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"Nucléaire iranien : le geste symbolique de Pékin"

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  • "Nucléaire iranien : le geste symbolique de Pékin"

    Nucléaire iranien : le geste symbolique de Pékin


    C'est un revirement important : la Chine dit oui à de nouvelles sanctions contre l'Iran. Son accord a été obtenu mercredi soir 31 mars, sous la pression de la Russie, des Etats-Unis, de l'Allemagne, de la Grande Bretagne et de la France, notamment.
    Tous soupçonnent la République islamique de vouloir acquérir la capacité de créer une arme nucléaire ; tous l'accusent de ne pas respecter les obligations qui sont les siennes en matière de non prolifération. Très précisément, Téhéran poursuivrait un programme d'enrichissement de l'uranium jugé pour le moins ambigu.

    Mais, jusque là, Pékin hésitait. La Chine est l'un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU. A ce titre, elle dispose d'un droit de veto susceptible de bloquer une résolution imposant de nouvelles sanctions à l'Iran.

    Ces dernières semaines, la Chine maintenait qu'il y avait encore une possibilité de "négociation" avec la République islamique. Elle rappelait son attachement au principe de la souveraineté nationale : pas d'ingérence dans les affaires intérieures des Etats. Elle disait son scepticisme quant à l'efficacité des sanctions : l'Iran en subit depuis 1979, sans changer de politique nucléaire.

    Nombre d'observateurs ajoutaient que la Chine entretient une étroite coopération commerciale avec la République islamique qui lui fournit 13 % de ses importations d'hydrocarbures.

    NE PAS "MORDRE"

    Pourquoi la Chine a-t-elle changé d'avis ? Peur de l'isolement diplomatique ? Habitude de s'aligner dans ce domaine sur les positions de la Russie ? Lassitude devant le refus permanent de Téhéran de répondre positivement à toutes les tentatives de dialogue qui lui sont adressées ? Un peu tout cela à la fois.

    Un projet de résolution devrait être prêt courant avril. La Chine, qui recevait jeudi 1er avril le négociateur en chef iranien pour les affaires nucléaires, Sad Jalili, a déjà précisé sa position : elle ne veut pas de sanctions trop dures.

    Le message est clair : elle fera tout pour que ces sanctions ne puissent pas "mordre", comme le souhaitent Washington, Londres et Paris.

    Sans doute ne s'agit-il pour Pékin que d'un geste symbolique. Alors que l'Iran – de l'avis de tous les experts – coche une à une toutes les cases "danger" de la prolifération nucléaire, il était difficile de rester sans réagir. D'autant que l'ONU réunit en mai une conférence sur la non prolifération, qui ne pourra que constater que Téhéran viole ses engagements.

    Alain Frachon - Le Monde

  • #2
    la Chine dit oui à de nouvelles sanctions contre l'Iran.

    des alliés comme la chine et la Russie restent instable et pas sure.

    Heureusement qu'on est du bon coté.

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    • #3
      NUCLÉAIRE : L’Iran estime qu’il est possible de « parvenir à une entente »

      Alger - Le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a estimé hier qu’il est "possible de parvenir à une entente" sur le dossier nucléaire, au cours d’une visite en Algérie.

      "Le dossier du nucléaire est actuellement posé sur la table et il est possible de parvenir à une entente à ce sujet avec l’Iran sur la base de ce qui se déroule à Vienne", siège de l’Agence internationale de l’énergie atomique (Aiea), a affirmé M. Mottaki, cité par l’agence Aps.Le ministre iranien s’exprimait à l’issue d’un entretien avec le président algérien Abdelaziz Bouteflika.

      "J’ai présenté au président Bouteflika les conclusions relatives au combustible nucléaire dont nous avons besoin dans la station nucléaire à Téhéran" et "les remerciements" de son pays à l’Algérie pour sa position et son soutien concernant le dossier de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques, a expliqué le diplomate, selon la même source.

      AFP
      Le Soleil

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      • #4
        et oui les allié de mer.de de communiste, que du blabla , les iraniens se sont bien fais avoir avec ces p.utain de traite..
        le mauvais cheval,
        vive l'amerique

        Commentaire


        • #5
          Certainement le résultat des négociations saoudienne


          Fayçal à Pékin, pour substituer le pétrole iranien ??
          Nombre de lecteurs : 819 [IMG]http://www.************.lb/NewsSite/WebsiteImages/PicturesFolder/031847ed-ce5d-4dcb-b01e-7a7b77a25a2b_top.jpg[/IMG]
          04/03/2010 Le chef de la diplomatie saoudien Saoud AlFayçal s'est rendu ce jeudi en Chine afin de livrer au président chinois Hu Jintao une lettre du roi saoudien Abdallah.
          Selon une source diplomatique saoudienne citée par le quotidien londonien arabophone AlQuds AlArabi, la lettre aura trait à la vision saoudienne au processus de paix au Moyen Orient ainsi qu’au programme nucléaire iranien.
          Mais la source diplomatique a refusé de répondre à la question de savoir si elle comportera la proposition américaine faite à Riad pour user de son influence auprès de Pékin, en vue de lui changer sa position réservée concernant un durcissement des sanctions à l’encontre de l’Iran au sein du Conseil de sécurité.
          Selon des analystes occidentaux, les Saoudiens vont proposer aux Chinois du pétrole et du gaz à bas prix, afin de ne plus avoir à se les procurer chez les Iraniens, au moment où Occidentaux et Israéliens s’acharnent plus que jamais à faire plier la position chinoise.

