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Syndicats indésirables.

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  • Syndicats indésirables.

    Les médias publics viennent de recevoir des instructions leur interdisant de couvrir les activités des syndicats autonomes. Ces derniers, qui n'étaient déjà pas «visibles» à la télévision, risquent ainsi de ne plus bénéficier d’une quelconque couverture médiatique. Argument des pouvoirs publics : les syndicats, estampillés «perturbateurs », contredisent le discours officiel.

    Le Soir d'Algérie (Périscoop).
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

  • #2
    Cela veut dire quoi, "médias publics" ? ça comprend la presse ''indépendante'' ? Parce que pour la radio et la télé, c'est déjà réglé depuis longtemps, nous avons la même une depuis au moins dix ans !
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    Ce n’est pas un homme, c’est un champignon.
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    • #3
      Cela veut dire quoi, "médias publics" ? ça comprend la presse ''indépendante'' ? Parce que pour la radio et la télé, c'est déjà réglé depuis longtemps, nous avons la même une depuis au moins dix ans !
      La presse publique tel que El moudjahid, Echaab, l'horizon, je ne sais pas s'il y'en a d'autres, tu penses qu'ils ne peuvent pas faire pression sur la presse ''indépendante'' directement ou indirectement, genre "on se souviendra...", "on a pris note de ce que vous avez publié..."
      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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      • #4
        Sincérement, je ne pense pas. La presse indépendante a beaucoup plus de souci à gérer son propre point de vue (chaque journal appartenant à telle personne physique ou morale). Il y a désormais beaucoup trop de titres et beaucoup de choses ont été dites de telle sorte que nous avons pu jauger jusqu'où peut aller la propension répressive du pouvoir. Hélas, les quelques dernières années ont connu beaucoup de procès.

        Je pense que l'Etat sait que ceux qui lisent cette presse sont à peu près au courant, d'avance, de ce qu'ils vont lire. En gros, ce n'est pas avec un journal qu'on fait la révolution, du moins pas en Algérie, et il me semble que le pouvoir a compris cela. Il ne fait que baliser le chemin de temps à autre, à coup de bâton.
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        Ce n’est pas un homme, c’est un champignon.
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