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Le premier Sommet UE-Maroc, un signal fort à l'égard d'un pays voisin de l'UE

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  • #16
    mais c'est complètement anachronique comme facon de penser...
    C'est aussi une façon de voir les choses.

    Mais lorsque un premier ministre lâche (sans pudeur aucune "comme vous le savez, l’oxygène politique et démocratique nous vient du Nord" ... Moi, je trouve ces propos diffamants parce que (je les comprend -peut être ai je tort) c'est un aveu que l'avenir du Maroc se construit ailleurs et/ou tributaire de cercle décisionnels qui lui échappent totalement.

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    • #17
      Et vous etes les victimes.

      Et nous sommes vos frères.
      Ns sommes certainement des frères , marocains et algériens, mais tu ne peux pas juger si ns, algériens, sommes des victimes plus que vs, ns sommes tous quelque part des victimes de nos despotes, mais ce n'est le sujet traité ici!

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      • #18
        comme vous le savez, l’oxygène politique et démocratique nous vient du Nord
        il n'y a pas de mal à s'arrimer à l'europe...on a besoin d'une locomotive...tout seul s'est difficile de s'en sortir...je pense que faire un constat d'echec est une bonne chose.

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        • #19
          "comme vous le savez, l’oxygène politique et démocratique nous vient du Nord"
          Jawzia, je trouve que le PM a raison en quelque sorte, car cet oxygéne ne vient certainement pas de l'Est, et encore moins du Sud où le conflit du SO attend une solution! C'est l'asphyxie qui s'installe, donc une bouffée d'xygéne du Nord est le seul moyen pour respirer!

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          • #20
            Taghiti

            Jawzia, je trouve que le PM a raison en quelque sorte, car cet oxygéne ne vient certainement pas de l'Est, et encore moins du Sud où le conflit du SO attend une solution! C'est l'asphyxie qui s'installe, donc une bouffée d'xygéne du Nord est le seul moyen pour respirer!
            Il n'a à venir d'aucun point cardinal. C'est au Maroc et par les marocains que tout viendra a fortiori lorsqu'il évoque les aspects "Démocratiques et politiques"

            Pour l'économique, c'est plus difficile je le concède.

            De toute façon, les européens ne vont pas se gêner (tout en saupoudrant par du sucre syntaxique) pour dicter au Maroc (au travers de cette feuille de route) des politiques impopulaires. Celle là à titre d'exemple :
            Toutefois, les subventions aux produits de première nécessité, qui constituent une part de plus en plus forte des dépenses de l’Etat, font peser une menace sur la consolidation budgétaire entreprise depuis plusieurs années. En outre, elles bénéficient avant tout aux classes sociales les plus favorisées. L’UE encourage le Maroc à mettre en place un système de ciblage des subventions qui puisse avant tout bénéficier aux plus pauvres. .
            Dernière modification par jawzia, 05 mars 2010, 18h49.

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            • #21
              Il n'a à venir d'aucun point cardinal. C'est au Maroc et par les marocains que tout viendra a fortiori lorsqu'il évoque les aspects "Démocratiques et politiques"

              Pour l'économique, c'est plus difficile je le concède.
              __________________
              l'econmique et le politique sont liés...la preuve:avec l'arrivée de M6 et l'ameliorations des libertés la croissance moyenne du PIB est passé de moins 3% à plus de 5% durant les 10 dernières années..
              par ailleurs je donne toujours l'exemple du japon qui est devenu une puissance en s'arrimant aux états unis aprés la deuxième guerre mondiale.

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              • #22
                l'économique et le politique sont liés.
                De moins en moins. Le premier a tendance a faire cavalier seul.

                Arrimer ! arrimer !! Au vu des ordres de grandeur et l'état d'esprit prévalant chez "l'arrimé" (évoque par le PM) et l'arrimeur, je pencherai vers pleins d'autre verbes.