          Commentaire


          • #6
            c'est la enieme fois que des communistes trahissent des musulmans, arabes et autres gars de cette region...
            des sanctions ok mais pas trop dures !! c'est de l'humour chinois

            04/03/2010 Le chef de la diplomatie saoudien Saoud AlFayçal s'est rendu ce jeudi en Chine afin de livrer au président chinois Hu Jintao une lettre du roi saoudien Abdallah.
            Selon une source diplomatique saoudienne citée par le quotidien londonien arabophone AlQuds AlArabi, la lettre aura trait à la vision saoudienne au processus de paix au Moyen Orient ainsi qu’au programme nucléaire iranien.
            Mais la source diplomatique a refusé de répondre à la question de savoir si elle comportera la proposition américaine faite à Riad pour user de son influence auprès de Pékin, en vue de lui changer sa position réservée concernant un durcissement des sanctions à l’encontre de l’Iran au sein du Conseil de sécurité.
            Selon des analystes occidentaux, les Saoudiens vont proposer aux Chinois du pétrole et du gaz à bas prix, afin de ne plus avoir à se les procurer chez les Iraniens, au moment où Occidentaux et Israéliens s’acharnent plus que jamais à faire plier la position chinoise.
            a la place des iraniens, pour moins que ca un mec comme saddam aurait declaré la guerre a l'arabie saoudite...
            Dernière modification par casacapital, 02 avril 2010, 05h30.
            leternel debat entre ovistes et animalculistes

            Commentaire


            • #7
              04/03/2010
              Le chef de la diplomatie saoudien Saoud AlFayçal s'est rendu ce jeudi en Chine afin de livrer au président chinois Hu Jintao une lettre du roi saoudien Abdallah.
              Selon une source diplomatique saoudienne citée par le quotidien londonien arabophone AlQuds AlArabi, la lettre aura trait à la vision saoudienne au processus de paix au Moyen Orient ainsi qu’au programme nucléaire iranien.
              Mais la source diplomatique a refusé de répondre à la question de savoir si elle comportera la proposition américaine faite à Riad pour user de son influence auprès de Pékin, en vue de lui changer sa position réservée concernant un durcissement des sanctions à l’encontre de l’Iran au sein du Conseil de sécurité.
              Selon des analystes occidentaux, les Saoudiens vont proposer aux Chinois du pétrole et du gaz à bas prix, afin de ne plus avoir à se les procurer chez les Iraniens, au moment où Occidentaux et Israéliens s’acharnent plus que jamais à faire plier la position chinoise.
              Il n’y aura aucun bas prix à la clef. L’énergie a un prix au marché mondial et ceux qui veulent en obtenir paieront se prix, comme il se doit. Nous parlons plutôt d’un renversement mondial total des alliances stratégiques et qui a débuté depuis un bon moment. Mais cette fois-ci d'égal à égal.



              La carte ci-dessous présente l'origine géographique du pétrole importé par les Etats-Unis en 2004.

              Canada

              Dans les dernières années, les réserves pétrolières prouvées de l'Alberta furent relevées d'un total conventionnel d’environ 5 milliards de barils, à un niveau d’environ 180 milliards de barils, qui inclut les sables bitumineux de l'Athabasca, plaçant le Canada en deuxième place derrière l'Arabie saoudite. D’autres estimations (BP Statistical Review of World Energy) placent les réserves de pétrole du Canada dans la zone des 17 milliards de barils, en ne comptant que la portion des sables bitumineux actuellement développés/exploités. Bien que l'Alberta accapare près de 75% des réserves pétrolières conventionnelles canadiennes, la plupart des autres provinces et territoires (spécialement la Saskatchewan et les eaux territoriales au large de Terre-Neuve) détiennent une part non-négligeable de réserves en exploitation.


              Livraisons de pétrole brut canadien en 2007
              (en pourcentage)




              Offre de pétrole brut et débouchés - 2007
              (en milliers de mètres cubes par jour)



              Dernière modification par Adama, 02 avril 2010, 11h03.

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              • #8
                Réédition ancien post :
                « Iran/sanctions: Riyad et Emirats prêts à tenter de convaincre Pékin (Gates) »

                Troisième point concernant la relation Chine, Arabie Saoudite (Pakistan).

