Les dirigeants arabes ont conditionné la reprise du dialogue israélo-palestinien à l'arrêt total de la colonisation à Jérusalem, à la clôture de leur sommet, dimanche 28 mars en Libye.
Dans ce contexte, les dirigeants arabes ont appelé Barack Obama 'à rester attaché à sa position initiale clé appelant à l'arrêt total de la politique de colonisation dans l'ensemble des territoires occupés, y compris à Jérusalem'. Ils ont également demandé au Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, Russie, ONU) de 'faire pression sur Israël pour un arrêt total de la colonisation'.
Une résolution qui a eu le don de ne pas davantage satisfaire le Hamas que le gouvernement israélien. A Gaza, le porte-parole du Hamas, opposé aux négociations avec Israël, a critiqué la position arabe, estimant 'que tester les intentions israéliennes était une perte de temps. Le sommet aurait dû utiliser tous les moyens de pression pour isoler l'occupant sioniste'. Quelques heures plus tôt, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, qui refuse d'arrêter la colonisation dans le secteur oriental annexé de Jérusalem, avait accusé les Palestiniens et les Arabes de 'durcir leurs positions'.
N'ayant pas réussi à relancer les négociations de paix directes entre Israël et les Palestiniens, les Etats-Unis avaient réussi à arracher un accord des Palestiniens sur des pourparlers indirects, dits de 'proximité', sous l'égide de leur émissaire George Mitchell. Mais le lancement de ces négociations a été torpillé par l'annonce par Israël de la construction de 1 600 nouveaux logements dans un quartier de colonisation à Jérusalem-Est.
source : Le Monde
Dans ce contexte, les dirigeants arabes ont appelé Barack Obama 'à rester attaché à sa position initiale clé appelant à l'arrêt total de la politique de colonisation dans l'ensemble des territoires occupés, y compris à Jérusalem'. Ils ont également demandé au Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, Russie, ONU) de 'faire pression sur Israël pour un arrêt total de la colonisation'.
Une résolution qui a eu le don de ne pas davantage satisfaire le Hamas que le gouvernement israélien. A Gaza, le porte-parole du Hamas, opposé aux négociations avec Israël, a critiqué la position arabe, estimant 'que tester les intentions israéliennes était une perte de temps. Le sommet aurait dû utiliser tous les moyens de pression pour isoler l'occupant sioniste'. Quelques heures plus tôt, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, qui refuse d'arrêter la colonisation dans le secteur oriental annexé de Jérusalem, avait accusé les Palestiniens et les Arabes de 'durcir leurs positions'.
N'ayant pas réussi à relancer les négociations de paix directes entre Israël et les Palestiniens, les Etats-Unis avaient réussi à arracher un accord des Palestiniens sur des pourparlers indirects, dits de 'proximité', sous l'égide de leur émissaire George Mitchell. Mais le lancement de ces négociations a été torpillé par l'annonce par Israël de la construction de 1 600 nouveaux logements dans un quartier de colonisation à Jérusalem-Est.
source : Le Monde
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