Mme MERKEL, la toute récente chanceière d'Allemagne et, semble-t-il, fervente admiratrice de la politique de G.W. Bush, a comparé le président iranien, Ahamdy Najad à Hitler. De son coté M. Rumsfield a assimilé le président vénézuelien, Chavez, à Hitler. Pourtant il y a bien plus de similarités entre les deux occidentaux (Merkel et Rumsfield) et hitler, qu'entre ce dernier et les deux responsables du sud (Najad et Cavez).
Pour l'allemande les similarités sont culturelles et géographiques d'abord, "professionnelles" ensuite : Hitler occupait le même poste que celui occupé actuellement par Merkel (chancelière d'allemagne).
Pour l'américain, les similarités sont également culturelles, mais aussi historiques : les américains n'ont-ils pas appliqué, vis à vis des indiens, une politique, qui ressemble à une solution finale ? (pas dans la forme peut-être mais le fond y est).
Pour le moment contentons nous de ces exemple, même si d'autres peuvent être cités.
Si l'on examine ces comparaisons d'un autre point de vue, M. Rumsfield et Mme Merkel font l'apologie du sinistre Hitler en le comparant à des hommes dont le seul tort est de vouloir s'affranchir de l'hégémonie américaine et acquérir une technologie qui permettra à leurs peuples de se hisser au niveau des nations avancées.
Un tel dérapage s'explique, pour les américains au moins, par la panique suscitée par la montée d'un "sentiment national indien" en amérique latine et qui risque d'eclabousser tous les pays de la région.
Pour l'allemande les similarités sont culturelles et géographiques d'abord, "professionnelles" ensuite : Hitler occupait le même poste que celui occupé actuellement par Merkel (chancelière d'allemagne).
Pour l'américain, les similarités sont également culturelles, mais aussi historiques : les américains n'ont-ils pas appliqué, vis à vis des indiens, une politique, qui ressemble à une solution finale ? (pas dans la forme peut-être mais le fond y est).
Pour le moment contentons nous de ces exemple, même si d'autres peuvent être cités.
Si l'on examine ces comparaisons d'un autre point de vue, M. Rumsfield et Mme Merkel font l'apologie du sinistre Hitler en le comparant à des hommes dont le seul tort est de vouloir s'affranchir de l'hégémonie américaine et acquérir une technologie qui permettra à leurs peuples de se hisser au niveau des nations avancées.
Un tel dérapage s'explique, pour les américains au moins, par la panique suscitée par la montée d'un "sentiment national indien" en amérique latine et qui risque d'eclabousser tous les pays de la région.
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