Par Karim Bennacef
Le financier
L’Algérie a cette double chance de se placer définitivement dans le peloton des pays en voie de développement ; pour peu qu’elle négocie au mieux son destin économique. Deux conjonctures favorables, à savoir : la décision de maintien des prix du baril de pétrole à un seuil appréciable par l’OPEP et le Sommet du gaz qui se tient à Oran le 16 avril prochain, constituent les clés de ce destin. Le marché du gaz, enjeu du futur, ne doit pas échapper à l’Algérie. A ce titre, la date du 16 avril sera un tournant décisif dans la politique à venir. Lors de cet évènement, il s’agira surtout -de contrecarrer les desseins des géants européens- qui nouent des alliances jugées «menaçantes» pour le marché algérien, même si l’Algérie préserve encore sa marge de manœuvre.
Et pour cause, l’inquiétude de l’Europe -qui veut se défaire complètement de la dépendance énergétique vis-à-vis de quelques pays- dont l’Algérie. Concernant- la décision de l’OPEP- l’Algérie est prémunie pour le moment d’une surprise dans les fluctuations qui peuvent affecter les cours du baril de l’or noir, ce qui lui offre la possibilité de garder ses prévisions intactes pour le quinquennal en cours. Mais comme rappelé dans une précédente chronique, c’est la course contre la montre, d’où l’urgence d’assoir les bons plans.
Le financier
L’Algérie a cette double chance de se placer définitivement dans le peloton des pays en voie de développement ; pour peu qu’elle négocie au mieux son destin économique. Deux conjonctures favorables, à savoir : la décision de maintien des prix du baril de pétrole à un seuil appréciable par l’OPEP et le Sommet du gaz qui se tient à Oran le 16 avril prochain, constituent les clés de ce destin. Le marché du gaz, enjeu du futur, ne doit pas échapper à l’Algérie. A ce titre, la date du 16 avril sera un tournant décisif dans la politique à venir. Lors de cet évènement, il s’agira surtout -de contrecarrer les desseins des géants européens- qui nouent des alliances jugées «menaçantes» pour le marché algérien, même si l’Algérie préserve encore sa marge de manœuvre.
Et pour cause, l’inquiétude de l’Europe -qui veut se défaire complètement de la dépendance énergétique vis-à-vis de quelques pays- dont l’Algérie. Concernant- la décision de l’OPEP- l’Algérie est prémunie pour le moment d’une surprise dans les fluctuations qui peuvent affecter les cours du baril de l’or noir, ce qui lui offre la possibilité de garder ses prévisions intactes pour le quinquennal en cours. Mais comme rappelé dans une précédente chronique, c’est la course contre la montre, d’où l’urgence d’assoir les bons plans.
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