                Le Vent de la Chine n° 16(XI)
                1er - 14 mai 2006

                Hu Jintao en Arabie Saoudite: le temps des autres alliances!

                Le Président Hu Jintao n’a pas tardé à retourner au roi d’Arabie Saoudite sa visite de janvier 2006: les 22-24 avril à Riyadh, il confirmait la priorité stratégique de leurs échanges. La venue d’Abdullah à Pékin avait suggéré une coopération d’envergure. Elle se précise aujourd’hui.

                Riyadh remplirait une réserve stratégique de pétrole sur la côte Est chinoise. Elle pourrait être sous propriété saoudienne, la Chine ne payant que ce qu’elle consomme, en cas de crise. Ce pétrole s’ajoutera aux 17% de ses imports en 2005, fournis par l’Arabie Saoudite (1er fournisseur) pour 14MM$. Moyennant quoi Aramco va signer son 2d projet de raffinerie avec Sinopec, cette fois à Qingdao —le 1er dans le Fujian, en 2005 avec Sinopec et Exxon, portait sur 3,6MM$. De même, la Sabic, 1er consortium non pétrolier du Proche-Orient (qui livre à la Chine l’an passé pour 2MM$ de produits, engrais notamment), prépare une JV pétrochimique en Chine, pour 5,2MM$.

                Au total, ce sont plus de 10MM$ que paiera la Chine sur ces trois chantiers : moyennant l’offre d’or noir à conditions hors commerce, l’Arabie Saoudite reçoit une part royale du marché chinois de la pétrochimie!

                NB : Une « telle réserve stratégique en dépôt» d’un pays chez un autre, serait une 1ère mondiale. Elle soulagerait Pékin qui retarde depuis deux ans son projet de réserve, tandis que ses importations au 1er trimeste ont augmenté de 25% à 37Mt, pour un coût en hausse de 75% !

                Or, politiquement aussi, Arabie Saoudite et Chine ont beaucoup à s’offrir! Hu a offert aux élus saoudiens un plan pour « contribuer à la paix» du Proche-Orient- notamment pour l’Irak, et la Palestine. Initiative qui suppose le soutien du monde arabe, et tendrait à évincer l’influence américaine. Chine et Arabie Saoudite veulent aussi échanger en défense, armement, et Riyadh enverrait ses imams et ses dollars auXinjiang, lui faire oublier ses tentations séparatiste et intégriste de Ben Laden.

                Surprenante alliance qui s’esquisse ainsi, entre la puissance émergente de l’Extrême-Orient et le pôle du monde islamique et de l’or noir. Elle n’est pas en soi déstabilisante pour l’Ouest car l’avenir reste ouvert. Mais couplée au réchauffement en cours entre Pékin et Moscou, elle ne pourra que préoccuper l Amérique de George W. Bush.

                A l’avenir celle-ci va devoir vérifier si les relations qu’elle bâtit avec le monde arabe, Pékin et Moscou sont assez amples, cordiales et égalitaires pour éviter des rapprochements dangereux, voire, une alliance contre elle !

                L´Arabie Saoudite et la Chine vont accroître leurs échanges
                Source: CCTV.com | 01-11-2010 14:07

                L'Arabie Saoudite et la Chine ont convenu de porter leurs échanges commerciaux bilatéraux à 60 milliards de dollars américains par année d'ici 2015. Des représentants des 2 pays se sont rencontrés dans la capitale de l'Arabie Saoudite pour la 4ème réunion de leur comité conjoint sur l'économie et le commerce.

                Le ministre chinois du Commerce Chen Deming et le ministre des Finances de l'Arabie Saoudite Ibrahim bin Abdel Aziz al-Asaf co-présidaient la rencontre.

                M. Chen s'est félicité de ce que les liens économiques et commerciaux croissent aussi rapidement entre les 2 pays. Il a fait remarquer que l'Arabie Saoudite était le plus important partenaire commercial de la Chine dans la région depuis 8 ans. Il a déclaré que les 2 parties avaient convenu de porter le volume commercial à 60 milliards de dollars d'ici 2015.

                Chen Deming, ministre chinois du Commerce

                "L'objectif de la Chine et de l'Arabie Saoudite était d'atteindre un volume commercial bilatéral de 40 milliards de dollars, et cet objectif a été atteint en 2008, 2 ans plus tôt que prévu. Le volume commercial a diminué en 2009, mais ce chiffre est calculé sur la base des vrais biens. Alors nous sommes confiants. Notre coopération commerciale est sur la bonne voie, et le restera après la crise financière internationale."

                Chen Deming a également proposé de maintenir à long terme et sur une base régulière les achats de pétrole brut, en plus d'accroître la coopération dans les domaines de l'exploitation de gaz, de projets gaziers et d'industries pétrochimiques. Il prône également la mise sur pied d'un mécanisme de coopération en matière de recours commerciaux.

                Chen a déclaré que les 2 parties devaient promouvoir l'élaboration d'un accord de libre-échange entre la Chine et le Conseil de coopération du golfe.

