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Interpellation de Belhadj Ali

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  • #61
    Envoyé par Dandy
    L'AIS n'était pas le bras armée officiel de l'ex FIS ? Soubhan Allah...

    Tu n 'as qu'à te renseigner sur l'histoire de l'organisation, lire ses communiqués et constater qu'à aucun moment les membres du FIS (en exil ou pas) n'avaient dénié le fait que l'AIS était le bras armée de l'organisation durant des années....
    Maintenant, si tu es plus qualifié que les dirigeants de l'Ex-Fis pour savoir qui était des leurs et qui ne l'était pas, c'est une autre histoire.
    Je ne le suis pas mais je suis un bon observateur.
    Le bureau politique du fis et tous ses membres répètent jusqu'a ce jours que le FIS est un parti politique qui use des moyen pacifique pour l'alternace de pouvoir. Je n'ai jamais entendu ni lu une déclaration d'un leader politique du FIS disant que la violence est un de leurs moyens. Si tu pourra prouver le contraire alors je serai prêt a m'incliner.

    Un groupe de bandit qui se qualifie d'être le bras arme de green peace ne le rend pas un ainsi.
    ~~~~~~~

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    • #62
      Institut Européen de Recherche sur la Coopération Méditerranéenne et Euro-Arabe avec

      FIS (Front Islamique du Salut) (Algérie)
      Fondé le 18 février 1989 dans la mosquée al-Sunna de Bab el Oued à Alger, le FIS a été légalisé par le ministère de l'Intérieur le 16 septembre 1989. Le FIS centre son idéologie sur le respect strict des valeurs de l'Islam. Selon lui, la législation doit se soumettre aux impératifs de la Chari'a dans tous les domaines. Le concept de démocratie est assimilé à l'athéisme, et la légalisation des partis "qui prônent la contradiction avec l'islam" est condamnée. Avant le premier tour des élections législatives de décembre 1991, certains dirigeants parlaient d'interdire les partis laïques et socialistes en cas de majorité du FIS. Loin d'être homogène, le FIS est marqué par des dissensions philosophiques internes nettes entre le clan de la Djazaara (les "djazaristes", partisans du dialogue et d'une islamisation par étapes), proche des Frères Musulmans égyptiens, et le clan de la Salaafia (les "salafistes", partisans d'une islamisation radicale de la société algérienne et plutôt internationalistes).
      Dès sa création, le FIS est apparu comme le premier parti politique du pays. Il a rapidement séduit les jeunes Algériens sans emploi ou marginalisés, une couche importante de la population. Lors des élections locales du 12 juin 1990, il a remporté 54,3% des voix et a montré sa solide implantation dans un grand nombre de régions. Le FIS a ensuite remporté 47,3 % des votes exprimés (le taux d'abstention avait été de 41%) lors du premier tour des élections législatives du 26 décembre 1991. Il a en outre profité d'un système électoral uninominal à deux tours basé sur un découpage électoral arbitraire favorisant les gros blocs (système concocté par le pouvoir en place afin d'affaiblir les partis démocratiques).
      Suite au coup de force de l'armée qui a interrompu le processus électoral le 11 janvier suivant, le FIS a été déclaré hors-la-loi (mars 1992). Les municipalités qu'il gérait ont alors été dissoutes, les mosquées qu'il contrôlait dépolitisées et de très nombreux dirigeants et militants emprisonnés. Le parti s'est alors réorganisé en exil (en Europe et aux Etats-Unis) et clandestinement en Algérie.
      L'Armée Islamique du Salut (AIS), la branche armée du FIS, est entrée en action en juillet 1992 en s'attaquant à l'armée et à des objectifs publics. L'AIS semble également responsable de meurtres d'intellectuels. Les liens du FIS avec les groupes islamiques armés les plus durs restent flous même si certains dirigeants condamnent fermement les actes sanglants commis par le GIA contre la population civile.
