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Le premier ksar de la vallée du M’zab dénommé Talasdit a été mis au jour, lundi dans la localité d’El-Atteuf, à 10 km du chef-lieu de wilaya, fortuitement lors d’un labour effectué par un agriculteur.
Le site, qui renferme des traces et vestiges du premier noyau d'un établissement humain dans la région, qui remonterait au IXe siècle de l’ère chrétienne, sera expertisé par des spécialistes pour déterminer avec précision l’authenticité et la date d’édification de ce ksar.
Des tessons de céramique et de terre cuite ont été mis au jour, selon les mêmes responsables, qui considèrent ce site comme étant le premier noyau d’un tissu urbain dans la vallée du M’zab.
La vallée du M’zab, située à 600 km au sud d’Alger, comporte cinq ksour (El-Atteuf, Béni Isguen, Melika, Bounoura et Ghardaia), dont le plus ancien est celui d’El-Atteuf, datant du Xe siècle. Les responsables locaux du secteur de la culture estiment que la mise au jour de ce site a été rendue possible suite aux inondations qu’a connues la région de Ghardaïa en 2008, lesquelles ont charrié les décombres. Ils ont fait appel au sens civique de la population pour déclarer toute découverte éventuelle de vestiges pouvant permettre de comprendre la culture lointaine de la région.
Par le Soir
Le site, qui renferme des traces et vestiges du premier noyau d'un établissement humain dans la région, qui remonterait au IXe siècle de l’ère chrétienne, sera expertisé par des spécialistes pour déterminer avec précision l’authenticité et la date d’édification de ce ksar.
Des tessons de céramique et de terre cuite ont été mis au jour, selon les mêmes responsables, qui considèrent ce site comme étant le premier noyau d’un tissu urbain dans la vallée du M’zab.
La vallée du M’zab, située à 600 km au sud d’Alger, comporte cinq ksour (El-Atteuf, Béni Isguen, Melika, Bounoura et Ghardaia), dont le plus ancien est celui d’El-Atteuf, datant du Xe siècle. Les responsables locaux du secteur de la culture estiment que la mise au jour de ce site a été rendue possible suite aux inondations qu’a connues la région de Ghardaïa en 2008, lesquelles ont charrié les décombres. Ils ont fait appel au sens civique de la population pour déclarer toute découverte éventuelle de vestiges pouvant permettre de comprendre la culture lointaine de la région.
Par le Soir
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