L'évaluation des programmes concrétisés dans le cadre du développement des libertés dans les différentes universités africaines et l'échange d'expériences entre experts sont les principaux axes qui seront débattus par les participants à un colloque international prévu du 9 au 11 mars à Oran.
Initiée par le Conseil de développement des recherches en sciences sociales basé à Dakar (Sénégal), de concert avec le centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) d’Oran, cette rencontre mettra en exergue «les nouveaux défis dans le cadre des efforts visant à réaliser les libertés académiques dans les universités africaines et à définir les responsabilités sociales pour les universitaires et chercheurs».
Les participants auront à aborder à cette occasion la question inhérente au rythme d'évolution de l’ouverture des universités et centres de recherche scientifique sur les libertés en Afrique et leur position vis-à-vis des programmes durant les trois dernières décennies, notamment après la Déclaration de Kampala (Ouganda) en novembre 1990, laquelle déclaration a insisté sur la liberté de l'élite scientifique en Afrique pour exprimer ses vues et la diffusion de ses résultats de recherche scientifique conformément à l’éthique humaine universellement reconnue. Il sera également question, lors de cette manifestation scientifique, qui verra la participation de nombreux experts, académiciens, universitaires et des organisations de recherche scientifique de 15 pays de faire un diagnostic des réformes qui ont touché dernièrement différentes universités africaines et leur relation avec la liberté académique, en particulier les responsabilités des universitaires et des chercheurs, leur contribution au développement de leur pays, a-t- on souligné au comité d’organisation de ce colloque.
Le rôle et l'évolution du savoir et de la technologie et la diffusion de nouvelles connaissances, les défis de l'évolution des technologies d'information et de communication et leur propagation dans divers secteurs de la société, ainsi que le rendement de l'université et de la recherche scientifique devant les mutations sociales et politiques en Afrique seront débattus au cours de cette manifestation où 25 conférences seront présentées.
A noter que ce colloque international sera marqué par la participation d'universitaires et de chercheurs d'Algérie, du Soudan, du Maroc, de Sénégal, d'Ethiopie, de Côte d'Ivoire, du Nigeria, du Cameroun, du Kenya, de Mozambique, d'Afrique du Sud, de l'Égypte, des Etats-Unis d'Amérique, d'Angleterre et du Canada.
Par APS
Initiée par le Conseil de développement des recherches en sciences sociales basé à Dakar (Sénégal), de concert avec le centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) d’Oran, cette rencontre mettra en exergue «les nouveaux défis dans le cadre des efforts visant à réaliser les libertés académiques dans les universités africaines et à définir les responsabilités sociales pour les universitaires et chercheurs».
Les participants auront à aborder à cette occasion la question inhérente au rythme d'évolution de l’ouverture des universités et centres de recherche scientifique sur les libertés en Afrique et leur position vis-à-vis des programmes durant les trois dernières décennies, notamment après la Déclaration de Kampala (Ouganda) en novembre 1990, laquelle déclaration a insisté sur la liberté de l'élite scientifique en Afrique pour exprimer ses vues et la diffusion de ses résultats de recherche scientifique conformément à l’éthique humaine universellement reconnue. Il sera également question, lors de cette manifestation scientifique, qui verra la participation de nombreux experts, académiciens, universitaires et des organisations de recherche scientifique de 15 pays de faire un diagnostic des réformes qui ont touché dernièrement différentes universités africaines et leur relation avec la liberté académique, en particulier les responsabilités des universitaires et des chercheurs, leur contribution au développement de leur pays, a-t- on souligné au comité d’organisation de ce colloque.
Le rôle et l'évolution du savoir et de la technologie et la diffusion de nouvelles connaissances, les défis de l'évolution des technologies d'information et de communication et leur propagation dans divers secteurs de la société, ainsi que le rendement de l'université et de la recherche scientifique devant les mutations sociales et politiques en Afrique seront débattus au cours de cette manifestation où 25 conférences seront présentées.
A noter que ce colloque international sera marqué par la participation d'universitaires et de chercheurs d'Algérie, du Soudan, du Maroc, de Sénégal, d'Ethiopie, de Côte d'Ivoire, du Nigeria, du Cameroun, du Kenya, de Mozambique, d'Afrique du Sud, de l'Égypte, des Etats-Unis d'Amérique, d'Angleterre et du Canada.
Par APS
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