      Réunis avec d'autres forces de l'opposition (notamment le FFS) en janvier 1995 à Sant'Egidio en Italie, des dirigeants du FIS en exil sont co-signataires du "Contrat national", document qui, notamment, condamne la violence comme mode d'action politique, réclame le rétablissement du FIS et envisage la reprise du processus démocratique comme unique moyen pour parvenir à une issue pacifique et durable de la crise algérienne. Plus récemment, le Bureau exécutif du FIS en exil a approuvé l'"Appel pour la paix" de novembre 1996. En janvier 1996, les membres les plus durs ont même été exclus de l'instance dirigeante du FIS à l'étranger. Abdelkrim Ould Adda, le porte-parole actuel du FIS à l'étranger, est réfugié politique en Belgique.
      La mise au ban du FIS par le pouvoir militaire en mars 1992 est confirmée par la révision constitutionnelle de novembre 1996 - et par une loi votée en février 1997 - qui interdit l'existence de partis politiques qui se fondent sur l'Islam et l'arabité. Le FIS n'a pas participé aux élections législatives du 5 juin 1997.
      La situation a cependant changé après l'élection du Président Abdelaziz Boutéflika en avril 1999. Deux mois après son élection, l'AIS proclamait un cessez-le-feu unilatéral suivi le mois suivant du pardon accordé lors de la fête de l'Indépendance par le Président Boutéflika à 2.300 militants islamistes emprisonnés. Dans le même temps, le président algérien présentait au Parlement algérien sa loi de "réconciliation nationale" accordant l'amnestie aux membres et sympathisants de l'AIS. Cette loi, adoptée avec une écrasante majorité dans les deux chambres (288 votes positifs sur 380 à l'Assemblée nationale et 131 votes positifs sur 150 au Conseil de la Nation) a été confirmée par réferendum le 16 septembre 1999, et plusieurs milliers de prisonniers supplémentaires ont été rapidement libérés.
      Selon les déclarations du nouveau Président algérien, le FIS pourrait éventuellement renaître comme parti politique mais sous un nouveau nom puisque la Constitution de 1996 interdit tout part se référant à la religion. Un élément qui a sans doute contrarié sérieusement ce processus a été l'assassinat du numéro 3 du FIS, Abdelkader Hachani, le 22 novembre 1999 à Alger. Hachani, libéré de prison en 1997, était considéré comme le meilleur espoir de recréer le FIS comme une force politique d'opposotion tout à la fois pacifique et crédible.
      Une nouvelle page de l'histoire du Front s'est ouverte le 2 juillet 2003 avec la libération simultanée d'Abassi Madani et Ali Belhadj, les numéros 1 et 2 du FIS.Accusés d'avoir "porté atteinte à la sûreté de l'État", suite à la grève insurrectionnelle de mai et juin 1991 qu'avait organisée le FIS, les deux hommes avaient été condamnés en juillet 1992 à douze ans de prison ferme. Aussitôt libérés, ils se sont vu notifier un procès-verbal leur signifiant l'interdiction "de tenir réunion, de créer une association à des fins politique, sociale, religieuse ou autres, de s'affilier ou d'activer au sein des partis ou de toute autre association civile (...), de participer à toute manifestation politique, sociale, culturelle ou religieuse". Ils sont également interdits de vote ou de candidature "à une quelconque élection".

      (juillet 2003)

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      • #63
        ah oui j'oubliais madani mezrag membre du FIS et chef de lAIS.
        vraiment je pense vriament que certains ne veulent pas voir la vérité en face
        l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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        • #64
          et oui la touffe ca fait vraiment peur , mais le peur c'est que cela reviens comme en 91
          hélas oui, j'ai peur aussi que ça reparte, 200 000 morts, maintenant des militaires, gendarmes se font assassiner... une concorde civile, tout est permis.

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          • #65
            belhaj dit :"tuer les mécréants" si la traduc est bonne
            et je parle des commentaires des internautes.

            les médias ont jouer quel role pour faire couleur plus du sang algérien ?
            Tuer les mécréants se trouve dans le coran. Belhaj ne l'a pas invente.
            Que dis-tu aux appels de l'exécuter que tu puisses les lire dans ce topic?

