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Brassens - Les passantes

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  • Brassens - Les passantes


  • #2
    ...Une ombre qui s'évanouit peu à peu...

    Merci, Passant... C'est l'une de mes préférées de Brassens...

    « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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    • #3
      Merci aussi à toi Océane
      D'être une si fine mélomane...

      Cela dit, Brassens a toujours laissé tomber deux couplets de cette belle chanson (écrite par Antoine Pol en 1917), celui de la valseuse et celui de... hem... l'orgueilleuse (eh oui, il y en a).

      ...Une ombre qui s'évanouit peu à peu...
      Et encore, si Pol avait assisté à notre époque virtuelle, qu'aurait-il écrit?
      Des pseudos qui se déconnectent... ?
      Des octets qui s'évaporent... ?

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      • #4
        ... Un clic... et hop... plus de vie virtuelle !


        C'est tout de même pratique...

        « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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        • #5
          Mais ça peut devenir problématique, quand les frontières avec le réel s'amenuisent de plus en plus... héhé

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          • #6
            ... Et là... il faudra faire preuve de sagacité...

            « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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