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02-04-2010
ELLES ONT EXAMINÉ LES NOUVELLES MESURES DE LA LFC 2009
La banque Palatine aide les PME locales à s'adapter aux mesures algériennes visant à contrôler les importations. Comment s'adapter aux nouvelles mesures prises, l'an dernier, par l'Etat algérien pour limiter les importations sans valeur ajoutée ? Comment investir en toute confiance ?
Telles sont les questions qui ont été abordées, à Marseille, le 1er avril, lors du débat organisé par la banque Palatine pour informer et rassurer les patrons des PME régionales, a rapporté hier le journal La Provence.
La rencontre a été organisée par la banque Palatine (filiale à 100% de la BPCE). Fort de son réseau de 51 agences (dont 12 dans la région sud-est), de ses 7300 clients PME, la banque veut accompagner les entrepreneurs dans la réalisation de leurs projets en Algérie.
Le directeur de la région sud-est de la banque Palatine, Philippe Pettini, a estimé que «l'axe Euro-Méditerranée est un axe important». Et d'ajouter :
«Nous avons voulu donner une vision plus claire de la nouvelle loi fiscale algérienne, obligeant notamment les exportateurs à utiliser le crédit documentaire, une technique de paiement plus contraignante où la banque de l'acheteur a un rôle prépondérant. Nous avons également voulu montrer que les relations business France-Algérie ont de l'avenir.»
Abderrahmane Benkhalfa, délégué général de l'Association professionnelle des banques et établissements financiers algériens (Abef), a participé à cet évènement. Il a souligné le faible taux d'endettement extérieur du pays (3% du PIB), ajoutant que les importations ont été multipliées par quatre depuis 2000. L'Algérie souhaite accueillir davantage d'IDE, étant donné les disponibilités financières et les opportunités d'affaires, les plus intéressantes dans le pourtour méditerranéen, surtout en cette période de grave crise économique.
F. B.
LE TEMPS DZ
ELLES ONT EXAMINÉ LES NOUVELLES MESURES DE LA LFC 2009
La banque Palatine aide les PME locales à s'adapter aux mesures algériennes visant à contrôler les importations. Comment s'adapter aux nouvelles mesures prises, l'an dernier, par l'Etat algérien pour limiter les importations sans valeur ajoutée ? Comment investir en toute confiance ?
Telles sont les questions qui ont été abordées, à Marseille, le 1er avril, lors du débat organisé par la banque Palatine pour informer et rassurer les patrons des PME régionales, a rapporté hier le journal La Provence.
La rencontre a été organisée par la banque Palatine (filiale à 100% de la BPCE). Fort de son réseau de 51 agences (dont 12 dans la région sud-est), de ses 7300 clients PME, la banque veut accompagner les entrepreneurs dans la réalisation de leurs projets en Algérie.
Le directeur de la région sud-est de la banque Palatine, Philippe Pettini, a estimé que «l'axe Euro-Méditerranée est un axe important». Et d'ajouter :
«Nous avons voulu donner une vision plus claire de la nouvelle loi fiscale algérienne, obligeant notamment les exportateurs à utiliser le crédit documentaire, une technique de paiement plus contraignante où la banque de l'acheteur a un rôle prépondérant. Nous avons également voulu montrer que les relations business France-Algérie ont de l'avenir.»
Abderrahmane Benkhalfa, délégué général de l'Association professionnelle des banques et établissements financiers algériens (Abef), a participé à cet évènement. Il a souligné le faible taux d'endettement extérieur du pays (3% du PIB), ajoutant que les importations ont été multipliées par quatre depuis 2000. L'Algérie souhaite accueillir davantage d'IDE, étant donné les disponibilités financières et les opportunités d'affaires, les plus intéressantes dans le pourtour méditerranéen, surtout en cette période de grave crise économique.
F. B.
LE TEMPS DZ