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Qu’est-ce que le bonheur ? Cette question a traversé des siècles de philosophie…Est-il collectif ou avant tout personnel ? Réside-t-il dans l’être ou dans l’avoir ? Au-delà de considérations générales sur la quête du bonheur, des chercheurs sont sur la piste de sa prise en compte scientifique, pour en faire un critère objectif contribuant à mesurer l’état de croissance économique et sociale des nations.
C’est le cas de la « Commission sur la mesure de la performance économique et du progrès social », mandatée par Nicolas Sarkozy en 2008, et présidée par l’éminent Prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz. La commission part d’un constat : l’ineffectivité du produit intérieur brut, le fameux PIB, comme indicateur des progrès économiques et sociaux d’un pays. Nicolas Sarkozy avait-lui-même déclaré vouloir sortir de la « religion du chiffre », et en finir avec des indicateurs mesurant la richesse globale d’un pays, mais ne prenant pas en compte la situation concrète des individus. Il s’agirait donc de se concentrer sur l’état de bien-être des individus comme critère principal de santé des nations.
Après le Produit Intérieur Brut, un Produit Intérieur Bonheur ?
Qu’est-ce que le bonheur ? Cette question a traversé des siècles de philosophie…Est-il collectif ou avant tout personnel ? Réside-t-il dans l’être ou dans l’avoir ? Au-delà de considérations générales sur la quête du bonheur, des chercheurs sont sur la piste de sa prise en compte scientifique, pour en faire un critère objectif contribuant à mesurer l’état de croissance économique et sociale des nations.
C’est le cas de la « Commission sur la mesure de la performance économique et du progrès social », mandatée par Nicolas Sarkozy en 2008, et présidée par l’éminent Prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz. La commission part d’un constat : l’ineffectivité du produit intérieur brut, le fameux PIB, comme indicateur des progrès économiques et sociaux d’un pays. Nicolas Sarkozy avait-lui-même déclaré vouloir sortir de la « religion du chiffre », et en finir avec des indicateurs mesurant la richesse globale d’un pays, mais ne prenant pas en compte la situation concrète des individus. Il s’agirait donc de se concentrer sur l’état de bien-être des individus comme critère principal de santé des nations.
Après le Produit Intérieur Brut, un Produit Intérieur Bonheur ?
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