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L'initiative marocaine d'autonomie au Sahara apporte une vision "novatrice" et "une nouvelle plateforme de discussion" en vue d'un règlement définitif de la question du Sahara, a affirmé jeudi à Washington l'ancien sous-secrétaire d'Etat américain en charge du Proche Orient, David Welch.
"La proposition mise sur la table par le Maroc offre une nouvelle opportunité, car elle appréhende la question du Sahara de manière novatrice", a indiqué David Welch dans une déclaration à la MAP, en marge d'une rencontre sur la question du Sahara, organisée à l'initiative du think tank US, The Middle East Institute.
M. Welch, qui supervisait les relations des Etats Unis avec les pays du Moyen-Orient, s'est, d'autre part, dit "ravi" de voir cette proposition "progresser en ouvrant la voie à des négociations meilleures et plus solides", faisant observer que "le Maroc a choisi de mener et de faire preuve d'esprit d'initiative".
L'ancien responsable américain a, par ailleurs, mis l'accent sur le caractère "inapplicable" de l'option référendaire, en soutenant que le principe d'autodétermination n'est pas un concept "figé dans le temps et l'espace".
Il s'agit d'une mesure qui "ne s'applique pas de la même manière et partout", a expliqué David Welch, qui a regretté l'absence d'une intégration plus conséquente des pays du Maghreb.
Continental News
"La proposition mise sur la table par le Maroc offre une nouvelle opportunité, car elle appréhende la question du Sahara de manière novatrice", a indiqué David Welch dans une déclaration à la MAP, en marge d'une rencontre sur la question du Sahara, organisée à l'initiative du think tank US, The Middle East Institute.
M. Welch, qui supervisait les relations des Etats Unis avec les pays du Moyen-Orient, s'est, d'autre part, dit "ravi" de voir cette proposition "progresser en ouvrant la voie à des négociations meilleures et plus solides", faisant observer que "le Maroc a choisi de mener et de faire preuve d'esprit d'initiative".
L'ancien responsable américain a, par ailleurs, mis l'accent sur le caractère "inapplicable" de l'option référendaire, en soutenant que le principe d'autodétermination n'est pas un concept "figé dans le temps et l'espace".
Il s'agit d'une mesure qui "ne s'applique pas de la même manière et partout", a expliqué David Welch, qui a regretté l'absence d'une intégration plus conséquente des pays du Maghreb.
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