                Fei Lipu, CCTV
                Rédacteur: Zhang Yan
                La Chine et l’Arabie Saoudite renforcent leur coopération pétrolière
                23.01.2006

                En quête de pétrole pour nourrir sa forte croissance, la Chine, deuxième consommateur d’énergie au monde, a renforcé lundi sa coopération avec l’Arabie Saoudite, premier exportateur mondial de brut, à l’occasion de la première visite d’un souverain saoudien.

                Le roi Abdallah, arrivé dimanche à Pékin pour la première étape de trois jours de sa première tournée asiatique, a été reçu lundi après-midi par le président Hu Jintao au Grand palais du peuple de Pékin, sur la place Tiananmen.

                La venue à Pékin du roi d’Arabie est une nouvelle illustration de la « diplomatie du pétrole » menée sur tous les fronts par la Chine pour assurer diversification et sécurité de ses sources d’approvisionnement en énergie. Pékin et Ryad entretiennent des relations diplomatiques depuis 1990 : l’Arabie Saoudite fournit actuellement 16 % de besoin pétroliers chinois et l’Iran en fournit 13%. Tout le monde se prépare à un embargo sur le pétrole iranien et cherche à remplacer sans états d’âme les barils de l’Iran si ceux-ci venaient à manquer. La Russie profitera également de la disparition momentanée de ses amis iraniens du marché pétrolier.

                Par ailleurs pour certains analystes, l’Arabie saoudite souhaiterait désormais être moins dépendante de son allié traditionnel, les Etats-Unis et désirerait se tourner vers l’Est. En 2004, les Saoudiens avaient déclaré qu’ils souhaitaient fournir avant 2010, 50% des importations chinoises de pétrole brut.


                Sans trop m’avancer, je suppose de quel coté va pencher la balance.




                Dernière modification par Adama, 02 avril 2010, 11h05.

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                • #9
                  et oui les allié de mer.de de communiste, que du blabla , les iraniens se sont bien fais avoir avec ces p.utain de traite..
                  le mauvais cheval,
                  vive l'amerique
                  c'est la enieme fois que des communistes trahissent des musulmans, arabes et autres gars de cette region...
                  des sanctions ok mais pas trop dures !! c'est de l'humour chinois
                  et bien sure les USA and Co sont des amis fiables du monde musulman !!
                  heureusement que le ridicule ne tue pas.

                  la Chine dit oui à de nouvelles sanctions contre l'Iran.

                  des alliés comme la chine et la Russie restent instable et pas sure.

                  Heureusement qu'on est du bon coté.
                  soubhanalah, on est tres fier meme d'etre du cote de l'eternel agresseur du monde musulman.

                  Commentaire


                  • #10
                    Exact Amicalement ;-)
                    Cela veut simplement dire que tant que les pays musulmans ne constitueront pas une force de frappe importante, ils continueront à subir les aléas des décisions prises par les grandes puissances au gré de leurs intérêts.
                    Pourquoi Israël a droit de le posséder plus de 200 têtes nucléaires alors que des pays musulmans se font envahir pour possession "d'armes de destruction massives" fantôme ? ça l'histoire ne le dit pas...
                    Penser être à l'abris parce que l'on est allié des USA ou de la Russie dénote d'une profonde méconnaissance de l'histoire et de la géostratégie...

                    Ps: Je rappelle juste à certains de nos amis marocains que Saddam Hussein était aussi un allié des Américains...

                    Commentaire


                    • #11
                      Pourquoi Israël a droit de le posséder plus de 200 têtes nucléaires alors que des pays musulmans se font envahir pour possession "d'armes de destruction massives" fantôme ? ça l'histoire ne le dit pas...
                      ahh non c'est un trés mauvais exemple...israel s'est initié à la technologie nucléaire au milieu des années 50 avec l'aide des francais (bizarrement les americains etaient contre),à une époque ou il n'y avait ni traité de non prolifération wala ya7zanoun....et puis le pakistan est un pays musulman qui a l'arme nucleaire...so...

                      Commentaire


                      • #12
                        ahh non c'est un trés mauvais exemple...israel s'est initié à la technologie nucléaire au milieu des années 50 avec l'aide des francais (bizarrement les americains etaient contre),à une époque ou il n'y avait ni traité de non prolifération wala ya7zanoun....et puis le pakistan est un pays musulman qui a l'arme nucleaire...so..
                        Je te rappelle qu'officiellement Israël n'a pas l'arme atomique, et ce pays n'est pas signataire du traité de non-proliféeration des armes atomiques, so....
                        Pour ce qui est du Pakistan, il a unilatéralement déclaré un moratoire sur la non prolifération des armes atomiques en 98, so....

                        Pour le reste cette histoire de véto discrédite encore plus l'ONU....L'ordre du monde est atomique et c'est les mêmes qui continuent d'en bénéficier (parce qu'ils ont été les premiers à avoir l'arme atomique) qui veulent l'interdire aux autres...