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                • #23
                  Le statut avancé permet déjà au Maroc un accès au programme européen les plus important sont Galileo et le programme européen concernant l'aviation civile, il a permit un élargissement des cotas pour les exportations national, dernier exemple les tomates.
                  le statut avancé permettra après quelque round de négociation (c’est déjà annoncé) la levé progressives des visa pour les hommes d'affaires marocains et les étudiants.
                  a part ça, tt le monde maintenant négocie pour avoir un statut avancé avec l'UE ; la Tunisie, la Jordanie, l'Egypte et même le Liban .....Alors le Maroc a eu un grand privilège.
                  Maintenant je comprends votre frustration, l'Algérie vient de se voir ficher sur la liste des pays les plus dangereux du monde cote à cote avec la somalie et le Pakistan, faut choisir.
                  Dernière modification par atlante, 05 mars 2010, 19h47.

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                  • #24
                    Si le Maroc doit renoncer à une part de souveraineté comme le font les Etats membres de l'UE pour se developper et faire prosperer la vie des marocains, et bien qu'il en soit ainsi, on pourra toujours reviser notre position une fois l'objectif atteint. On est ni les premiers ni les dernier. Quand au souffle venant d'une nord, bien il a pas menti, ce n'est pas de l'est que sa viendra, ou du sud, mais des pays du nord qui ont une tres grand longueur d'avance sur nous autres.
                    "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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                    • #25
                      Si le Maroc doit renoncer à une part de souveraineté comme le font les Etats membres de l'UE pour se developper et faire prosperer la vie des marocains
                      Ca ne tient pas...
                      Les pays membres perdent de leurs souverainetés mais les retrouvent à L'UE.

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                      • #26
                        L’Union Européenne a donc octroyé le « statut avancé» au royaume du Maroc. Alors pour le Maroc, qu’est ce que cela représente concrètement, notamment dans les domaines politiques, économiques socialoculturels ?
                        L’Union Européenne indique donc à l’issue de la session du conseil d’association que les mesures adoptées aujourd’hui concernant particulier « La coopération en matière politique et de sécurité, la préparation d’un accord de libre-échange global et approfondi, l’integration progressive du Maroc dans plusieurs politiques sectorielles de l’Union et le développement des échanges entre les peuples» .
                        En fait entre le Maroc et l’Europe tout se passe jusqu’ici sur base de l’accord d’association de l’an 2000, et sur ce que l’Europe qualifie de « Politique de voisinage» (politique avec les voisins immédiats qui n’adhèreront pas à l’Union Européenne). Cela dit depuis 2004, le Maroc réclame un statut avancé de coopération et dans son dernier rapport sur la politique de voisinage, la commission européenne jugeait que 4 pays dont le Maroc méritaient précisément un renforcement des liens, qui plus est, le président français s’y était engagé à peine élu, chose promise chose due, sous présidence française, le Maroc sera donc le 1er pays à bénéficier de ce nouveau type de relation avec l’Europe. Ce nouveau statut renforcé entraînera une intégration progressive du Maroc dans le marché intérieur de l’Union Européen, et des sommets entre le Maroc et les 27 seront organisés. Quant aux questions de crises, ce sera aussi à terme la mise en place d’un espace économique commun semblable à celui qui associe pour l’instant par exemple la Suisse ou la Norvège à l’Union Européenne. Et enfin, le Maroc pourrait participer concrètement aux agences européennes en charge de l’espace commun de police et de justice, à l’agence européenne de sécurité aérienne ou encore à l’observatoire européen des drogues et les toxicomanies. Enfin, les financiers européens devraient croître vers le Maroc, déjà premier bénéficiaire de fons européens de la politique de voisinage.

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                        • #27
                          Le Maroc a enfin obtenu le très convoité “statut avancé” auprès de l’Union Européenne. Un événement qui, sans changer dans l'immédiat le quotidien des Marocains, représente un pas important. Décryptage.


