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Le vice-président américain Joe Biden a assuré mardi Israël de la détermination des Etats-Unis à garantir sa protection et a déclaré que la reprise annoncée de pourparlers indirects entre Israéliens et Palestiniens donnait une véritable occasion d'avancer vers la paix.
"Il n'y a absolument aucun problème entre les Etats-Unis et Israël pour ce qui est de la sécurité d'Israël comme de notre sécurité mutuelle, absolument aucun", a déclaré Biden, qui est arrivé lundi en visite en Israël.
Biden est le plus haut responsable de l'administration Obama à se rendre dans ce pays. Il aura mercredi des entretiens avec les dirigeants palestiniens en Cisjordanie occupée.
Sa visite coïncide avec l'accord donné cette semaine par Israël et les Palestiniens à l'émissaire de paix américain dans la région, George Mitchell, pour reprendre le dialogue de paix, suspendu depuis décembre 2008, même si un scepticisme marqué règne quant à leur chance d'aboutir.
"Je pense que nous nous trouvons devant une véritable occasion", a estimé Biden lors d'un entretien avec le président israélien, Shimon Peres.
Nombre d'Israéliens semblent cependant moins intéressés par le dialogue de paix avec les Palestiniens que par ce que ce que dira Biden concernant les ambitions nucléaires de l'Iran.
Tout en se disant favorable à des négociations directes avec le président palestinien Mahmoud Abbas, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré lundi à Jérusalem, devant des chrétiens évangéliques américains: "Aucun enjeu dans le domaine de la sécurité n'est aussi important, pour notre avenir commun, que le fait d'empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire".
De source politique israélienne, on s'attend à ce que Biden déclare ouvertement, comme l'ont fait déjà d'autres responsables américains, qu'Obama ne veut pas de frappes militaires contre l'Iran, et surtout pas venant d'Israël, au moment où Washington s'efforce de freiner le programme nucléaire iranien par la voie des sanctions.
"J'observe que depuis l'arrivée au pouvoir de notre administration, l'Iran est davantage isolé - sur le plan intérieur comme sur le plan extérieur - et qu'il a moins d'amis dans le monde", a dit le vice-président américain.
De son côté, Peres lui a dit que "Nous faisons confiance au président Obama", et il a appelé Washington à veiller à ce qu'Israël soit à l'abri des missiles et de la menace nucléaire iranienne.
source : Reuters
"Il n'y a absolument aucun problème entre les Etats-Unis et Israël pour ce qui est de la sécurité d'Israël comme de notre sécurité mutuelle, absolument aucun", a déclaré Biden, qui est arrivé lundi en visite en Israël.
Biden est le plus haut responsable de l'administration Obama à se rendre dans ce pays. Il aura mercredi des entretiens avec les dirigeants palestiniens en Cisjordanie occupée.
Sa visite coïncide avec l'accord donné cette semaine par Israël et les Palestiniens à l'émissaire de paix américain dans la région, George Mitchell, pour reprendre le dialogue de paix, suspendu depuis décembre 2008, même si un scepticisme marqué règne quant à leur chance d'aboutir.
"Je pense que nous nous trouvons devant une véritable occasion", a estimé Biden lors d'un entretien avec le président israélien, Shimon Peres.
Nombre d'Israéliens semblent cependant moins intéressés par le dialogue de paix avec les Palestiniens que par ce que ce que dira Biden concernant les ambitions nucléaires de l'Iran.
Tout en se disant favorable à des négociations directes avec le président palestinien Mahmoud Abbas, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré lundi à Jérusalem, devant des chrétiens évangéliques américains: "Aucun enjeu dans le domaine de la sécurité n'est aussi important, pour notre avenir commun, que le fait d'empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire".
De source politique israélienne, on s'attend à ce que Biden déclare ouvertement, comme l'ont fait déjà d'autres responsables américains, qu'Obama ne veut pas de frappes militaires contre l'Iran, et surtout pas venant d'Israël, au moment où Washington s'efforce de freiner le programme nucléaire iranien par la voie des sanctions.
"J'observe que depuis l'arrivée au pouvoir de notre administration, l'Iran est davantage isolé - sur le plan intérieur comme sur le plan extérieur - et qu'il a moins d'amis dans le monde", a dit le vice-président américain.
De son côté, Peres lui a dit que "Nous faisons confiance au président Obama", et il a appelé Washington à veiller à ce qu'Israël soit à l'abri des missiles et de la menace nucléaire iranienne.
source : Reuters
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