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                        • #13
                          Selon un analyste, le consentement chinois de prendre part à cette réunion a pour but de limiter les sanctions contre l'Iran.

                          Il n'empêche que l'accord chinois de participer à cette rencontre laisse pour le moins perplexe lorsque l'on sait que la Chine "protectrice" du régime nord-coréen, n'accepterait pas que des mesures soient prises contre sa "pupille" (Corée du Nord) dont les dirigeants sont aussi, sinon davavantage, dangeureux que ceux de l'Iran.

                          Commentaire


                          • #14
                            Dandy

                            Pour ce qui est du Pakistan, il a unilatéralement déclaré un moratoire sur la non prolifération des armes atomiques en 98, so....
                            Certainement pour faire plaisir aux simples ingénus. Plus sérieusement.

                            La coopération militaire entre autre…

                            Le Pakistan entretient d'étroites relations militaires avec l'Arabie saoudite, apporte un vaste soutien, d'armes et de formation pour les Militaire de l'Arabie saoudite. Les pilotes de la force aérienne pakistanaise pilote des avions de la Royal Air Force Arabie pour repousser une incursion de Yémen du Sud en 1969. Dans les années 1970 et 1980, environ 15.000 soldats pakistanais ont été stationnés dans le royaume. En mai 1998, avant que le Pakistan ne fasse son premier essai nucléaire Chagai-I, l'Arabie saoudite a promis de fournir 50.000 barils de pétrole par jour gratuitement pour aider le Pakistan à faire face à la nature des sanctions économiques par la suite. L'Arabie saoudite a négocié l'achat de missiles balistiques pakistanais capable de transporter des ogives nucléaires. Il est également supposé que l'Arabie saoudite a secrètement financé le programme nucléaire du Pakistan et cherche à l'achat d’armes atomiques en provenance du Pakistan pour lui permettre de contrecarrer les menaces possibles à partir des arsenaux des armes de destruction massive possédé par l’Iran et Israël.

                            Sinon Israël ne réagirait autant ainsi…


                            Israel's Pain gets worse as Pakistan's WMD capability grows.

                            INDIA’S explosion of its nuclear device in 1974 drew only a customary “show of concern” from the western powers. But Pakistan’s nuclear programmeme, initiated in response to the Indian acquisition of nuclear weapons, evoked immediate and “serious concern” from the same quarters. Ever since, Pakistan has been under immense pressure to scrap its programm while the Indians remain uncensored.

                            That western attitude was discriminatory can also be seen by the religious colour it gave to Pakistan’s bomb by calling it an ‘Islamic bomb’. One has never heard of the Israeli bomb being called a ‘Jewish Bomb’, or the Indian bomb a ‘Hindu Bomb’, or the American and British bomb a ‘Christian Bomb’ or the Soviet bomb a ‘Communist’ (or an ‘Atheist) Bomb’. The West simply used Pakistan’s bomb to make Islam synonymous with aggression and make its nuclear programme a legitimate target, knowing full well that it merely served a defensive purpose and was not even remotely associated with Islam.

                            With India going nuclear soon after playing a crucial role in dismembering Pakistan in 1971 and enjoying an overwhelming conventional military superiority over Pakistan in the ratio of 4:1, a resource strapped Pakistan was pushed to the wall. Left with no other choice but to develop a nuclear deterrent to ward off future Indian threats, Prime Minister Zulfikar Ali Bhutto declared: “Pakistanis will eat grass but make a nuclear bomb”. And sure enough, they did it. Soon, however, both he and the nuclear programme were to become non-grata. Amid intense pressure, sanctions and vilification campaign, Henry Kissinger personally delivered to a defiant Bhutto the American threat: “give up your nuclear programme or else we will make a horrible example of you’.

                            And a horrible example was made of Bhutto for his defiance. But he had enabled Pakistan to become the 7th nuclear power in the world. This served Pakistan well. India was kept at bay despite temptations for military adventurism. Although there has never been real peace in South Asia, at least there has been no war since 1971.

                            Ignoring its security perspective, Pakistan’s western ‘friends’ refused to admit it to their exclusive nuclear club, though expediency made them ignore its ‘crime’ when it suited their purpose. But driven by identical geo-strategic interests in their respective regions and seeing Pakistan as an obstacle to their designs, Israel and India missed no opportunity to malign or subvert Pakistan’s programme.

                            Due to its defiance of Indian diktat, Pakistan is for India an obstruction in its quest for domination of South Asia and the Indian Ocean region. Israel’s apprehension of Pakistan’s military prowess is rooted in the strength Pakistan indirectly provides to Arab states with whom Israel has remained in a state of conflict. Conscious that several Arab states look up to Pakistan for military support in the event of threat to their security from Israel, it is unsettling for Israel to see a nuclear armed Pakistan.

