Un printemps sans fleurs
L’hiver, la saison de pluies et de froid.
La neige teinte la terre en blanc, lui
Donne un visage charmant, l’espoir,
Et plein d’amour aux fleurs embellies.
Une beauté rare, de merveilleux dessins.
Les nuages voilent le soleil moiré,
La nuit, les étoiles disparaissent
Dans le calme plat sans bruit fracassant.
Un vent glacial modère les vagues de la mer.
Le silence se fait, il blessa les paroles d’or.
Le printemps passionnant arrive en retard,
Sur mon royaume ’ lumière du jour’.
Les oiseaux chantent ses chansons.
Les femmes le fêtent sans raison,
Que le temps étreint mon sort.
A l’océan de sentiments. Lorsque
La saison d’amour nous fait appel, bien que,
Ses chemins soient abrupts et sinueux
Ses ailes nous embrassent, et nous mettent
L’ombre de la lune sur nos cœurs qui saignent.
J’admire le silence de ses vagues
Qui hissent la souffrance endurée des marins.
Dans la nuit, j’entends partout sa voix.
Ni flammes soufflées par le feu de l’âme,
Ni les brassées de fleurs de son corps qui
Me charment le visage, une marche prudente.
Debout bien droit dans mes rêves,
Je regardai dans l’écume des vagues gésir
L’irisation de mon âme perdue sur la rive.
J’hésitai de lui dire ‘je t’aime’ car encore
Mon cœur jouit les heures d’hiver.
Un ami (la mer), m’a conseillé de porter un taille-crayon a la main.
Pourquoi je le ferai ? Et moi le maître de mon destin.
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