Annonce

Réduire
Aucune annonce.

C.F.R. (Council on Foreign Relations) dévoile son agenda de gouvernance mondiale

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • C.F.R. (Council on Foreign Relations) dévoile son agenda de gouvernance mondiale

    Mercredi 3 Mars 20107:03

    Le C.F.R. (Council on Foreign Relations) souvent décrit comme le "véritable département d'état" a lancé une initiative pour promouvoir et appliquer un système de gouvernance mondiale efficace.


    Henry Kissinger, un membre du C.F.R. (Council on Foreign Relations), prédit qu' Obama voudra " ... donner une nouvelle impulsion à la politique étrangère américaine en partie à cause de l'accueil extraordinaire qu'il reçoit à travers le monde. Je pense que sa tâche sera de développer une stratégie d'ensemble pour l'Amérique dans cette période, où, vraiment, un nouvel ordre mondial peut-être crée. C'est une fantastique opportunité, ce n'est pas simplement une crise."


    Le programme intitulé I.I.G.G. (The International Institutions and Global Gouvernance Program - Les Institutions Internationales et le Programme de Gouvernance Mondiale) utilise les ressources du " ... Programme d'Etudes David Rockfeller, pour faire une estimation des mécanismes existants de gouvernance régionale et mondiale..." Le financement initial du programme s'est fait par une subvention de 6 millions de $ de la Fondation Robina, qui affirme que celle-ci est " l'une des subventions d'exploitation les plus élevées jamais reçue dans l'histoire du Conseil."


    Le programme I.I.G.G., lancé le 1er Mai 2008, est le dernier signe d'un agenda qui existe depuis et avant la création [1921] du C.F.R. (Council on Foreign Relations), a déclaré un ancien membre du C.F.R. (Council on Foreign Relations), le contre amiral Chester Ward, concernant le groupe.


    "La clique la plus puissante dans ces groupes élitistes ont un objectif en commun - ils veulent provoquer l'abandon de la souveraineté et del'indépendance nationale des Etats Unis. Une deuxième clique de membres internationaux au sein du C.F.R. (Council on Foreign Relations) comprend les banquiers internationaux de Wall Street, et leurs agents dans des postes clés. Ils veulent avant tout le monopole bancaire mondial quelque soit la puissance qui s'arroge le contrôle du gouvernement mondial".


    I.I.G.G. identifie plusieurs "problèmes mondiaux" qui nécessitent un système degouvernance mondiale. Les problèmes environnementaux, le terrorisme, l'économie mondiale, et l'énergie sont tous mentionnés. Le projet déclare ensuite qu'un système d' "adhésion universelle" pourrait être recherché, ou, une alternative, une organisation régionale telle que le modèle de l'Union européenne.


    "Dans chacune de ces sphères, le programme examinera si le cadre le plus prometteur de gouvernance est une organisation formelle avec adhésionuniverselle ( e.g Les Nations Unies - ONU) une organisation régionale [Union européenne] ou sous régionale, une coalition plus étroite informelle de pays ayant le mêmeétat d'esprit, ou une combinaison des trois."


    Le programme appelle à la "reconceptualisation" de la souveraineté nationale, citant le " bassin" de souveraineté de l'Union européenne comme modèle. Le projet du C.F.R. (Council on Foreign Relations) reconnaît qu' historiquement, les Etats Unis ontrésisté aux idéaux de gouvernance mondiale. Le projet déclare " l'attitude des Etats Unis sera parmi les facteurs les plus importants pour déterminer le futur de la gouvernance mondiale..."
    Dernière modification par kanbou, 03 mars 2010, 09h15.

  • #2
    Le programme I.I.G.G. continue, " ... peu de pays ont été aussi sensibles que les Etats Unis aux restrictions de leur liberté d'action ou jaloux de conserver leurs prérogatives en matière de souveraineté..." Le programme déclare que la séparation des pouvoirs telle qu' inscrite dans la Constitution, de même que le Congrès US, sont des entraves [!!!] pour que les Etats Unis assument de "nouvelles obligations internationales".


    Comme il est déclaré,


    " la tradition ancrée depuis longtemps du pays comme "exception" libérale inspire les US dans sa vigilance à protéger la souveraineté nationale et les institutions de tout ce qui est perçu comme de l'interventionnisme d'institutions internationales. Finalement, la séparation des pouvoirs inscrite dans la Constitution US, qui donne au Congrès une voix critique
    dans la ratification des traités et l'acceptation des institutions mondiales, complique [!!!]l'hypothèse que les US puissent assumer les nouvelles obligations internationales".


    Les actions du complexe Militaro Industriel sous l'Administration Bush a de même bien servi les intérêts mondialistes. Les "Structures Mondiales" sont maintenant présentées comme étant le mécanisme pour prévenir detelles atrocités [!!!]. La diabolisation de l'Amérique est centrale pourconstruire un système de gouvernance mondiale. Patrick M. Stewart, actuellement directeur du programme I.I.G.G. du C.F.R. (Council on Foreign Relations), prévoit que l'Administration Obama "... cherchera à tourner la page de ce qui pourrait avoir été perçu comme un "unilatéralisme de cowboy" des années Bush, en adoptant la coopération multilatérale, suscitera à nouveau des allianceset partenariats avec les US, et s'engagera dans une diplomatie renforcée dans le cadre des Nations Unies - ONU," comme rapporté par Xinhua. Le projet I.I.G.G. lui-même déclarait en Mai 2008 que, "peu importe que l'administration qui sera investie en janvier 2009 soit Démocrate ou Républicaine, il y a de forte chance pour que l'orientation de la diplomatie étrangère US soit dans une certaine mesure multilatérale".


    Les forces mondiales travaillent avec acharnement dans les domaines économique et politique pour essayer de façonner le futur du monde, faisant avancer la domination de l'élite mondiale. Il y a des appels réguliers à la création d'une monnaie mondiale en réponse à la crise économique, s'attirant le soutien tacite du secrétaire au trésor, Timothy Geithner, et cela parle au C.F.R. (Council on Foreign Relations).


    Le programme de gouvernance mondiale du C.F.R. (Council on Foreign Relations) sera sans nul doute poursuivi sous l'Administration Obama, qui est rempliede membres du C.F.R. (Council on Foreign Relations). Le Président du C.F.R. (Council on Foreign Relations), Richard Haass, sert de haut conseiller dans l'Administration Obama. Comme l'admet la programme I.I.G.G., quelque soit celui qui siège à la Maison Blanche, l'agenda mondialiste avance à toute vitesse.

    Daniel Taylor - Global Research / Infowars - 31 Mars 2009 - Copyright

    Jeudi 2 Avril 2009
    Traduction Mireille Delamarre
    Dernière modification par kanbou, 03 mars 2010, 08h34.

    Commentaire

    Chargement...
    X