                            Israel can also not overlook the fact that Pakistan’s military is a match to its own. The PAF pilots surprised Israeli Air Force, when flying mostly Russian aircraft they shot down several relatively superior Israeli aircraft in air combat in the 1973 Arab-Israel war, shattering the invincibility myth of Israeli pilots who believed themselves to be too superior in skill and technology. The Pakistanis happened to be assigned to Jordanian, Syrian and Iraqi air forces on training missions when the war broke out and, unknown to the Israelis then, they incognito undertook combat missions.

                            After successfully destroying Iraqi nuclear reactor in 1981, Israelis planned a similar attack on Pakistan’s nuclear facilities at Kahuta in collusion with India in the 1980s. Using satellite pictures and intelligence information, Israel reportedly built a full-scale mock-up of Kahuta facility in the Negev Desert where pilots of F-16 and F-15 squadrons practised mock attacks.

                            According to ‘The Asian Age’, journalists Adrian Levy and Catherine Scott-Clark stated in their book ‘Deception: Pakistan, the US and the Global Weapons Conspiracy’, that Israeli Air Force was to launch an air attack on Kahuta in mid-1980s from Jamnagar airfield in Gujarat (India). The book claims that “in March 1984, Prime Minister Indira Gandhi signed off (on) the Israeli-led operation bringing India, Pakistan and Israel to within a hair’s breadth of a nuclear conflagration”.


                            Another report claims that Israel also planned an air strike directly out of Israel. After midway and midair refueling, Israeli warplanes planned to shoot down a commercial airline’s flight over Indian Ocean that flew into Islamabad early morning, fly in a tight formation to appear as one large aircraft on radar screens preventing detection, use the drowned airliner’s call sign to enter Islamabad’s air space, knock out Kahuta and fly out to Jammu to refuel and exit.

                            According to reliable reports in mid-1980s this mission was actually launched one night. But the Israelis were in for a big surprise. They discovered that Pakistan Air Force had already sounded an alert and had taken to the skies in anticipation of this attack. The mission had to be hurriedly aborted.


                            Pakistan reminded the Israelis that Pakistan was no Iraq and that PAF was no Iraqi Air Force. Pakistan is reported to have conveyed that an attack on Kahuta would force Pakistan to lay waste to Dimona, Israel’s nuclear reactor in the Negev Desert. India was also warned that Islamabad would attack Trombay if Kahuta facilities were hit.

                            The above quoted book claims that “Prime Minister Indira Gandhi eventually aborted the operation despite protests from military planners in New Delhi and Jerusalem.”

                            McNair’s paper #41 published by USAF Air University (India Thwarts Israeli Destruction of Pakistan's "Islamic Bomb") also confirmed this plan. It said, “Israeli interest in destroying Pakistan’s Kahuta reactor to scuttle the "Islamic bomb" was blocked by India's refusal to grant landing and refueling rights to Israeli warplanes in 1982.” Clearly India wanted to see Kahuta gone but did not want to face retaliation at the hands of the PAF. Israel, on its part wanted this to be a joint Indo-Israeli strike to avoid being solely held responsible.

                            The Reagan administration also hesitated to support the plan because Pakistan’s distraction at that juncture would have hurt American interests in Afghanistan, when Pakistan was steering the Afghan resistance against the Soviets.

                            Although plans to hit Kahuta were shelved, the diatribe against Pakistan’s nuclear programme continued unabated. Israel used its control over the American political establishment and western media to create hysteria. India worked extensively to promote paranoia, branding Pakistan’s programme as unsafe, insecure and a threat to peace. The fact is otherwise. It is technically sounder, safer and more secure than that of India and has ensured absence of war in the region.

                            The US invasion of Afghanistan provided another opening for Indo-Israeli nexus to target Pakistan’s strategic assets. This time the strategy was to present Pakistan as an unstable state, incapable of defending itself against religious extremist insurgents, creating the spectre of Islamabad and its nuclear assets falling in their hands. Suggestions are being floated that Pakistan being at risk of succumbing to extremists, its nuclear assets should be disabled, seized or forcibly taken out by the US. Alternatively, an international agency should take them over for safe keeping.


                            Pakistan has determinedly thwarted the terrorist threat and foiled this grand conspiracy. Pakistan has made it clear that it would act decisively against any attempt by any quarter to harm its nuclear assets. But if the game is taken to the next level, the consequences would be disastrous for the region.

                            The Indo-Israeli nexus is losing initiative. But as long as the American umbrella is available Afghanistan will remain a playground for mischief mongers. It is now up to the US to walk its talk and prove its claim that it wants to see a secure and stable Pakistan. It must pull the plug on conspiracies to destabilize Pakistan.

                            By Shahid R. Siddiqi
                            Sunday, 14 Feb, 2010 | 01:00 AM PST
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                            Dernière modification par Adama, 02 avril 2010, 18h58.

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                            • #15
                              Suite 1

                              Traduction approximative pour non anglophone :

                              La douleur d'Israël s'aggrave autant que la capacité du Pakistan armes de destruction massive se développe.

