Vendredi, dans cet établissement privé catholique, à Largentière, en Ardèche, une enseignante a écrit au tableau, le sujet du cours: « L'influence des Etats-Unis dans le monde ».
Très vite la conversation avec ses élèves tourne autour d'Al-Qaïda et des talibans.
La professeure rappelle qu'Al-Qaïda est une « organisation terroriste ».
Cette qualification ne semble pas plaire à un élève qui s'énerve et dit à l'enseignante:
« C'est toujours les Arabes ».
A la fin des cours, le collégien, âgé de 14 ans sort de suite de la classe.
L'enseignante tente de joindre les parents de l'élève.
A ses côtés, le conseiller principal d'éducation.
C'est à ce moment-là, que le collégien entre et balaie le bureau d'un revers de bras, avant d'asperger les deux enseignants avec une bombe lacrymogène.
Puis l'ado rentre chez lui.
L'enseignante et le CPE ont porté plainte.
Lundi matin, l'élève s'est excusé devant les gendarmes.
Il a été remis en liberté après quelques heures de garde à vue.
Selon un enquêteur, le collégien aurait « pété un plomb ».
L'adolescent est convoqué devant le tribunal pour enfant de Privas, la semaine prochaine et jeudi, il doit passer devant le conseil de discipline de l'établissement scolaire.
D'après les premiers éléments de l'enquête, dans son histoire personnelle, il n'y a aucune trace d'Al-Qaïda ou d'antécédent violent, précise France Info.
yahoo news
Très vite la conversation avec ses élèves tourne autour d'Al-Qaïda et des talibans.
La professeure rappelle qu'Al-Qaïda est une « organisation terroriste ».
Cette qualification ne semble pas plaire à un élève qui s'énerve et dit à l'enseignante:
« C'est toujours les Arabes ».
A la fin des cours, le collégien, âgé de 14 ans sort de suite de la classe.
L'enseignante tente de joindre les parents de l'élève.
A ses côtés, le conseiller principal d'éducation.
C'est à ce moment-là, que le collégien entre et balaie le bureau d'un revers de bras, avant d'asperger les deux enseignants avec une bombe lacrymogène.
Puis l'ado rentre chez lui.
L'enseignante et le CPE ont porté plainte.
Lundi matin, l'élève s'est excusé devant les gendarmes.
Il a été remis en liberté après quelques heures de garde à vue.
Selon un enquêteur, le collégien aurait « pété un plomb ».
L'adolescent est convoqué devant le tribunal pour enfant de Privas, la semaine prochaine et jeudi, il doit passer devant le conseil de discipline de l'établissement scolaire.
D'après les premiers éléments de l'enquête, dans son histoire personnelle, il n'y a aucune trace d'Al-Qaïda ou d'antécédent violent, précise France Info.
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