                          L’événement ne fera probablement pas date dans l'histoire du royaume. Le 13 octobre se tenait la 7ème session du Conseil d'association entre l'UE et le Maroc. Une rencontre un peu particulière, puisque, après des années d'attente, l'UE a enfin accordé au Maroc ce très attendu “statut avancé”. Mais quelles avancées, justement, apporte ce nouveau texte ? Explications, en huit points.

                          1. Une coopération politique renforcée
                          “Plus qu’un partenariat” : le leitmotiv, martelé par le Maroc, a porté ses fruits. Avec le statut avancé, les relations politiques acquièrent une dimension institutionnelle. “La concertation sera plus régulière et plus rigoureuse”, note l’universitaire marocain Larabi Jaïdi. Pour ce faire, des sommets annuels sont prévus entre les chefs d’Etat, c’est-à-dire entre le roi du Maroc et les présidents du Conseil européen et de la Commission européenne. Et pour tisser des liens plus informels, les ministres ou hauts fonctionnaires marocains participeront à de nombreuses réunions européennes. S’ajoute une porte ouverte pour le Maroc au sein de nombreuses agences européennes. Une belle perspective, car “ce sont les lieux où se définissent les politiques de l’Union à l’échelle sectorielle”, rappelle Larbi Jaïdi. Le Maroc participera au choix, à Europol (police), à Eurojust (justice), à l'Agence européenne de la sécurité aérienne ou encore à l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies. “Nous nous plaçons sur un strapontin dans le processus intracommunautaire pour les décisions stratégiques, notamment de politique de sécurité et de défense”, résume avec un certain sens de l'allégorie cet observateur.

                          2. Un atout diplomatique... potentiel
                          L’obtention du statut avancé est une première pour un pays non-européen, alors que d’autres sont candidats, comme l’Ukraine ou Israël. “Le Maroc a le même statut que la Norvège ou la Suisse. Il fait partie du dernier cercle avant l’adhésion”, commente Hassan Abouyoub, ancien ambassadeur du Maroc à Paris. Une avancée symbolique qui vaut son pesant de poids diplomatique. Et la réaction du Front Polisario n’a pas tardé. Dans une lettre adressée à Nicolas Sarkozy, Mohamed Abdelaziz a affirmé que “le statut avancé est porteur de réels dangers pour l'avenir du Sahara occidental”. Dans sa déclaration, l’UE annonce, de son côté, “soutenir les négociations de Manhasset”, appelant les deux parties à “faire preuve de réalisme et d’esprit de compromis”. Mais le fait que, désormais, des diplomates marocains puissent assister aux discussions de leurs homologues européens aux Nations Unies est un “avantage considérable”, selon ce vieux routier de la politique étrangère. Car, “la concertation dans les organisations internationales” est un élément-clé du statut avancé.

                          3. Une zone de libre-échange élargie
                          Les amateurs de grosses cylindrées le savent. Dès 2012, les droits de douane sur l'importation de véhicules automobiles seront nuls, en vertu de l’accord d’association signé en 1996 et en vigueur depuis 2000. L’Union européenne est déjà le premier partenaire commercial du Maroc, ayant représenté 66,3% de ses échanges en 2007. Mais le statut avancé va plus loin. Une des grandes avancées réside dans l’ouverture de la zone de libre-échange à d’autres secteurs, comme les produits agricoles ou les services, parmi les plus attendus par les entrepreneurs marocains. La libéralisation des mouvements de capitaux et l’accès aux marchés publics sont également à l’ordre du jour. À terme, le Maroc intégrera tout simplement le marché intérieur européen.

