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Dans une lettre signée par une quarantaine de fellahs de la commune de Berriche, 35 km au nord-est du chef-lieu de wilaya, et remise à notre journal, ces exploitants de terre dite «arch» qu'ils ont héritée de leurs parents depuis des dizaines d'années ont été dépossédés dans le cadre de la nationalisation durant les années 1970.
Selon ces protestataires, leurs terres sont rétribuées sous forme de coopératives collectives et individuelles en 1978. Suite à une autre réforme, qui a eu lieu en 1990, certains exploitants ont repris leurs biens ; quant aux autres, ils ont été carrément spoliés. D'après M. Z. de la mechta Mellaha El-Ouassaâ, certains parmi ceux qui ont repris les terres sont en train de les louer à des personnes résidant hors wilaya, ce qui porte atteinte à l'intimité morale de ces fellahs.
Toujours selon le contenu de la lettre, certains fellahs sont dans l'impossibilité de bouger puisqu'ils sont entourés par des locataires étrangers à la région, ce qui rend leur vie de campagnards incommode.
Les signataires dans leur lettre avancent même que ces indus exploitants venus d'ailleurs leur proposent des cessions de terres censées être les leurs ? Devant cette situation ambiguë, les protestataires demandent l'intervention du chef de l'exécutif pour mener une enquête et situer la responsabilité des uns et des autres.
Par Le soir
Selon ces protestataires, leurs terres sont rétribuées sous forme de coopératives collectives et individuelles en 1978. Suite à une autre réforme, qui a eu lieu en 1990, certains exploitants ont repris leurs biens ; quant aux autres, ils ont été carrément spoliés. D'après M. Z. de la mechta Mellaha El-Ouassaâ, certains parmi ceux qui ont repris les terres sont en train de les louer à des personnes résidant hors wilaya, ce qui porte atteinte à l'intimité morale de ces fellahs.
Toujours selon le contenu de la lettre, certains fellahs sont dans l'impossibilité de bouger puisqu'ils sont entourés par des locataires étrangers à la région, ce qui rend leur vie de campagnards incommode.
Les signataires dans leur lettre avancent même que ces indus exploitants venus d'ailleurs leur proposent des cessions de terres censées être les leurs ? Devant cette situation ambiguë, les protestataires demandent l'intervention du chef de l'exécutif pour mener une enquête et situer la responsabilité des uns et des autres.
Par Le soir