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Merouane Mokdad
TSA
A moins de deux ans des élections législatives, Abdallah Djabbalh lance un nouveau parti. L’ex-leader d’Ennahda puis d’El Islah, a fait appel à ses anciens compagnons pour lancer un nouveau parti islamiste. Dans une intervention mardi soir sur Al Jazeera, il a annoncé que le dépôt du dossier auprès du ministère de l’Intérieur se fera dans moins d’un mois. “Nous sommes une force organisée depuis des années. Nous avons été agressés à plusieurs reprises. Nous avons trop attendu déjà. Donc, nous avons décidé de lancer une nouvelle initiative et lancer un parti avec une appellation nouvelle. Nous sommes aux dernières retouches”, a-t-il annoncé sans autre précision.
Il a indiqué que ses partisans existent dans toutes les institutions. Il a dénoncé la fermeture du champs politique et le refus des autorités d’agréer de nouveaux partis depuis plus de dix ans. “Cette attitude est contraire à la Constitution et porte atteinte aux libertés politiques dans le pays. Cela a alimenté la colère populaire contre le pouvoir”, a-t-il déclaré soulignant que cette fermeture ne peut pas durer éternellement. Il y a quelques mois Abdallah Djaballah, candidat à l’élection présidentielle de 2004, a tenté de réunifier les rangs d’Ennahda, son premier parti. Son entreprise n’a pas abouti.
En 2005, suite à une scission, Djabbalh a perdu son second parti, El Islah, après intervention du ministère de l’Intérieur. “Si les autorités ne nous donnent pas d’agrément pour le nouveau parti, nous allons continuer notre combat”, a-t-il déclaré.
TSA
A moins de deux ans des élections législatives, Abdallah Djabbalh lance un nouveau parti. L’ex-leader d’Ennahda puis d’El Islah, a fait appel à ses anciens compagnons pour lancer un nouveau parti islamiste. Dans une intervention mardi soir sur Al Jazeera, il a annoncé que le dépôt du dossier auprès du ministère de l’Intérieur se fera dans moins d’un mois. “Nous sommes une force organisée depuis des années. Nous avons été agressés à plusieurs reprises. Nous avons trop attendu déjà. Donc, nous avons décidé de lancer une nouvelle initiative et lancer un parti avec une appellation nouvelle. Nous sommes aux dernières retouches”, a-t-il annoncé sans autre précision.
Il a indiqué que ses partisans existent dans toutes les institutions. Il a dénoncé la fermeture du champs politique et le refus des autorités d’agréer de nouveaux partis depuis plus de dix ans. “Cette attitude est contraire à la Constitution et porte atteinte aux libertés politiques dans le pays. Cela a alimenté la colère populaire contre le pouvoir”, a-t-il déclaré soulignant que cette fermeture ne peut pas durer éternellement. Il y a quelques mois Abdallah Djaballah, candidat à l’élection présidentielle de 2004, a tenté de réunifier les rangs d’Ennahda, son premier parti. Son entreprise n’a pas abouti.
En 2005, suite à une scission, Djabbalh a perdu son second parti, El Islah, après intervention du ministère de l’Intérieur. “Si les autorités ne nous donnent pas d’agrément pour le nouveau parti, nous allons continuer notre combat”, a-t-il déclaré.
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