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Les nouveaux défis de la médecine au Maroc

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  • Les nouveaux défis de la médecine au Maroc

    Les nouveaux défis de la médecine au Maroc
    25 février 2010

    Lors de cette réunion, plusieurs sujets ont été débattus sur l'historique et l'évolution de la médecine au Maroc à l'horizon du 21ème siècle; Par ailleurs, cette manifestation s’est distinguée par l'intervention de plusieurs professeurs, dont Moulay Ahmed Laraki et  Said Moutawakil de la SMSM. Les intervenants ont mis en exergue les différentes étapes qu'a connues le domaine de la médecine et des études médicales au Maroc, depuis l'indépendance jusqu'a nos jours.

    En outre, les intervenants ont insisté sur les différents enjeux que connaît la médecine au Maroc notamment la transition épidémiologique qui fait que le Maroc enregistre en même temps les maladies du tiers monde(tuberculose) et les maladies des pays développés ( cardiopathie, diabète), ainsi que l'accroissement démographique et le coût sanitaire que tous ses facteurs engendrent.

    Le plus grand défi restant l'évolution de l'effectif des médecins qui est en dessous de la moyenne par rapport aux pays développés et du Maghreb (ex: Maroc: 0,5 médecin/ 1000 habitants, Algérie et Tunisie de 1 à 2 médecins /1000 h).

    Néanmoins, l'atout considérable reste l'amélioration des effectifs par la formation de nouveaux médecins et la formation continue des anciens médecins afin d'accompagner l'évolution technologique et cela avec l'aide des facultés de médecine du Maroc qui sont au nombre de 5 : Rabat, Casa, Fès, Marrakech et Oujda.

    A signaler que si le Maroc a amélioré son infrastructure hospitalière, l’accès à l’offre de soins demeure nonobstant les efforts déployés, au dessous des attentes

  • #2
    Les nouveaux défis de la médecine au Maroc



    Oujda city le 25/02/2010 (pas de mal a donner la source)



    C’est le thème de la rencontre que la société marocaine des sciences médicale (SMSM) a organisée en partenariat avec le ministère de la santé, lundi 22 février à l'hôtel ATLAS Terminus d'Oujda.

    Lors de cette réunion, plusieurs sujets ont été débattus sur l'historique et l'évolution de la médecine au Maroc à l'horizon du 21ème siècle; Par ailleurs, cette manifestation s’est distinguée par l'intervention de plusieurs professeurs, dont Moulay Ahmed Laraki et Said Moutawakil de la SMSM. Les intervenants ont mis en exergue les différentes étapes qu'a connues le domaine de la médecine et des études médicales au Maroc, depuis l'indépendance jusqu'a nos jours.

    En outre, les intervenants ont insisté sur les différents enjeux que connaît la médecine au Maroc notamment la transition épidémiologique qui fait que le Maroc enregistre en même temps les maladies du tiers monde ( tuberculose) et les maladies des pays développés ( cardiopathie, diabète), ainsi que l'accroissement démographique et le coût sanitaire que tous ses facteurs engendrent.

    Le plus grand défi restant l'évolution de l'effectif des médecins qui est en dessous de la moyenne par rapport aux pays développés et du Maghreb (ex: Maroc: 0,5 médecin/ 1000 habitants, Algérie et Tunisie de 1 à 2 médecins / 1000 h).

    Néanmoins, l'atout considérable reste l'amélioration des effectifs par la formation de nouveaux médecins et la formation continue des anciens médecins afin d'accompagner l'évolution technologique et cela avec l'aide des facultés de médecine du Maroc qui sont au nombre de 5 : Rabat, Casa, Fès, Marrakech et Oujda.

    A signaler que si le Maroc a amélioré son infrastructure hospitalière, l’accès à l’offre de soins demeure nonobstant les efforts déployés, au dessous des attentes.
    Mohammed MADANI oujda city

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    • #3
      b (ex: Maroc: 0,5 médecin/ 1000 habitants, Algérie et Tunisie de 1 à 2 médecins /1000 h).
      Le Maroc compte sur la qualité et non pas sur la quantité ! on ne fait pas comme en algérie par exemple
      "La mathématique est la reine des Sciences, mais la théorie des nombres est la reine des sciences mathématiques."