                          4. Un outil de développement ?
                          Ces avancées doperont-elles la croissance ? “La zone de libre-échange ne sera bénéfique que si l’ouverture est progressive et asymétrique, soutient cet économiste. Le démantèlement des droits de douane pour les produits importés doit être plus tardive que celui des produits exportés. Autre exemple, l’importation au Maroc des fruits et légumes doit précéder celle de produits stratégiques comme les céréales, l’huile ou le sucre”. Avec une totale libéralisation des importations et des exportations, les Marocains ne risquent-ils pas de consommer plus de produits étrangers et réduire ainsi les gains obtenus avec une hausse des exportations ? La question n’inquiète nullement Hamad Kessal, vice-président de la CGEM. “Nous restons compétitifs avec notre main-d’œuvre bon marché. Mais la concurrence sur le marché local doit se faire en termes de qualité. L’ouverture va booster l’offre, car au Maroc, on n'innove que sous la contrainte”, estime-t-il. Quid de la démocratisation du pays ? “Le statut avancé impose beaucoup de contraintes et le Maroc va subir l’évaluation de ses pairs. Nous sommes astreints à jouer dans la cours des grands”, analyse cet observateur. Et d’ajouter : “Et ce n’est pas un cadeau que nous fait l’Europe”.

                          5. Une harmonisation législative
                          Pour permettre une libéralisation totale des échanges entre le Maroc et l’UE, le statut prévoit aussi l’élimination des “restrictions non tarifaires”, à savoir les normes de qualité techniques, sanitaires, environnementales ou de protection sociale imposées aux produits importés (emballage recyclable, travail des enfants, traçabilité des produits animaux…). “Ces restrictions sont les plus difficiles, car elles ne sont ni homogènes ni quantifiables”, commente Hamad Kessal. Pour y remédier, “les normes européennes devront être transféré en droit marocain”, détaille Larabi Jaïdi. Dans le même sens, un jumelage administratif est prévu. L’opération, mise en place dans les pays pré-adhérents, permet à chaque administration de négocier l’uniformisation de ses règlements.

                          6. Davantage d’aides européennes ?
                          Pour aider le Maroc à réaliser les réformes énoncées, l’Union Européenne devrait accroître son aide au royaume. Symboliquement dès 2011 et significativement à partir de 2014. Car les fonds d'aide européens sont planifiés jusqu’en 2010, dans le cadre de la politique de voisinage dont le Maroc est actuellement le premier bénéficiaire, avec 654 millions d'euros pour la période 2007-2010. “L’UE fera un geste pour le plan 2011-2013, mais la véritable hausse devra attendre la négociation d’un nouveau budget européen pour 2014”, indique Bruno Dethomas, ambassadeur de la Commission européenne au Maroc.

                          7. L’immigration, la grande absente
                          Dans les 37 points de sa déclaration sur le statut avancé, l’Union Européenne “se félicite”, “soutient”, “apprécie” et “salue” (la consolidation des droits de l’homme, la bonne organisation des élections, la lutte contre le terrorisme…). Seule une fois, l’UE “regrette”. C'est sur le sujet de l’immigration. “Le statut avancé n’est pas suffisamment ambitieux sur la gestion des flux migratoires”, a précisé Hugues Mingarelli, directeur général adjoint des relations extérieures à la Commission européenne. Le Maroc et l’Europe négocient en effet depuis des années sur la facilitation de l’octroi de visas, en échange de la réadmission au Maroc des immigrés illégaux subsahariens qui ont transité par le royaume. Mais le Maroc continue à résister à la pression européenne. Pour le moment…

                          8. Une feuille de route, pour aller où ?
                          “Le statut avancé n’est pas une arrivée, mais un nouveau départ, à l’étage supérieur”, explique Bruno Dethomas. Car si l’accord d’association entre le Maroc et l’Union Européenne est juridiquement contraignant, le statut avancé n’a qu’une valeur formelle. C’est, en langage diplomatique, une feuille de route. Sous la forme d’une déclaration commune entre les deux entités, elle liste les domaines où les relations sont à améliorer. “Le statut avancé ouvre des perspectives, mais tout est encore à construire”, opine Larabi Jaïdi. Du côté officiel marocain, l’optimisme est de rigueur. Le ministre des Affaires étrangères, Taïb Fassi Fihri, a notamment déclaré espérer un nouvel accord formel après 2013. Pour l’heure, le statut avancé est “le plus grand pas franchi par le Maroc depuis l’indépendance”, se félicite Hassan Abouyoub.

