Elles sont 83% à penser que l'avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes et 60% estiment que la société devrait davantage les aider à éviter de recourir à cette solution, le plus souvent dictée selon elles par des raisons matérielles.
A cet égard, 83% des femmes interrogées se disent favorables à ce que les aides disponibles pour les femmes enceintes et jeunes mères soient mentionnées dans le livret officiel d'information remis aux femmes consultant en vue d'une IVG.
Ce document ne contient, pour le moment, que des indications sur les démarches pour avorter.
Et 67% pensent que ce serait une bonne chose de sensibiliser les femmes en difficulté à la possibilité de donner à adopter à la naissance à la place de l'IVG.
Il y a un avortement pour quatre naissances en France, une proportion trop élevée pour 61% des femmes interrogées.
L'Ifop a réalisé ce sondage pour le compte de l'Alliance pour les droits de la vie par questionnaire en ligne entre le 19 et le 23 février auprès d'un échantillon de 1.006 femmes, représentatif de la population féminine âgée de 18 ans et plus.
A cet égard, 83% des femmes interrogées se disent favorables à ce que les aides disponibles pour les femmes enceintes et jeunes mères soient mentionnées dans le livret officiel d'information remis aux femmes consultant en vue d'une IVG.
Ce document ne contient, pour le moment, que des indications sur les démarches pour avorter.
Et 67% pensent que ce serait une bonne chose de sensibiliser les femmes en difficulté à la possibilité de donner à adopter à la naissance à la place de l'IVG.
Il y a un avortement pour quatre naissances en France, une proportion trop élevée pour 61% des femmes interrogées.
L'Ifop a réalisé ce sondage pour le compte de l'Alliance pour les droits de la vie par questionnaire en ligne entre le 19 et le 23 février auprès d'un échantillon de 1.006 femmes, représentatif de la population féminine âgée de 18 ans et plus.
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