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      • #4
        Le Maroc compte sur la qualité et non pas sur la quantité ! on ne fait pas comme en algérie par exemple

        le problème s'est que vous n'avez ni la qualité et encore moin la quantité pauvre maroc 1200 ans d'histoire

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        • #5
          Pas mieux en paramédical

          Un déficit de 30 000 infirmiers au Maroc
          la qualité de la formation dans le privé contestée

          Ali Lotfi, président de l’Association marocaine des sciences infirmières et des techniques sanitaires (AMSITS), considère que «le déficit en personnel infirmier est un problème grave et chronique dont souffrent les établissements sanitaires aussi bien dans les dispensaires et centres de santé de proximité que dans les hôpitaux régionaux et universitaires, qui prodiguent des soins de niveau tertiaire».

          Et il précise que «le Maroc compte près de 30000 infirmiers, techniciens et sages-fem-mes, alors que, selon les normes de l’OMS, il devrait compter au moins le double soit 60 000. Pour le président de l’AMSITS, «les écoles étatiques, notamment les instituts de formation aux carrières de santé (IFCS), forment chaque année près de 1500 lauréats, ce qui peut combler largement le manque».

          En fait, la profession conteste la qualité de la formation dans les institutions privées, au moment où le ministère de la santé et celui de l’éducation sont en train de finaliser un projet de décret qui permet aux diplômés des écoles privées d’intégrer la fonction publique. Les professionnels réclament la révision des textes réglementaires, notamment le statut de l’infirmier qui remonte à 1963 ainsi que la nécessité de la création d’un ordre national des infirmiers qui régit l’exercice de la profession aussi bien dans le secteur public que privé.

          Dr Anwar CHERKAOUI
          11-01-2010

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          • #6
            J'ai jamais compris pourquoi le gouvernement a laissé tomber les écoles de formation des infirmiers à la fin des années 80

            Le gouvernement raisonnait vraiment à très très court terme

            il ne voulait pas se retrouver devant des masses d'infirmiers à recruter bien que le besoin etait présent et prévisible
            .
            .
            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
            Napoléon III

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            • #7
              Jawzia que penses-tu de l'analyse de cet article ?

              Est-tu d'accord ou pas ?

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              • #8
                Jawzia que penses-tu de l'analyse de cet article ?
                Je ne vois pas d'analyse. Une information sur un colloque et quelques chiffres qui n'ont rien de surprenant.

                Les autochtones, plus au fait de la situation devraient nous éclairer par quelques analyses (qu'on ne manquera pas de croiser avec d'autres sources - on ne sait jamais).

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                • #9
                  Oui mais quel est ton avis sur la chose ? Tu as quand même un avis sur les chiffres. Dit moi ce que tu en penses.

                  Commentaire


                  • #10
                    Tu as quand même un avis sur les chiffres.
                    Ils parlent d'eux mêmes : Beaucoup d'efforts à faire. Enormément.

                    Quant aux maladies citées, Il y a bien pire : lèpre et Malaria.
                    Dernière modification par jawzia, 14 mars 2010, 13h30.

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                    • #11
                      au maroc spécialité par spécialité les chiffres parlent d'eux même.

                      il ne faut même pas oser comparer les chiffres a ceux de la régions dans tous les dmaines c'est à la traine
                      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                      • #12
                        Lèpre et Malaria.
                        C'est en page 6 du rapport 2009 de l'OMS

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                        • #13
                          Ils parlent d'eux mêmes : Beaucoup d'efforts à faire. Enormément.

                          Quant aux maladies citées, Il y a bien pire : La lèpre et le Malaria.
                          Jawzia je te demande une analyse pertinente des chiffres, je ne te demand pas de paraphraser ce qui est ecrit dans le texte.

                          Je vais t'aider essaye d'avoir un oeil critique et de me dire ce que tu penses des chifres, en terme de quantité et de comparaison.

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                          • #14
                            ***** for ever
                            Un souhait n'est point réalité
                            Puisque la haine ne cessera jamais avec la haine, la haine cessera avec l'amour.

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                            • #15
                              Sur 32 000 000 d'habitants 38 cas de lépre et 75 de malaria !!!! C'est un drame national. J'attends toujours ton analyse.

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