date historique. Un message où M. Bouteflika a réitéré la détermination de l’Etat à lutter contre la corruption dans un contexte marqué par l’éclatement début 2010 du scandale de Sonatrach, la société nationale des hydrocarbures qui constitue l’un des symboles de la nationalisation des hydrocarbures par le défunt président Houari Boumedienne le 24 février 1971.

    « La lutte contre la corruption sous toutes ses formes se poursuivra dans le cadre de la loi qui s'inscrit, elle même, en droite ligne des conventions et traités internationaux y afférents et dont l'Algérie compte parmi les premiers signataires », a écrit Bouteflika dans son message.

    C’est la première fois que le chef de l’Etat évoque la lutte contre la corruption depuis l’éclatement du scandale de Sonatrach. Le PDG de cette compagnie a été placé sous contrôle judiciaire dans une affaire de malversations présumées sur des contrats attribués à des groupes locaux et étrangers. Deux vice-présidents de Sonatrach ont été mis sous mandat de dépôt et un troisième placé sous contrôle judiciaire, dans le cadre de cette même affaire.

    TSA
    Zineb Benzita

  • #2
    Pas étonnant qu'il se fasse inscrire aux abonnés absents ............ les casseroles à traîner sont vraiment trop lourdes.
    Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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    • #3
      Comme s'il n'avait rien à y voir dans les affaires de corruption en général et celles de Sonatrach en particulier!!!
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Zaama comme s'ils n'ont rien à voir avec cette corruption .comme toujours des fusibles vont sauter et la corruption continue
        Le bon combat est celui qui est engagé au nom de nos rêves.

        paulo COELHO

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        • #5
          Le mutisme de Bouteflika à ses explications. D’abord les scandales mettent en cause les plus proches collaborateurs du chef de l’Etat, du moins les hommes à qui il a confié la gestion des grands ministères : celui de l’énergie et des Mines et celui des Travaux publics. Les enquêtes en cours révèlent que la gestion de ses deux départements a engendré de graves préjudices au trésor public qui se chiffreraient en milliards de dollars. Sur ces deux dossiers, le chef de l’Etat se retrouve, d’une manière ou d’une autre, dans une position très inconfortable : laisser l’enquête aller à son terme équivaudrait à lâcher ses deux ministères. Impensable qu’on sait que Sonatrach constitue le coffre-fort qui permet au clan de Bouteflika de prospérer, de financer ses campagnes électorales, de rétribuer les courtisans du clan, d’alimenter les entrepreneurs locaux et étrangers avec de petits et gros contrats.

          La suiteICI
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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