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invité de marque et gratifié du titre honorifique de président d'honneur du FLN, Abdelaziz Bouteflika n'a pas pris part aux travaux d'ouverture du 9eme congrès du FLN qui débute ce vendredi.
Le président de la république s'est contenté de charger son secrétaire général, M. Habba El Okbi à le représenter et procéder à la lecture, en son nom, d'une lettre-discours à travers laquelle Abdelaziz Bouteflika a exhorté le front national de libération à "s'ouvrir aux générations montantes et à toutes les compétences ". Le chef de l'Etat n'a pas raté l'occasion de faire allusion à la cohésion au sein du parti et de faire preuve d' "esprit de tolerance" qui doit "prévaloir". Bouteflika a invité les participants à "combattre les fléaux destructeurs qui portent atteinte à la moralité de notre Nation et ce, en oeuvrant à la diffusion des nobles valeurs que recèle le legs historique du parti". Cet appel qui n'est qu'une façon "diplomatique" lancé pour dépasser les clivages et à mettre fin à une lutte intestine semble aussi émis pour démystifier "les caciques et autres dinosaures" du parti en invitant le parti de Belkhadem à procéder "au rajeunissement et à plus d'ouverture à l'élément féminin". Le chef de l'Etat qui "salue les efforts des congressistes" affirme qu' "il n'est d'autre alternative devant le FLN, pour préserver cette place de choix qu'il occupe parmi les forces les plus actives sur la scène nationale, que de demeurer fidèle au serment et de s'armer des moyens d'une dynamique à même de lui permettre une meilleure appréhension des perspectives d'avenir". En guise "d'orientations" émanant d'un militant de marque qui comme aimait-il à le répeter, s'est "abreuvé du sein de ce parti", Bouteflika ajoutera à cette occasion que le FLN "doit pour cela adopter un dialogue honnête et efficient. Il doit s'ouvrir aux générations montantes et à toutes les composantes de la société civile habilitée à prendre en charge les préoccupations du citoyen aussi bien matérielles que morales, culturelles ou de loisirs". Selon le chef de l'Etat "le parti se doit également de rajeunir la composante des cadres militants et d'oeuvrer à la promotion du rôle de la femme dans les villages et les villes pour lui permettre de gravir, avec mérite, les échelons et occuper des postes de responsabilité".
Le président de la république s'est contenté de charger son secrétaire général, M. Habba El Okbi à le représenter et procéder à la lecture, en son nom, d'une lettre-discours à travers laquelle Abdelaziz Bouteflika a exhorté le front national de libération à "s'ouvrir aux générations montantes et à toutes les compétences ". Le chef de l'Etat n'a pas raté l'occasion de faire allusion à la cohésion au sein du parti et de faire preuve d' "esprit de tolerance" qui doit "prévaloir". Bouteflika a invité les participants à "combattre les fléaux destructeurs qui portent atteinte à la moralité de notre Nation et ce, en oeuvrant à la diffusion des nobles valeurs que recèle le legs historique du parti". Cet appel qui n'est qu'une façon "diplomatique" lancé pour dépasser les clivages et à mettre fin à une lutte intestine semble aussi émis pour démystifier "les caciques et autres dinosaures" du parti en invitant le parti de Belkhadem à procéder "au rajeunissement et à plus d'ouverture à l'élément féminin". Le chef de l'Etat qui "salue les efforts des congressistes" affirme qu' "il n'est d'autre alternative devant le FLN, pour préserver cette place de choix qu'il occupe parmi les forces les plus actives sur la scène nationale, que de demeurer fidèle au serment et de s'armer des moyens d'une dynamique à même de lui permettre une meilleure appréhension des perspectives d'avenir". En guise "d'orientations" émanant d'un militant de marque qui comme aimait-il à le répeter, s'est "abreuvé du sein de ce parti", Bouteflika ajoutera à cette occasion que le FLN "doit pour cela adopter un dialogue honnête et efficient. Il doit s'ouvrir aux générations montantes et à toutes les composantes de la société civile habilitée à prendre en charge les préoccupations du citoyen aussi bien matérielles que morales, culturelles ou de loisirs". Selon le chef de l'Etat "le parti se doit également de rajeunir la composante des cadres militants et d'oeuvrer à la promotion du rôle de la femme dans les villages et les villes pour lui permettre de gravir, avec mérite, les échelons et occuper des postes de responsabilité".
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