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La Tunisie, 48ème destination mondiale des compétences
Devinez qui est le dernier du classement ?
L’un des phénomènes causant l’insomnie dans l’ensemble des pays arabes ; gouvernements, secteurs économiques tous azimuts, c’est le phénomène de la migration des compétences.
Un[ phénomène de plus en plus accrus et qui a des effets de plus en plus néfastes sur l’ensemble de ces pays qui se trouvent privés des compétences, des cervelles dont on ne peut plus en faire usage, ce qui cause des pertes énormes et qui pose même une menace aux économies arabes.
Selon une étude du Centre du Golfe des Etudes Stratégiques, la fuite des cerveaux dans les pays arabes est à l’origine de perte de quelques 200 Milliards de dollars l’année. Au même moment, le nombre des scientifiques, médecins, ingénieurs et autres compétences arabes est de plus en plus grandissant dans les pays de l’Amérique du Nord et de l’Europe. Selon les statistiques de la Ligue Arabe, ils sont aujourd’hui au nombre de 450 milles.
Le dit rapport a tiré la sonnette d’alarme en indiquant que 50% des médecins arabes, 23% des ingénieurs et 15% des chercheurs migrent chaque année vers les Etats-Unis et le Canada, ceci au même moment que 54% des étudiants arabes éluent résidence dans les pays où ils ont poursuivi leurs études.
Selon le même rapport, les résultats de cette fuite sont diversifiés, à leur tête on trouve les restrictions posées sur la liberté de recherche scientifique, le manque de moyens financiers, la négligence de la recherche, ceci avec les conditions attractives proposées par les pays occidentaux. On rappelle ici les mesures prises par la France qui a instauré en 2006 un visa pour les compétences, permettant à son détenteur de jouir de pratiquer n’importe quel métier ainsi que de demeurer dans l’hexagone pour une période de trois années, renouvelables.
Malgré cette hausse qualifiée de dramatique de la fuite des cerveaux de leurs pays arabes d’origine, les dernières années ont connu certaines initiatives dont l’objectif est d’attirer les compétences un peu partout dans le monde arabe et de les développer. Ainsi, et selon le Forum de Davos, certains pays arabes se sont distingués dans l’attraction des compétences et on trouve qu’un pays tel que le Qatar occupe le deuxième rang mondial dans cet indice.
Les autres pays arabes ont respectivement occupé la troisième place par les Emirats Arabes Unis, suivi par le Bahreïn, 10ème, l’Arabie Saoudite 17ème, le Sultanat d’Oman 22ème, le Koweït 40ème, la Tunisie 48ème, la Jordanie 77ème, le Maroc 86ème, la Libye 95ème, la Syrie 118ème, l‘Egypte 123ème et l’Algérie 127ème.
Audinet Tunisie
Un[ phénomène de plus en plus accrus et qui a des effets de plus en plus néfastes sur l’ensemble de ces pays qui se trouvent privés des compétences, des cervelles dont on ne peut plus en faire usage, ce qui cause des pertes énormes et qui pose même une menace aux économies arabes.
Selon une étude du Centre du Golfe des Etudes Stratégiques, la fuite des cerveaux dans les pays arabes est à l’origine de perte de quelques 200 Milliards de dollars l’année. Au même moment, le nombre des scientifiques, médecins, ingénieurs et autres compétences arabes est de plus en plus grandissant dans les pays de l’Amérique du Nord et de l’Europe. Selon les statistiques de la Ligue Arabe, ils sont aujourd’hui au nombre de 450 milles.
Le dit rapport a tiré la sonnette d’alarme en indiquant que 50% des médecins arabes, 23% des ingénieurs et 15% des chercheurs migrent chaque année vers les Etats-Unis et le Canada, ceci au même moment que 54% des étudiants arabes éluent résidence dans les pays où ils ont poursuivi leurs études.
Selon le même rapport, les résultats de cette fuite sont diversifiés, à leur tête on trouve les restrictions posées sur la liberté de recherche scientifique, le manque de moyens financiers, la négligence de la recherche, ceci avec les conditions attractives proposées par les pays occidentaux. On rappelle ici les mesures prises par la France qui a instauré en 2006 un visa pour les compétences, permettant à son détenteur de jouir de pratiquer n’importe quel métier ainsi que de demeurer dans l’hexagone pour une période de trois années, renouvelables.
Malgré cette hausse qualifiée de dramatique de la fuite des cerveaux de leurs pays arabes d’origine, les dernières années ont connu certaines initiatives dont l’objectif est d’attirer les compétences un peu partout dans le monde arabe et de les développer. Ainsi, et selon le Forum de Davos, certains pays arabes se sont distingués dans l’attraction des compétences et on trouve qu’un pays tel que le Qatar occupe le deuxième rang mondial dans cet indice.
Les autres pays arabes ont respectivement occupé la troisième place par les Emirats Arabes Unis, suivi par le Bahreïn, 10ème, l’Arabie Saoudite 17ème, le Sultanat d’Oman 22ème, le Koweït 40ème, la Tunisie 48ème, la Jordanie 77ème, le Maroc 86ème, la Libye 95ème, la Syrie 118ème, l‘Egypte 123ème et l’Algérie 127ème.
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