Absence
Iris embrumé par l'automne
Visages sur visages de cristal
Prière nocturne et coloquinte
Parfum d'éternité, camphrée
Je marche emporté par le son
Des cordes pincés de tes lèvres
Je vois du rouge et du sombre
Les ombres liqueur, m'abreuvent
Je tend les yeux, pour l'au revoir
Je broie ton image dans mes bras
Je berce ton beau prénom
Dans mes folles litanies...
Ton habit de soie, se confond
Avec la douceur de ta peau
Les cris que je pousse
Font peur au tonnerre dans le ciel
J'ai marqué le temps qui coule
Sur la trace tes petons agiles
Qui ne sont jamais aller aussi vite
Que sur ce sable, que je maudit
Une armée de buveurs de sang
M'a avouer son impuissance
A te retenir sur la paume de ma main
Et m'ont laisser sur le sol froid
Lègue dont a la terre un seul
De tes cheveux, pour que le soleil
Ne jure pas de ne plus revenir
Brûler la rétine de mes yeux
Cette liqueur du bonheur
Qu'est ton sourire, qui s'assèche
Qui taris les terre d'Andalousie
Enfant bâtard de mère jalousie
Laisse moi, c'est la meilleure chose
Si les arbres de l'été m'accepte
Je ferais de ma peau l'écorce
Sur laquelle tu posera ton dos
Si la rivière accepte mes larmes
Je mélangerais nos eaux
Pour te laisser t'abreuver
De tout les confluent de ma peine
Me fera tu un enfant avant de partir ?
Tu sais les lumière qui transpercent
Les voiles d'ébènes exaltés
On besoin d'un héritier, d'un Roi
M'avertira tu ? ou opérera tu en silence
Comme cette nuit ou tu a pris mon cœur
Anesthésiant mon âme
Des mots d'amours échancrés
Voués au feu de l'enfer...
Chaarar,
Iris embrumé par l'automne
Visages sur visages de cristal
Prière nocturne et coloquinte
Parfum d'éternité, camphrée
Je marche emporté par le son
Des cordes pincés de tes lèvres
Je vois du rouge et du sombre
Les ombres liqueur, m'abreuvent
Je tend les yeux, pour l'au revoir
Je broie ton image dans mes bras
Je berce ton beau prénom
Dans mes folles litanies...
Ton habit de soie, se confond
Avec la douceur de ta peau
Les cris que je pousse
Font peur au tonnerre dans le ciel
J'ai marqué le temps qui coule
Sur la trace tes petons agiles
Qui ne sont jamais aller aussi vite
Que sur ce sable, que je maudit
Une armée de buveurs de sang
M'a avouer son impuissance
A te retenir sur la paume de ma main
Et m'ont laisser sur le sol froid
Lègue dont a la terre un seul
De tes cheveux, pour que le soleil
Ne jure pas de ne plus revenir
Brûler la rétine de mes yeux
Cette liqueur du bonheur
Qu'est ton sourire, qui s'assèche
Qui taris les terre d'Andalousie
Enfant bâtard de mère jalousie
Laisse moi, c'est la meilleure chose
Si les arbres de l'été m'accepte
Je ferais de ma peau l'écorce
Sur laquelle tu posera ton dos
Si la rivière accepte mes larmes
Je mélangerais nos eaux
Pour te laisser t'abreuver
De tout les confluent de ma peine
Me fera tu un enfant avant de partir ?
Tu sais les lumière qui transpercent
Les voiles d'ébènes exaltés
On besoin d'un héritier, d'un Roi
M'avertira tu ? ou opérera tu en silence
Comme cette nuit ou tu a pris mon cœur
Anesthésiant mon âme
Des mots d'amours échancrés
Voués au feu de l'enfer...
Chaarar,
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