                              L’explosion Inde de son dispositif nucléaire en 1974 a attiré seulement une coutumier »montrent de préoccupation" des puissances occidentales. Mais programme nucléaire du Pakistan, lancée en réponse à l'acquisition d'armes nucléaires indiennes, a évoqué immédiate et "grave préoccupation" de la même trimestre. Depuis, le Pakistan a été sous forte pression, d'abandonner son programme tandis que les Indiens restent non censurée.

                              Cette attitude de l'Ouest était discriminatoire peut également être vu par la couleur religieuse, il a donné à la bombe atomique pakistanaise en l'appelant une bombe «islamique». On n'a jamais entendu parler de la bombe israélienne est appelé un «juif Bomb ', ou la bombe indienne une« Hindu Bomb', ou la bombe américaine et britannique, un «chrétien Bomb" ou la bombe soviétique, un «communiste» (ou un «Athée ) Bomb '. L'Occident tout simplement utilisé la bombe atomique pakistanaise faire de l'islam synonyme d'agression et de rendre son programme nucléaire comme une cible légitime, en sachant très bien qu'il ne servait un but défensif et n'était pas même de loin, associée à l'Islam.

                              Avec l'Inde va bientôt nucléaires après avoir joué un rôle crucial dans démembrement du Pakistan en 1971 et bénéficiant d'une écrasante supériorité militaire conventionnelle sur le Pakistan dans le rapport de 4:1, une ressource attaché au Pakistan a été poussé contre le mur. Gauche, sans autre choix que de développer une force de dissuasion nucléaire pour parer les futures menaces indiennes, le Premier ministre Zulfikar Ali Bhutto a déclaré: «Pakistanais manger de l'herbe, mais fabriquer une bombe nucléaire". Et bien sûr, ils l'ont fait. Bientôt, cependant, lui et le programme nucléaire devait devenir non grata. Au milieu d'intenses pressions, les sanctions et la campagne de dénigrement, Henry Kissinger personnellement livré à une provocation Bhutto à la menace américaine: "renoncer à votre programme nucléaire, sinon on va faire un exemple horrible de vous».

                              Et un exemple horrible a été faite de Bhutto pour son défi. Mais il avait permis au Pakistan de devenir la puissance 7 nucléaire dans le monde. Cela a permis au Pakistan ainsi. L'Inde a été tenu en échec malgré les tentations de l'aventurisme militaire. Bien qu'il n'y ait jamais été une véritable paix en Asie du Sud, au moins il n'y a pas eu de guerre depuis 1971.


                              Ignorant son point de vue sécurité, le Pakistan de l'Ouest «amis» ont refusé de l'admettre à leur club nucléaire exclusive, si l'opportunisme fait de les ignorer son «crime» quand cela servait leurs fins. Mais conduit par les mêmes intérêts géo-stratégiques dans leurs régions respectives et de voir le Pakistan comme un obstacle à leurs desseins, Israël et l'Inde ne manque aucune occasion de calomnier ou dénaturer le programme du Pakistan.

                              En raison de son mépris des diktat indien, le Pakistan est un obstacle pour l'Inde dans sa quête pour la domination de l'Asie du Sud et la région de l'océan Indien. l'appréhension d'Israël de la prouesse militaire du Pakistan est enracinée dans la force du Pakistan fournit indirectement aux Etats arabes avec lesquels Israël est resté dans un état de conflit. Consciente que plusieurs Etats arabes cherchent au Pakistan pour un soutien militaire en cas de menace à leur sécurité d'Israël, il est troublant d'Israël de voir un Pakistan nucléaire armés.

                              Israël ne peut pas non plus négliger le fait que l'armée pakistanaise est un match à la sienne. Les pilotes PAF surpris par l'aviation israélienne, en volant des avions russes pour la plupart, ils abattu plusieurs avions israéliens relativement supérieure dans le combat aérien dans la guerre de 1973 israélo-arabe, brisant le mythe d'invincibilité des pilotes israéliens qui se croyaient trop supérieur dans les compétences et la technologie . Le Pakistanais est arrivé à être affecté à la Jordanie, les forces aériennes syriennes et irakiennes à des missions de formation lorsque la guerre a éclaté et, à l'insu des Israéliens, puis, ils incognito entrepris des missions de combat.

                              Après avoir réussi à détruire un réacteur nucléaire irakien en 1981, les Israéliens planifié une attaque similaire contre les installations nucléaires du Pakistan à Kahuta en collusion avec l'Inde dans les années 1980. Utilisation des images satellite et des informations du renseignement, Israël aurait construit une maquette grandeur nature en place d'installations Kahuta dans le désert du Néguev, où les pilotes des F-16 et F-15 escadrons pratiqué simulant des attaques.


