Les Etats-Unis ont exprimé leur satisfaction de la tenue à Alger mardi d’une conférence régionale sur le terrorisme au Sahel, avec la participation de l’Algérie, le Mali, le Niger, la Mauritanie, le Tchad, le Burkina Fasso et la Libye. Le secrétaire d’Etat adjoint américain pour les Affaires publiques, Philip J. Crowley, a fait part du souhait de son pays que cette réunion conforte les efforts en cours pour le renforcement de la coopération dans la région du Sahel.
« Les États-Unis se félicitent de la décision des gouvernements de l'Algérie, du Burkina Faso, du Tchad, de la Libye, du Mali, de la Mauritanie et du Niger de se réunir le 16 mars à Alger pour affronter collectivement la menace terroriste. Nous espérons que la réunion confortera les efforts en cours en vue de renforcer la coopération régionale et de consolider davantage l'action collective contre des groupes qui cherchent à exploiter les territoires de ces pays et à lancer des attaques contre des civils innocents », a déclaré M. Crowley dont les propos ont été rapportés par l’ambassade des Etats-Unis à Alger.
Lundi, la France par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Barnard Valero, s’était félicitée de l’initiative du gouvernement algérien de tenir cette conférence. « Nous nous réjouissons de l'initiative prise par les autorités algériennes d'accueillir sur leur sol cette enceinte de concertation entre les États de la région », a déclaré M. Valero.
La conférence d’Alger sur le terrorisme au Sahel est intervenue dans un contexte régional difficile marqué notamment par des tensions algéro-maliennes, conséquence de la libération par Bamako de quatre terroristes dont deux Algériens, un Mauritanien et un Burkinabé, en échange de celle de l’otage français, Pierre Camatte qui était détenu par Al-Qaïda.
TSA
« Les États-Unis se félicitent de la décision des gouvernements de l'Algérie, du Burkina Faso, du Tchad, de la Libye, du Mali, de la Mauritanie et du Niger de se réunir le 16 mars à Alger pour affronter collectivement la menace terroriste. Nous espérons que la réunion confortera les efforts en cours en vue de renforcer la coopération régionale et de consolider davantage l'action collective contre des groupes qui cherchent à exploiter les territoires de ces pays et à lancer des attaques contre des civils innocents », a déclaré M. Crowley dont les propos ont été rapportés par l’ambassade des Etats-Unis à Alger.
Lundi, la France par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Barnard Valero, s’était félicitée de l’initiative du gouvernement algérien de tenir cette conférence. « Nous nous réjouissons de l'initiative prise par les autorités algériennes d'accueillir sur leur sol cette enceinte de concertation entre les États de la région », a déclaré M. Valero.
La conférence d’Alger sur le terrorisme au Sahel est intervenue dans un contexte régional difficile marqué notamment par des tensions algéro-maliennes, conséquence de la libération par Bamako de quatre terroristes dont deux Algériens, un Mauritanien et un Burkinabé, en échange de celle de l’otage français, Pierre Camatte qui était détenu par Al-Qaïda.
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