            Les médias français n'ont aime que le peuple algérien a voté pour le fis alors ils ont commencé leurs comagne de propagande disant que l'algerie va devenir un nouveau afghanistan et qu'un monstre est ne de l'autre cote du rive. Un responsable francais l'a meme dit: "La france n'acceptera jamais un nouveau iran a une heure de paris".
            Ils ont soutenu le coup d'etat 91 et le tuerie contre les militants du FIS.. le reste est connu.
            ~~~~~~~

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            • #66
              ah oui j'oubliais madani mezrag membre du FIS et chef de lAIS.
              vraiment je pense vriament que certains ne veulent pas voir la vérité en face
              Et alors?
              Bouguerra Soltani était lui aussi membre du fis et s'est même présente candidat sous ses listes. Il était en mission et maintenant le temps de le récompenser est venu, il est devenu ministre . Idem pour Mezrag.
              ~~~~~~~

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              • #67
                ah bon, toi tu es surement musulman, tu vas aller tuer des mécréants?
                des non musulmans ?
                tu vis en algérie, tu croises un chrétien, ou un chinois bouddhiste ou autre, tu vas le zigouiller ????????
                tu vis en france, tu vis dans un pays alors de mécréants, puisque la plupart chrétiens, juifs, athés? hein dis donc (selon ta conception)

                les médias français n'ont rien à voir dans ce carnage qu'on connut les algériens, meme je rappele les médias français lors de la décennie noire, lors des jt, parlaient très rapidement des tueries en algérie, ça m'a marqué à l'époque, parce que je trouvais qu'ils l'évoquaient vite,je savais que l'algérie avait ses morts quotidients malheureusement paix à leurs ames, mais si on connaissait l'ampleur , la monstruosité.

                à l'époque y'avait pas l'internet, maintenant on connait la vérité.
                des musulmans ont été tués, des musulmans je te dis, ce sont des mécréants eux ? et au nom de quelle idéologie on avait le droit de toucher un seul de leurs cheveux, à ses hommes, femmes, vieillards et des enfants, bébés, l'enfer sur terre.

                meme les terroristes sont amnistiés, tu vois personne ne les a tués pour ceux qui se sont rendus.
                pour belhajh il est tjours en vie.

                ne cherche pas à défendre l'indéfendable, dis seulement que tu aimes bien ce type c'est tout, ne tourne pas autour du pot.
                Dernière modification par la_touffe, 15 mars 2010, 20h33.

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                • #68
                  Tuer les mécréants se trouve dans le coran. Belhaj ne l'a pas invente .Pas de doute,on sait pour qui roule l'avocat du diable

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                  • #69
                    ah bon, toi tu es surement musulman, tu vas aller tuer des mécréants?
                    des non musulmans ?
                    tu vis en algérie, tu croises un chrétien, ou un chinois bouddhiste ou autre, tu vas le zigouiller ????????
                    tu vis en france, tu vas pays alors de mécréants, puisque la plupart chrétiens, juifs, athés? hein dis donc
                    Ou est-ce que j'ai cela?
                    Mais tu pourrai pas effacer du coran ceci:
                    123. Ô vous qui croyez ! Combattez ceux des mécréants qui sont près de vous; et qu'ils trouvent de la dureté en vous. Et sachez que Dieu est avec les pieux. Sourate 9 : Le repentir
                    Si tu es musulman ouvre le coran pour la lire ce qu'il y ai dedans.


                    ne cherche pas à défendre l'indéfendable, dis seulement que tu aimes bien ce type c'est tout, ne tourne pas autour du pot.
                    Je ne tourne pas autour du pot. Je l'aime bien. J'aime sa franchise, j'aime son courage, mais je suis pas partisan de ses idées politiques et religieuse.
                    ~~~~~~~

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                    • #70
                      Il serait temps de reformer ou de dépoussiérer le coran,car les fanatiques n'ont pas fini de tuer des mecreants,puisque c'est écrit.....C'est pas les ....qui manque ,c'est l'argent....

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                      • #71
                        .Pas de doute,on sait pour qui roule l'avocat du diable


                        As-tu eu l'occasion d'ouvrir un mos'haf et lire sourate el tawba?
                        [5] Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salâ et acquittent la Zakâ, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
                        ~~~~~~~

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                        • #72
                          Il serait temps de reformer ou de dépoussiérer le coran,car les fanatiques n'ont pas fini de tuer des mecreants,puisque c'est écrit.....C'est pas les ....qui manque ,c'est l'argent....
                          Qui est tu pour décider a la place des gens?
                          reformer le coran? sans blague !!
                          Le musulmans s'attachent de plus en plus a leur coran et il n'a pas une force dans ce monde qui pourrait changer une lettre du livre sacre.