                              Selon «The Asian Age», les journalistes Adrian Levy et Catherine Scott-Clark a déclaré, dans leur livre ‘Deception: Pakistan, the US and the Global Weapons Conspiracy, que l'aviation israélienne a été de lancer une attaque aérienne sur Kahuta à la mi-1980 de l'aérodrome de Jamnagar dans le Gujarat (Inde). Le livre prétend que «en Mars 1984, le Premier ministre Indira Gandhi signé (sur) l'opération israélienne menée poussant l'Inde, le Pakistan et Israël à l'intérieur d'un cheveu d'une conflagration nucléaire".


                              Un autre rapport affirme que Israël a également prévu un raid aérien directement d'Israël. Après mi-chemin et en vol de ravitaillement, l'aviation israélienne a prévu d'abattre en vol une compagnie aérienne commerciale au cours de l'océan Indien qui a volé en Islamabad tôt le matin, voler en formation serrée à apparaître comme un grand avion sur les écrans radar empêchant la détection, l'indicatif d'appel l'avion de ligne se sont noyés à pénétrer dans l'espace aérien d'Islamabad, knock out Kahuta et s'envoler au Jammu-et la sortie pour faire le plein.

                              Selon des informations fiables à la mi-1980 cette mission a été effectivement lancé une nuit. Mais les Israéliens ont eu toute une surprise. Ils ont découvert que le Pakistan Air Force avait déjà sonné l'alerte et a pris son envol en prévision de cette attaque. La mission a dû être annulée précipitamment.

                              Pakistan a rappelé aux Israéliens que le Pakistan n'était pas l'Irak et que le PAF n'était pas les forces aériennes irakiennes. Pakistan aurait transmis qu'une attaque sur Kahuta obligerait le Pakistan à détruire Dimona, un réacteur nucléaire d'Israël dans le désert du Néguev. L'Inde a également été averti que Islamabad attaquerait Trombay si les installations de Kahuta serait touchés.
                              Les demandes ci-dessus ouvrage cité que «le Premier ministre Indira Gandhi finalement avorté l'opération malgré les protestations des planificateurs militaires à New Delhi et Jérusalem."

                              papier McNair # 41 publié par l'USAF Air University ( India Thwarts Israeli Destruction of Pakistan's "Islamic Bomb") a également confirmé ce plan. Il dit, «l'intérêt d'Israël dans la destruction du réacteur Pakistan Kahuta de saborder la« bombe islamique »a été bloquée par le refus de l'Inde d'accorder droits d'atterrissage et de ravitaillement pour l'aviation israélienne en 1982." De toute évidence l'Inde voulait voir Kahuta disparu, mais ne voulait pas faire face à des représailles aux mains de la PAF. Israël, pour sa part souhaité que cela soit une grève conjointe indo-israélien pour éviter d'être seul responsable.

                              L'administration Reagan a également hésité à soutenir le plan, car la distraction du Pakistan à ce stade aurait nui aux intérêts américains en Afghanistan, lorsque le Pakistan a été directeur de la résistance afghane contre les Soviétiques.

                              Bien que les plans de frapper Kahuta ont été mises à l'écart, la diatribe contre le programme nucléaire du Pakistan a continué sans relâche. Israël a utilisé son contrôle sur l'establishment politique américain et les médias occidentaux pour créer l'hystérie. L'Inde a beaucoup travaillé pour promouvoir la paranoïa, l'image de marque du programme du Pakistan comme dangereux, l'insécurité et une menace à la paix. Le fait est autrement. Il est techniquement plus solide, plus sûr et plus sécurisé que celui de l'Inde et a assuré l'absence de guerre dans la région.
                              L'invasion américaine de l'Afghanistan a fourni une autre ouverture pour le programme NEXUS indo-israéliennes de cibler des actifs stratégiques du Pakistan. Cette fois, la stratégie était de présenter le Pakistan comme un état instable, incapable de se défendre contre les insurgés extrémistes religieux, créant le spectre d'Islamabad et de ses actifs nucléaires tomber entre leurs mains. Suggestions sont flottait que le Pakistan étant à risque de succomber à des extrémistes, ses actifs nucléaires doit être désactivé, saisis ou pris de force par les États-Unis. Par ailleurs, une agence internationale devrait les prendre en charge pour garder sûr.

                              Le Pakistan a résolument contrarié la menace terroriste et déjoué ce complot grand. Le Pakistan a indiqué clairement qu'il agirait de façon décisive contre toute tentative par un quart de nuire à ses actifs nucléaires.
                              Mais si le jeu est prise au niveau suivant, les conséquences seraient désastreuses pour la région.

                              Le lien indo-israélienne perd l'initiative. Mais tant que le parapluie américain est disponible Afghanistan restera une aire de jeux pour les fauteurs de méfait. Il appartient maintenant aux États-Unis à pied de son parler et de prouver son affirmation selon laquelle il veut voir un Pakistan stable et sûr. Il faut retirer la fiche sur les complots visant à déstabiliser le Pakistan.
                              Dernière modification par Adama, 18 février 2012, 16h38.

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