Tweet
Les forces de sécurité ont réussi un véritable exploit depuis le début de l’année en cours dans la wilaya de Béjaïa. La surveillance des wilayas de Bordj Bou Arréridj, Bouira et Béjaïa s’est soldée par l’élimination de pas moins de neuf sanguinaires de l’ex-Gspc.
Les forces de sécurité, qui s’appuient souvent sur des renseignements fournis par les populations locales, ont pu neutraliser neuf terroristes, et arrêté trois autres.
Un lot important d’armes à feu et de munitions a été également récupéré durant les deux derniers mois, soit depuis le début de l’année en cours, selon une source proche des services de lutte antiterroriste.
C’est la conséquence des nombreuses opérations de ratissage et autres actions antiterroristes menées depuis le début de l’année, notamment dans les maquis des Biban à la limite des wilayas de Béjaïa et Bordj Bou Arréridj où une action a été enclenchée il y a un peu plus d’une semaine.
En effet, deux terroristes ont été mis hors d’état de nuire à Kalaâ Béni Abbas, commune d’Ighil Ali dans la haute vallée de la Soummam. En outre, les forces combinées de sécurité ont capturé un autre terroriste au cours d’une opération menée près d’Ighil Ali.
A titre de rappel, deux membres d’Al Qaîda ont été éliminés dans la localité de Boudjellil, dans la daïra de Tazmalt et un troisième a été arrêté, alors en cavale, début février dernier pendant qu’un autre a été arrêté aussi à Hammam Silal dans la commune de Tifra.
Les forces de lutte antiterroriste avaient abattu cinq terroristes aux portes de la wilaya de Béjaïa dans la région de Tazmalt. Il convient de rappeler que cette lutte sans répit contre le terrorisme n’a pas été sans conséquence sur les forces de l’Armée nationale qui a perdu deux de ses cadres.
Ce bilan traduit, si besoin est, l’efficacité des opérations menées par les services de sécurité depuis le début de l’année contre les maquis où sévissent encore des groupes armés.
En fait, la Kabylie reste globalement une région encore infectée par les terroristes. Avec son relief accidenté et ses maquis fortement boisés, elle est devenue très rapidement une zone de choix pour la cache des terroristes acculés de part et d’autre.
Par l'Expression
Les forces de sécurité, qui s’appuient souvent sur des renseignements fournis par les populations locales, ont pu neutraliser neuf terroristes, et arrêté trois autres.
Un lot important d’armes à feu et de munitions a été également récupéré durant les deux derniers mois, soit depuis le début de l’année en cours, selon une source proche des services de lutte antiterroriste.
C’est la conséquence des nombreuses opérations de ratissage et autres actions antiterroristes menées depuis le début de l’année, notamment dans les maquis des Biban à la limite des wilayas de Béjaïa et Bordj Bou Arréridj où une action a été enclenchée il y a un peu plus d’une semaine.
En effet, deux terroristes ont été mis hors d’état de nuire à Kalaâ Béni Abbas, commune d’Ighil Ali dans la haute vallée de la Soummam. En outre, les forces combinées de sécurité ont capturé un autre terroriste au cours d’une opération menée près d’Ighil Ali.
A titre de rappel, deux membres d’Al Qaîda ont été éliminés dans la localité de Boudjellil, dans la daïra de Tazmalt et un troisième a été arrêté, alors en cavale, début février dernier pendant qu’un autre a été arrêté aussi à Hammam Silal dans la commune de Tifra.
Les forces de lutte antiterroriste avaient abattu cinq terroristes aux portes de la wilaya de Béjaïa dans la région de Tazmalt. Il convient de rappeler que cette lutte sans répit contre le terrorisme n’a pas été sans conséquence sur les forces de l’Armée nationale qui a perdu deux de ses cadres.
Ce bilan traduit, si besoin est, l’efficacité des opérations menées par les services de sécurité depuis le début de l’année contre les maquis où sévissent encore des groupes armés.
En fait, la Kabylie reste globalement une région encore infectée par les terroristes. Avec son relief accidenté et ses maquis fortement boisés, elle est devenue très rapidement une zone de choix pour la cache des terroristes acculés de part et d’autre.
Par l'Expression