                          ktalni beddahk !!!
                          ~~~~~~~

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                          • #73
                            123. Ô vous qui croyez ! Combattez ceux des mécréants qui sont près de vous; et qu'ils trouvent de la dureté en vous. Et sachez que Dieu est avec les pieux. Sourate 9 : Le repentir
                            1- Ca veux dire tuer, massacrer?
                            Tu fais la meme lecture que le GIA.

                            2- Tu peux pas juste sortir 1 verset. Il faut presenter tous les versets qui traitent du meme sujet.

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                            • #74
                              Dissolution de l'Armée Islamique du Salut
                              ALGER (AFP) - Mer 05 Jan 00 - 19h06 heure de Paris - L'Armée Islamique du Salut (IAS), bras armé du Front Islamique du Salut (FIS, dissous), est dissoute après un accord conclu mardi entre les dirigeants de cette organisation et une délégation de l'armée algérienne, a-t-on appris de bonnes source mercredi à Alger.
                              L'AIS était en trêve depuis le 1er octobre 1997 à la suite d'un premier accord conclu le 11 juillet de la même année avec le commandement de l'armée régulière algérienne.
                              L'accord, tenu secret, avait été négocié sans la direction politique du FIS.
                              Mardi, une délégation de l'armée conduite par le général Cherif Fodil a rencontré les dirigeants de l'AIS dans la région de Jijel (est), l'un des fiefs de cette organisation, a-t-on indiqué de même source.
                              Cette rencontre a permis d'aboutir à un accord sur la dissolution de l'AIS avec "effet immédiat", a-t-on précisé.
                              Depuis juin 1999, l'AIS avait décidé de se mettre sous l'autorité de l'Etat algérien.
                              Dans la foulée, la loi sur la concorde civile amnistiant totalement ou partiellement les islamistes armés non coupables de crimes de sang ou de viols, ou qui n'ont pas déposé de bombes dans des lieux publics, avait été votée et promulguée le 13 juillet. Cette loi est applicable six mois, jusqu'au 13 janvier.
                              Les combattants de l'AIS, dont le nombre varie entre 800 et 3.000, selon les sources, devraient être amnistiés.
                              Une partie d'entre eux devrait rester dans les maquis sous la conduite des forces de sécurité pour combattre les autres groupes armés islamistes qui refusent la politique de réconciliation nationale du président Abdelaziz Bouteflika.
                              Quelques difficultés étaient apparues ces derniers temps entre les dirigeants de cette organisation et l'armée sur les modalités de reddition de ses combattants.
                              Lundi la direction du FIS à l'étranger avait anoncé le gel du processus de sa dissolution entamé mi-décembre et mis ses combattants en "état de mobilisation".
                              L'AIS avait pris cette décision en réaction à la "volte-face" des pouvoirs publics qui avaient privé les 200 combattants ayant quitté le maquis le 15 décembre de leurs "droits civiques", avait affirmé le FIS dans un communiqué reçu à l'AFP. Le FIS accusait les autorités algériennes de "se dérober aux clauses de l'accord" conclu entre l'AIS et le commandement de l'armée régulière.
                              L'AIS a été créée en 1993 lorsque des divergences étaient apparues dans les maquis islamistes sur la manière de mener le Djihad (guerre sainte).
                              Ses fondateurs, anciens responsables locaux du FIS, ont voulu alors se démarquer des jeunes despérados qui ont fondé le Groupe armé islamique (GIA). Les deux organisations se sont d'ailleurs livré des combats faisant des dizaines de morts.
                              L'AIS, qui affirme que ses actions étaient dirigées contre les forces de sécurité et les représentants du pouvoir, considère le GIA comme une "secte déviationniste" qui a altéré le sens du djihad par le massacre de populations civiles.

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                              • #75
                                ktalni beddahk !!!Plutot agreable facon de mourir que de se faire egorger !!

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