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un homme jugé pour avoir déféqué dans une salade
Lorient, France - Un homme a été condamné par le tribunal correctionnel à un mois de prison et 1.000 euros de dommages et intérêts à payer à son employeur après avoir déféqué dans une salade.
L'homme était employé par un restaurateur, qui lui aurait demandé de faire des heures supplémentaires sans les déclarer. Pour se venger, l'homme aurait alors déféqué dans la salade. C'est ainsi que le 14 janvier 2009, le restaurateur remarque une odeur suspecte dans un saladier de salade. Il remarque alors des excréments humains, et porte le saladier au commissariat le plus proche. Une analyse confirme alors la nature des substances retrouvées dans la salade.Interrogé, l'employé n'a pas tenté de nier les faits, expliquant avoir simplement souhaité de cette manière se venger de son patron, afin de lui causer quelques problèmes avec les services d'hygiène oeuvrant dans la restauration. Le restaurateur, quant à lui, explique que l'homme n'avait simplement pas apprécié recevoir un avertissement pour une absence. Finalement, la justice a tranché, condamnant l'employé à un mois de prison avec sursis ainsi que 1.000 euros de dommages et intérêts à payer à l'employeur.
yahoo news
L'homme était employé par un restaurateur, qui lui aurait demandé de faire des heures supplémentaires sans les déclarer. Pour se venger, l'homme aurait alors déféqué dans la salade. C'est ainsi que le 14 janvier 2009, le restaurateur remarque une odeur suspecte dans un saladier de salade. Il remarque alors des excréments humains, et porte le saladier au commissariat le plus proche. Une analyse confirme alors la nature des substances retrouvées dans la salade.Interrogé, l'employé n'a pas tenté de nier les faits, expliquant avoir simplement souhaité de cette manière se venger de son patron, afin de lui causer quelques problèmes avec les services d'hygiène oeuvrant dans la restauration. Le restaurateur, quant à lui, explique que l'homme n'avait simplement pas apprécié recevoir un avertissement pour une absence. Finalement, la justice a tranché, condamnant l'employé à un mois de prison avec sursis ainsi que 1.000 euros de dommages et intérêts à payer à l'employeur.
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