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                          • #28
                            ................

                            tant mieux pour le maroc ,moi je dirais meme que les marocains sont plus proches des europeens que les algeriens,et je leur souhaite de devenir un etat europeens comme les autres,et de laisser sa place a la ligue arabe et surtout a la presidence el qods.....

                            c'est tout le bien que je vous souhaite

                            Commentaire


                            • #29
                              Ce nouveau statut renforcé entraînera une intégration progressive du Maroc dans le marché intérieur de l’Union Européen,
                              C'est á dire atlante, concrétement, ca donnerait quoi sur le terrain? des exemples concrets, et non des souhaits!
                              Vas y , on voudrait bien comprendre ce que tu partages avec ns comme articles sur la base d'exemples, car ces articles sont accéssibles pour tlm sur le net !

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                              • #30
                                A la veille du sommet Maroc-UE, Principales dispositions du statut avancé liant les deux parties


                                Dialogue politique et stratégique

                                - Organisation d’un sommet Maroc/UE.
                                - Réunions informelles, sur une base ad hoc, entre le ministre des Affaires étrangères du Maroc et ses homologues européens.
                                - Cadence régulière des réunions du dialogue politique renforcé et programmation de réunions thématiques entre le Maroc et l’UE (Secrétariat général du conseil/commission).
                                - Participation du Maroc aux opérations de gestion des crises (civiles et militaires) avec l’UE.
                                - Soutien du Maroc aux déclarations PESC (Politique européenne de sécurité commune).

                                Coopération parlementaire
                                - Création d’une commission parlementaire mixte Parlement marocain/Parlement européen.
                                - Renforcement des échanges entre les partis et les groupes politiques.
                                - Obtention pour le Parlement marocain du statut d’observateur à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

                                Coopération sécuritaire
                                - Création d’un Institut supérieur de lutte contre la criminalité.
                                - Développement de mécanismes de contrôle des frontières.
                                - Participation du Maroc aux actions de formation et aux séminaires du Collège européen de police (CEPOL).
                                - Accord de coopération entre le Maroc et l’Office européen de police (Europol).
                                - Coopération avec l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (EMCDDA).

                                Coopération judiciaire
                                - Soutien de l’UE au projet de mise à niveau du cadre législatif et institutionnel marocain en matière de droit d'asile, conforme aux standards internationaux.
                                - Adhésion graduelle du Maroc aux conventions du Conseil de l’Europe en matière judiciaire ouvertes à la participation des pays non membres du Conseil de l’Europe
                                - Accord de coopération entre le Maroc et Eurojust (Agence européenne de lutte contre les formes graves de criminalité).
                                - Coopération en vue de poursuivre les réformes pour mettre en œuvre toutes les recommandations de l’Instance équité et réconciliation.
                                - Coopération en vue de consolider les droits de l’enfant.

                                Dimension économique, financière et sociale
                                - Mise en place d’un espace économique commun, entre l’UE et le Maroc.
                                - Rapprochement du cadre législatif du Maroc à l’acquis communautaire.
                                - Conclusion d'un Accord de libre-change global et approfondi (ALEA).
                                - Investissement: organisation d’un "Forum économique Maroc/UE".
                                - Industrie: renforcement de la politique de recherche et d’innovation industrielle du Maroc.
                                - Entreprise: coopération entre le Maroc et le réseau de soutien aux PME en Europe (Enterprise Europe Network).
                                - Propriété industrielle: soutien au développement des capacités de l'Ompic

                                Energie
                                - Intégration du marché marocain de l’énergie au marché européen de l’énergie, notamment pour l’électricité et le gaz.
                                - Ouverture du marché de l’électricité verte, éolien notamment.

                                Agriculture
                                - Soutien de l’UE à la réforme du secteur agricole marocain, en cohérence avec le «Plan vert».
                                - Mise en place d’un système de reconnaissance conjoint des indications géographiques marocaines et européennes.

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