Sous nos chapeaux noirs
Quant ce matérialise devant toi
Le chaud le froid, l'émoi
Captif d'un désert sans alizés
Tu t'ai laisser t'enliser
Craintif, sans noblesse, ni richesse
J'avais oser promener partout
Un regard envieux, lacrymal et flou
Vestige d'un temps qui s'appelait jeunesse
De l'air et de la hauteur,
Tout en haut, au paroxysme des cieux
Déleste-toi des scrupules et des lourdeurs
Et accepte ce don de Dieu
Élève toi, pure au son de l'eau
Pousse tes ailes, les nervures minérales
Seront pour toi le carburant idéal
Pour repousser ce malheur, ce fléau
On dit ton corps malade, jusqu'au os
On dit que l'âme exultera des pores de la peau
Alors soit plus vif, arraches les oripeaux
Et sur l'île de tes rêves plante un drapeau
Sourde des gémissements, des plaintifs
Offre le courage a l'article de la mort
Au pleurnichard sans ballon, a la bouche un bâillon
Pour qu'il ne s'acharne plus sur leur sort
Ton drap est un carnage, les liquides vénéneux
On noyé tes cheveux dans milles noeux
Comme une ancre jeté sur la mer de l'existence
Tu offre, généreuse, a la vie, sa dernière danse
Tes murs sont vivants, leur piliers vastes prient
Un oxygène qui nous étouffe tous, te redonne la vie
Il sont tes compagnons, tes ombres de plâtres
Ces spectes moustachu, ce pantin idolâtre
Des cris a l'unisson s'étouffe dans ce couloir
Un hymne a la vie, une hyène en chef d'orchestre
Débraillés vos cordes vocales s'unissent et séquestre
Nos complaintes morbides sous nos chapeaux noir...
Chaarar,
Quant ce matérialise devant toi
Le chaud le froid, l'émoi
Captif d'un désert sans alizés
Tu t'ai laisser t'enliser
Craintif, sans noblesse, ni richesse
J'avais oser promener partout
Un regard envieux, lacrymal et flou
Vestige d'un temps qui s'appelait jeunesse
De l'air et de la hauteur,
Tout en haut, au paroxysme des cieux
Déleste-toi des scrupules et des lourdeurs
Et accepte ce don de Dieu
Élève toi, pure au son de l'eau
Pousse tes ailes, les nervures minérales
Seront pour toi le carburant idéal
Pour repousser ce malheur, ce fléau
On dit ton corps malade, jusqu'au os
On dit que l'âme exultera des pores de la peau
Alors soit plus vif, arraches les oripeaux
Et sur l'île de tes rêves plante un drapeau
Sourde des gémissements, des plaintifs
Offre le courage a l'article de la mort
Au pleurnichard sans ballon, a la bouche un bâillon
Pour qu'il ne s'acharne plus sur leur sort
Ton drap est un carnage, les liquides vénéneux
On noyé tes cheveux dans milles noeux
Comme une ancre jeté sur la mer de l'existence
Tu offre, généreuse, a la vie, sa dernière danse
Tes murs sont vivants, leur piliers vastes prient
Un oxygène qui nous étouffe tous, te redonne la vie
Il sont tes compagnons, tes ombres de plâtres
Ces spectes moustachu, ce pantin idolâtre
Des cris a l'unisson s'étouffe dans ce couloir
Un hymne a la vie, une hyène en chef d'orchestre
Débraillés vos cordes vocales s'unissent et séquestre
Nos complaintes morbides sous nos chapeaux noir...
Chaarar,
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