Mon cœur est une larme
Et toi ton baiser
A bu cette larme
Avant qu’elle ne naisse
Tu as sus par ton charme
Empêcher mon cœur
De se noyer
Tu es là près de moi
Me prenant par la main
Montrant mon chemin
Sans avoir à parler
Mes maux de détresse meurent avant d’être né
Tu es la pour les empêcher
De me blesser
Ombre invisible et invincible
Je sais que tu es là
Malgré moi malgré nous
Ton absence me protège autant qu’une présence
Le temps suspend nos vols mais pas notre envol
Avec toi je décolle de ce monde merveilleux
Qui avale et qui damne les cœurs purs et courageux
Qui glorifie les blâmes et les lâches sans foi ni loi
Que la traîtrise et les crachats.
Que m’importe cela
Je ne les juge pas c’est leurs choix
Pas pour moi c’est tout
Entre vivre dans la boue
Et vivre debout
J’ai choisis mon chemin
Il y a longtemps de cela
Chacun de nous doit trouver sa voie
Emprunter des chemins détournés
Provoquent des cataclysmes parfois
Pourquoi pas ?
Tu es là et me comprend
Me surprend, me rends
Folle de joie, folle de toi
Te déplaire serait mon calvaire
Qu’importe les épines
Puisqu’elles ne me piquent pas !
Tu es là et je ne vois que ça !
Morjane
23 Avril 2003
Et toi ton baiser
A bu cette larme
Avant qu’elle ne naisse
Tu as sus par ton charme
Empêcher mon cœur
De se noyer
Tu es là près de moi
Me prenant par la main
Montrant mon chemin
Sans avoir à parler
Mes maux de détresse meurent avant d’être né
Tu es la pour les empêcher
De me blesser
Ombre invisible et invincible
Je sais que tu es là
Malgré moi malgré nous
Ton absence me protège autant qu’une présence
Le temps suspend nos vols mais pas notre envol
Avec toi je décolle de ce monde merveilleux
Qui avale et qui damne les cœurs purs et courageux
Qui glorifie les blâmes et les lâches sans foi ni loi
Que la traîtrise et les crachats.
Que m’importe cela
Je ne les juge pas c’est leurs choix
Pas pour moi c’est tout
Entre vivre dans la boue
Et vivre debout
J’ai choisis mon chemin
Il y a longtemps de cela
Chacun de nous doit trouver sa voie
Emprunter des chemins détournés
Provoquent des cataclysmes parfois
Pourquoi pas ?
Tu es là et me comprend
Me surprend, me rends
Folle de joie, folle de toi
Te déplaire serait mon calvaire
Qu’importe les épines
Puisqu’elles ne me piquent pas !
Tu es là et je ne vois que ça !
Morjane
23 Avril 2003
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