Bonsoir,
Tous les grands hommes politiques, les mouvement divers et variés et tous les grands managers commencent àse mettre à l'ORANGE. La couleur kitsch des années 70 est devenue un symbole de réussite et de punch. En voici quelques exemples
1- En politique
- Michel Aoun au Liban
- Angela Merkel en Allemagne
- Victor Louchenko en UKraine
- Les colons israliens à Gaza
- Francois BAYROU en France
2- En économie
- La compagnie de téléphonie Orange
- La banque néerlandaise ING
- La compagnie de location de voiture Sixt
- EDF qui vient de changer de logo
- NEdjma en Algérie
- Easy Jet
Lire cette excellent article de la revue économique l'EXPANSION
Stanislas
************************************************** ****
Les petits poucets de la politique et du business ou les leaders soucieux de rajeunir leur image adoptent tous la teinte kitsch des années 70, devenue symbole d'alternance et de renouveau.
L'avenir est radieux, l'avenir est Orange. » La formule n'est pas de l'Ukrainien Viktor Iouchenko en pleine campagne électorale à l'automne 2004. Elle n'est pas non plus de l'Allemande Angela Merkel, devenue adepte de cette couleur pour chasser son concurrent Gerhard Schröder du poste de chancelier. Encore moins de François Bayrou, apparu sur fond orangé lors de l'université d'été de l'UDF. Non, l'auteur de ce slogan frivole et ronflant s'appelle Hans Snook. Créateur iconoclaste de l'opérateur de téléphonie mobile britannique Orange en 1994, il n'a a priori pas d'accointances politiques avec les précédents.
Mais, à y regarder de plus près, une parenté peut s'établir entre l'orange commercial et l'orange politique. Avec une banderole de la même couleur, ils arrivent sur leur « marché » en position de challengers, résolus à bouleverser les situations acquises pour réaliser l'alternance. « Il fallait du culot à Hans Snook pour se frotter aux géants British Telecom et Vodafone », rappelle Constance Capdenat, responsable de la marque Orange à l'international. Aujourd'hui filiale de France Télécom, le petit opérateur joue dans la cour des grands. Son nom devient progressivement celui de toutes les marques du groupe. Après Itineris, il y a cinq ans, ce sera au tour d'Equant, de Wanadoo et des filiales internationales de France Télécom (hormis en Pologne) d'être rebaptisés Orange, d'ici à la fin 2006. « Contrairement à Itineris, Equant ou Wanadoo, Orange fait partie de ces marques universelles, capables de faire le tour du monde rapidement. A elle seule, la marque vaut 4 milliards d'euros à Wall Street », justifie Constance Capdenat. Elle présente l'avantage de se dire de la même manière en anglais, en allemand et en français, et d'être facile à mémoriser grâce à son homophonie avec le fruit.
Suite :
http://www.lexpansion.com/art/17.0.136691.1.html
Tous les grands hommes politiques, les mouvement divers et variés et tous les grands managers commencent àse mettre à l'ORANGE. La couleur kitsch des années 70 est devenue un symbole de réussite et de punch. En voici quelques exemples
1- En politique
- Michel Aoun au Liban
- Angela Merkel en Allemagne
- Victor Louchenko en UKraine
- Les colons israliens à Gaza
- Francois BAYROU en France
2- En économie
- La compagnie de téléphonie Orange
- La banque néerlandaise ING
- La compagnie de location de voiture Sixt
- EDF qui vient de changer de logo
- NEdjma en Algérie
- Easy Jet
Lire cette excellent article de la revue économique l'EXPANSION
Stanislas
************************************************** ****
Les petits poucets de la politique et du business ou les leaders soucieux de rajeunir leur image adoptent tous la teinte kitsch des années 70, devenue symbole d'alternance et de renouveau.
L'avenir est radieux, l'avenir est Orange. » La formule n'est pas de l'Ukrainien Viktor Iouchenko en pleine campagne électorale à l'automne 2004. Elle n'est pas non plus de l'Allemande Angela Merkel, devenue adepte de cette couleur pour chasser son concurrent Gerhard Schröder du poste de chancelier. Encore moins de François Bayrou, apparu sur fond orangé lors de l'université d'été de l'UDF. Non, l'auteur de ce slogan frivole et ronflant s'appelle Hans Snook. Créateur iconoclaste de l'opérateur de téléphonie mobile britannique Orange en 1994, il n'a a priori pas d'accointances politiques avec les précédents.
Mais, à y regarder de plus près, une parenté peut s'établir entre l'orange commercial et l'orange politique. Avec une banderole de la même couleur, ils arrivent sur leur « marché » en position de challengers, résolus à bouleverser les situations acquises pour réaliser l'alternance. « Il fallait du culot à Hans Snook pour se frotter aux géants British Telecom et Vodafone », rappelle Constance Capdenat, responsable de la marque Orange à l'international. Aujourd'hui filiale de France Télécom, le petit opérateur joue dans la cour des grands. Son nom devient progressivement celui de toutes les marques du groupe. Après Itineris, il y a cinq ans, ce sera au tour d'Equant, de Wanadoo et des filiales internationales de France Télécom (hormis en Pologne) d'être rebaptisés Orange, d'ici à la fin 2006. « Contrairement à Itineris, Equant ou Wanadoo, Orange fait partie de ces marques universelles, capables de faire le tour du monde rapidement. A elle seule, la marque vaut 4 milliards d'euros à Wall Street », justifie Constance Capdenat. Elle présente l'avantage de se dire de la même manière en anglais, en allemand et en français, et d'être facile à mémoriser grâce à son homophonie avec le fruit.
Suite :
http://www.lexpansion.com/art/17.0.136691.1.html
Commentaire