En signe de protestation contre les autorités algériennes :
Le Maroc a qualifié son exclusion du mini sommet sécuritaire tenu à Alger, le 16 mars du mois courtant, de « comptes tactiques », et a appelé l’Algérie, implicitement, à « étudier les moyens indispensables pour faire face aux défis sécuritaires ». Ainsi, Rabat n’a pas digéré le fait qu’elle n’a pas été invitée pour prendre part à la réunion des ministres des AE des pays du Sahel, et pour rendre la pareille, le Maroc a organisé une réunion sur la sécurité dans le bassin méditerranéen. Bien évidemment, l’Algérie n’a pas été invitée pour ladite réunion.
Dans ce cadre, la réunion tenue à Rabat, avant-hier, a débattu la sécurité et la lutte contre le terrorisme dans le bassin méditerranéen. Il y a lieu de noter que, seulement, participants venant d’Angleterre ont pris part à cette réunion, qui a appelé pour la mise en place d’une stratégie euro-méditerranéenne commune visant à faire face aux obstacles sécuritaires dans le bassin méditerranéen.
Dans une déclaration reprise par l’agence de presse marocaine, le ministre marocain des affaires étrangères, El Tayeb El Fassi El Fahri, a indiqué que les pays de la région sont appelés « à faire un pronostic exact et étudier les défis afin de fournir des réponses concordantes », ajoutant que les questions sécuritaires de caractère régionale ne doivent pas être sacrifiées au dépens des préjugés et des comptes politiques », un discours adressé aux responsables algériens, qui n’ont pas adressé une invitation au Maroc, pour prendre part à la réunion des ministres des AE des pays du Sahel, car, selon ceux-ci, il n’a pas des frontières avec les pays du Sahel.
Pour sa part, Said Hassar, le secrétaire d’état auprès du ministre de l’intérieur marocain a affirmé que la région du Sahel et le Sahara « représente une menace majeure pour le bassin méditerranéen, l’Europe et le monde entier ; l’insécurité qui règne dans à travers la région crée les conditions favorables pour l’apparition des mouvements indépendantistes ».
El Khabar
Le Maroc a qualifié son exclusion du mini sommet sécuritaire tenu à Alger, le 16 mars du mois courtant, de « comptes tactiques », et a appelé l’Algérie, implicitement, à « étudier les moyens indispensables pour faire face aux défis sécuritaires ». Ainsi, Rabat n’a pas digéré le fait qu’elle n’a pas été invitée pour prendre part à la réunion des ministres des AE des pays du Sahel, et pour rendre la pareille, le Maroc a organisé une réunion sur la sécurité dans le bassin méditerranéen. Bien évidemment, l’Algérie n’a pas été invitée pour ladite réunion.
Dans ce cadre, la réunion tenue à Rabat, avant-hier, a débattu la sécurité et la lutte contre le terrorisme dans le bassin méditerranéen. Il y a lieu de noter que, seulement, participants venant d’Angleterre ont pris part à cette réunion, qui a appelé pour la mise en place d’une stratégie euro-méditerranéenne commune visant à faire face aux obstacles sécuritaires dans le bassin méditerranéen.
Dans une déclaration reprise par l’agence de presse marocaine, le ministre marocain des affaires étrangères, El Tayeb El Fassi El Fahri, a indiqué que les pays de la région sont appelés « à faire un pronostic exact et étudier les défis afin de fournir des réponses concordantes », ajoutant que les questions sécuritaires de caractère régionale ne doivent pas être sacrifiées au dépens des préjugés et des comptes politiques », un discours adressé aux responsables algériens, qui n’ont pas adressé une invitation au Maroc, pour prendre part à la réunion des ministres des AE des pays du Sahel, car, selon ceux-ci, il n’a pas des frontières avec les pays du Sahel.
Pour sa part, Said Hassar, le secrétaire d’état auprès du ministre de l’intérieur marocain a affirmé que la région du Sahel et le Sahara « représente une menace majeure pour le bassin méditerranéen, l’Europe et le monde entier ; l’insécurité qui règne dans à travers la région crée les conditions favorables pour l’apparition des mouvements indépendantistes ».
El Khabar
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