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Harcèlement judiciaire

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  • Harcèlement judiciaire

    Pour une histoire de divorce banale et de garde d’enfant que la justice a pourtant tranché en sa faveur, Ali Abdesslam, installé en France, risque la prison.
    ************************************************** ******
    Le dossier en lui-même est limpide, mais il est devenu complexe en raison, comme l’affirme notre interlocuteur, fort des décisions de justice, des « injonctions, des complicités et du harcèlement judiciaire ». Ayant frappé à toutes les portes des institutions en Algérie et dans l’Hexagone, M. Abdesslam se dit outré que « la loi continue d’être piétinée pour des desseins inavoués ». La genèse des faits : le 15 septembre 2003, la procédure du divorce a été enclenchée au tribunal de Nedroma par M. Abdesslam. Moins de dix jours plus tard, son beau-père dépose plainte contre lui pour menace et tentative d’assassinat, une accusation considérée comme absurde par le gendre. Mais, curieusement, en janvier 2004, un mandat d’arrêt lui a été signifié « sans que j’en sois convoqué. Même notre consulat en France n’en a pas été informé ». Le 17 janvier, le divorce est prononcé. Une décision qui, semble-t-il, a généré de l’acharnement chez la belle-famille. « C’est incompréhensible, alors que mon ex-épouse est installée en France, depuis le 26 septembre 2003, les plaintes continuent de pleuvoir de mon beau-père et d’une personne que je ne connais pas, à partir de l’Algérie. » Le 12 août 2002, de l’union naît un enfant, Mohamed, que le père a pu récupérer le 22 novembre 2004 après qu’il eut été retenu plus d’une année par les beaux-parents en Algérie. Les malheurs de M. Abdesslam ne s’estompent pas pour autant. Les plaintes, signées par le beau-père, continuent d’être enregistrées au niveau du procureur de la République et du juge d’instruction de Nedroma de l’époque, avec à chaque fois, des « motifs fallacieux, alors que mes plaintes pour non-présentation de l’enfant étaient classées sans suite ». Cependant, le 21 janvier 2005, un tribunal en France lui a confié la garde de son fils avec un droit de visite pour la mère. Mais, aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce jugement qui aurait pu être le dernier épisode d’un long feuilleton fastidieux, n’est en fait que la perpétuation de l’enchevêtrement d’une affaire à moult bouleversements. Malgré les ordonnances du tribunal de Nedroma, ainsi qu’une grosse de jugement pour la récupération de son fils, le 18 novembre 2005, un nouveau mandat d’arrêt est prononcé contre M. Abdesslam. « C’est scandaleux et inadmissible toute cette cabale judiciaire, c’est du harcèlement moral de la part du tribunal de Nedroma », affirme, hors de lui, celui qui se sent victime de la justice de son propre pays. Las, M. Abdesslam a fini par saisir le Conseil supérieur de la magistrature à Alger pour l’ouverture d’une enquête. « Mon enfant, qui est scolarisé, est bien pris en charge chez moi, sa maman jouit de son droit de visite en toute sérénité, alors pourquoi tout cet acharnement judiciaire ? », s’interroge M. Abdesslam, l’air impuissant.

    El watan
    Passi passi werrana dipassi!

  • #2
    D'apres ce que je comprends, si j'ai bien lu. Le monsieur et son ex epouse reside en france, mais la belle famille en algerie. Mais ces derniers porte plainte contre lui pour des motifs falacieux, ahhhh la belle mère.
    A la rigeur on peut comprendre la haine des beaux parents, ce qui est curieux c'est que le procureur de la république en poursuivant cette affaire se donne en spectacle aux yeux des juridiction etrangère.....
    C'est honteux..... HCHOUMAAAAA.

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    • #3
      C'est fou ce que la haine et le mépris peuvent engendrer comme mal ! . Du moment qu’ils se trouvent en France, que la maman n'a rien réclamé et qu'elle puis voire son enfant comme elle le souhaite...je ne comprends pas la colère du beau père.

      Merci pour l'info.

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      • #4
        ca m'etonne pas je suis passé au tribunal y'a 2 ans car mon ex me poursuivait pour abandon de famille mais heureusement le procureur a bien vu que je n'ai jamais abandonné ma fille !!!!

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        • #5
          Pourquoi tant de haine si les parents ont trouvé un accord ? Quel plaisir peut on trouvé á vouloir faire du mal ? Il faut penser á l'enfant et pas aux griefs personnels.

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