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Bergerat Monnoyeur continue son déploiement en Algérie
Après Oran et Sétif, une nouvelle succursale à Constantine
En Algérie, BMA évolue, selon son directeur général, dans un environnement propice aux affaires. Il s’agit du segment qui connaît le meilleur développement. Il bénéficie des grands projets structurants lancés, ces dix dernières années, dans le bâtiment et les travaux publics. Le représentant exclusif en Algérie des marques Caterpillar, Mercedes Benz Pl et Bus, Unimog, Hyster, Mecalac et Sullair, a inauguré, mercredi dernier, son nouveau site dans la capitale de l’est du pays.
“Ce nouvel établissement est un investissement qui viendra consolider notre réseau de concessionnaires intégrés en Algérie. Ce sera pour nous le moyen d’assurer une présence permanente en mettant nos marques en valeur”, nous expliquera Christophe Richard, le directeur de Bergerat Monnoyeur Algérie (BMA).
Quand on sait que pour le client, être près de son fournisseur d’engins, de pièces de rechange ou des services d’entretien est un atout considérable dans la conduite de projets, où le facteur délais de réalisation est très important aussi bien pour la notoriété de l’entreprise de réalisation que pour les coûts finaux, on saisi l’importance de cet investissement.
C’est ce qui fait dire toujours à Christophe Richard que “la plus grande priorité (chez BMA, ndlr) est de s’assurer qu’il s’agit d’une infrastructure adéquate, mise en place pour garantir un service de qualité pour chaque client et à chaque stade du processus d’achat et de service après-vente”.
C’est cette présence de proximité avec ses clients potentiels et dans un marché en forte croissance que gagne BMA par ce déploiement. Pour la localité de Ben-Badis, qui accueille le site, elle bénéficie d’une nouvelle assiette fiscale qui n’est pas négligeable du fait que BMA est une société de droit algérien et aussi du fait qu’elle pèse un chiffre d’affaires en Algérie estimé à 10 milliards de dinars. Pour l’ensemble de la collectivité constantinoise, il s’agit d’un nouveau gisement d’emplois. La vingtaine de postes créés au lancement passeront vite, nous assure-t-on, à une cinquantaine.
Pour rappel, la toute nouvelle succursale de Constantine, qui s’étend sur 2 000 m2, comprend 1 000 m2 d’ateliers dont un dédié à Caterpillar et un autre à Mercedes Benz, 300 m2 de bureaux et 120 m2 de magasins de pièces de rechange.
Le tout, localisé dans la zone industrielle d’Ibn-Badis, dans la région du Khroub.
Avec plus de 12% de parts du marché algérien, BMA se retrouve leader dans son secteur. Une place arrachée grâce au professionnalisme de cette “affaire de famille”, certes, mais aussi à la réputation des marques représentées et à laquelle s’ajoute un héritage culturel positif.
En effet, la firme, ou du moins les marques qu’elle représente, est en Algérie depuis les années 1970, du temps de la mise en place du tissu des industries mécaniques dans le cadre de la politique des “industries industrialisantes”.
En Algérie, BMA évolue, selon son directeur général, dans un environnement propice aux affaires. Il s’agit du segment qui connaît le meilleur développement. Il bénéficie des grands projets structurants lancés, ces dix dernières années, dans le bâtiment et les travaux publics. Un élan qui arrive à maintenir le cap ces deux dernières années, malgré la tendance au désinvestissement constatée à travers le monde à cause de la dernière crise financière
Liberté
Après Oran et Sétif, une nouvelle succursale à Constantine
En Algérie, BMA évolue, selon son directeur général, dans un environnement propice aux affaires. Il s’agit du segment qui connaît le meilleur développement. Il bénéficie des grands projets structurants lancés, ces dix dernières années, dans le bâtiment et les travaux publics. Le représentant exclusif en Algérie des marques Caterpillar, Mercedes Benz Pl et Bus, Unimog, Hyster, Mecalac et Sullair, a inauguré, mercredi dernier, son nouveau site dans la capitale de l’est du pays.
“Ce nouvel établissement est un investissement qui viendra consolider notre réseau de concessionnaires intégrés en Algérie. Ce sera pour nous le moyen d’assurer une présence permanente en mettant nos marques en valeur”, nous expliquera Christophe Richard, le directeur de Bergerat Monnoyeur Algérie (BMA).
Quand on sait que pour le client, être près de son fournisseur d’engins, de pièces de rechange ou des services d’entretien est un atout considérable dans la conduite de projets, où le facteur délais de réalisation est très important aussi bien pour la notoriété de l’entreprise de réalisation que pour les coûts finaux, on saisi l’importance de cet investissement.
C’est ce qui fait dire toujours à Christophe Richard que “la plus grande priorité (chez BMA, ndlr) est de s’assurer qu’il s’agit d’une infrastructure adéquate, mise en place pour garantir un service de qualité pour chaque client et à chaque stade du processus d’achat et de service après-vente”.
C’est cette présence de proximité avec ses clients potentiels et dans un marché en forte croissance que gagne BMA par ce déploiement. Pour la localité de Ben-Badis, qui accueille le site, elle bénéficie d’une nouvelle assiette fiscale qui n’est pas négligeable du fait que BMA est une société de droit algérien et aussi du fait qu’elle pèse un chiffre d’affaires en Algérie estimé à 10 milliards de dinars. Pour l’ensemble de la collectivité constantinoise, il s’agit d’un nouveau gisement d’emplois. La vingtaine de postes créés au lancement passeront vite, nous assure-t-on, à une cinquantaine.
Pour rappel, la toute nouvelle succursale de Constantine, qui s’étend sur 2 000 m2, comprend 1 000 m2 d’ateliers dont un dédié à Caterpillar et un autre à Mercedes Benz, 300 m2 de bureaux et 120 m2 de magasins de pièces de rechange.
Le tout, localisé dans la zone industrielle d’Ibn-Badis, dans la région du Khroub.
Avec plus de 12% de parts du marché algérien, BMA se retrouve leader dans son secteur. Une place arrachée grâce au professionnalisme de cette “affaire de famille”, certes, mais aussi à la réputation des marques représentées et à laquelle s’ajoute un héritage culturel positif.
En effet, la firme, ou du moins les marques qu’elle représente, est en Algérie depuis les années 1970, du temps de la mise en place du tissu des industries mécaniques dans le cadre de la politique des “industries industrialisantes”.
En Algérie, BMA évolue, selon son directeur général, dans un environnement propice aux affaires. Il s’agit du segment qui connaît le meilleur développement. Il bénéficie des grands projets structurants lancés, ces dix dernières années, dans le bâtiment et les travaux publics. Un élan qui arrive à maintenir le cap ces deux dernières années, malgré la tendance au désinvestissement constatée à travers le monde à cause de la dernière crise financière
Liberté