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Dans le but de réduire la pression exercée sur ceux d’Alger et d’Oran et Portant le nom de Abou Bakr Belkaïd, il sera mis en service dès sa prochaine introduction dans la programmation de la navigation aérienne.
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La disponibilité d’un aéroport de desserte internationale dans cette région aura l’avantage de réduire la pression exercée sur ceux d’Alger et d’Oran avec la possibilité d’assurer le transport des fidèles se rendant aux Lieux-Saints de l’islam et de répondre aux besoins de la communauté émigrée, originaire du centre-ouest du pays.
Le projet de réalisation de l’aéroport El Mouafkia de Chlef, baptisé au nom de feu Abou Bakr Belkaïd, dont le président de la République a posé la première pierre en 2004, “est totalement achevé”, indique la direction des travaux publics de la wilaya.
La mise en service de cette infrastructure sera effective dès sa prochaine introduction dans la programmation de la navigation aérienne. Le responsable du secteur des transports a annoncé, pour sa part, la réception de la totalité des équipements d’exploitation (tapis à bagages, chariots et deux scanners), de la tour de contrôle ainsi que du salon d’honneur de l’aéroport. De son côté, le directeur des travaux publics a fait état de l’achèvement de la totalité des accotements de la piste principale et du parking de stationnement. Sa construction a été confiée au groupement public Sonatro-Evsm, avec un concours financier de 2 milliards de dinars issu du programme complémentaire, décidé par le chef de l'État.
Une rallonge complémentaire de 500 millions de dinars a été ajoutée à l’effort de financement pour la prise en charge des bouts bétonnés et les voies de dessertes dont la reprise était, dit-on, recommandée par l’évolution du projet. La décision de doter la wilaya de Chlef d’un aéroport a été prise, rappelle-t-on, par le président de la République, lors de sa visite dans la région au mois de mai 2002.
Implanté sur l’ancien site aéroportuaire d’El Mouafkia, qui faisait fonction d’école pour les amateurs de l’aéro-club, cet aéroport a été conçu à partir d’une variante répondant aux normes nationales et internationales de navigation, en matière de pose, orientation, sécurité et aménagements aériens.
Le projet a porté, notamment, sur la réalisation d’une nouvelle piste principale de 2 800 mètres pourvue de tous les équipements et infrastructures d’atterrissage et de contrôle de la navigation qui lui permettent d’accueillir même des avions gros porteurs. Au plan commercial, l'aéroport de Chlef aura, compte tenu de ses atouts géostratégiques, à jouer un rôle prépondérant dans la régulation des transports aériens pour l’ensemble de la région centre-ouest du pays, a-t-on indiqué.
L'aéroport, rappelle-t-on, aura à prendre en charge les besoins en transport aérien des citoyens des wilayas de Chlef, Aïn Defla, Tissemsilt et Relizane. La disponibilité d’un aéroport de desserte internationale à Chlef, est-il relevé, aura l’avantage de réduire la pression exercée sur les aéroports d’Alger et d’Oran avec la possibilité d’assurer le transport des fidèles se rendant aux Lieux-Saints de l’islam et de répondre aux besoins de la communauté émigrée, originaire du centre- ouest du pays.
À préciser, enfin, que depuis le début du mois de novembre 2005, Belahouar Abdelhak a été installé en qualité de directeur de cet aéroport
- Liberté
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La disponibilité d’un aéroport de desserte internationale dans cette région aura l’avantage de réduire la pression exercée sur ceux d’Alger et d’Oran avec la possibilité d’assurer le transport des fidèles se rendant aux Lieux-Saints de l’islam et de répondre aux besoins de la communauté émigrée, originaire du centre-ouest du pays.
Le projet de réalisation de l’aéroport El Mouafkia de Chlef, baptisé au nom de feu Abou Bakr Belkaïd, dont le président de la République a posé la première pierre en 2004, “est totalement achevé”, indique la direction des travaux publics de la wilaya.
La mise en service de cette infrastructure sera effective dès sa prochaine introduction dans la programmation de la navigation aérienne. Le responsable du secteur des transports a annoncé, pour sa part, la réception de la totalité des équipements d’exploitation (tapis à bagages, chariots et deux scanners), de la tour de contrôle ainsi que du salon d’honneur de l’aéroport. De son côté, le directeur des travaux publics a fait état de l’achèvement de la totalité des accotements de la piste principale et du parking de stationnement. Sa construction a été confiée au groupement public Sonatro-Evsm, avec un concours financier de 2 milliards de dinars issu du programme complémentaire, décidé par le chef de l'État.
Une rallonge complémentaire de 500 millions de dinars a été ajoutée à l’effort de financement pour la prise en charge des bouts bétonnés et les voies de dessertes dont la reprise était, dit-on, recommandée par l’évolution du projet. La décision de doter la wilaya de Chlef d’un aéroport a été prise, rappelle-t-on, par le président de la République, lors de sa visite dans la région au mois de mai 2002.
Implanté sur l’ancien site aéroportuaire d’El Mouafkia, qui faisait fonction d’école pour les amateurs de l’aéro-club, cet aéroport a été conçu à partir d’une variante répondant aux normes nationales et internationales de navigation, en matière de pose, orientation, sécurité et aménagements aériens.
Le projet a porté, notamment, sur la réalisation d’une nouvelle piste principale de 2 800 mètres pourvue de tous les équipements et infrastructures d’atterrissage et de contrôle de la navigation qui lui permettent d’accueillir même des avions gros porteurs. Au plan commercial, l'aéroport de Chlef aura, compte tenu de ses atouts géostratégiques, à jouer un rôle prépondérant dans la régulation des transports aériens pour l’ensemble de la région centre-ouest du pays, a-t-on indiqué.
L'aéroport, rappelle-t-on, aura à prendre en charge les besoins en transport aérien des citoyens des wilayas de Chlef, Aïn Defla, Tissemsilt et Relizane. La disponibilité d’un aéroport de desserte internationale à Chlef, est-il relevé, aura l’avantage de réduire la pression exercée sur les aéroports d’Alger et d’Oran avec la possibilité d’assurer le transport des fidèles se rendant aux Lieux-Saints de l’islam et de répondre aux besoins de la communauté émigrée, originaire du centre- ouest du pays.
À préciser, enfin, que depuis le début du mois de novembre 2005, Belahouar Abdelhak a été installé en qualité de directeur de cet aéroport
- Liberté