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Après L’assassinat De 7 Gardes Communaux à Tifra

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  • Après L’assassinat De 7 Gardes Communaux à Tifra

    APRÈS L’ASSASSINAT DE 7 GARDES COMMUNAUX À TIFRA
    Ath Waghlis et Ath Mansour en état de choc
    05 Avril 2010 - Page : 2
    Lu 1081 fois Les habitants des localités d’Akfadou, Chemini et Mezgoug, étaient en deuil. Ils venaient de perdre sept de leurs valeureux fils.
    Les ârchs d’Ath Waghlis et d’Ath Mansour étaient encore sous le choc hier. Loin de se résigner, les habitants de ces localités, Akfadou Chemini et Mezgoug, étaient en deuil. Ils venaient de perdre sept de leurs valeureux fils. Des fils qui ont pris les armes pour défendre leur patrie et leur honneur menacés depuis l’avènement du terrorisme.
    Arrivant à peine à croire ce qui venait d’arriver, ces humbles et courageux habitants prenaient toutefois la mesure de la baisse de vigilance et ne juraient que par la vengeance. C’est l’impression qui se dégageait hier lors de notre passage. Colère, incompréhension, vengeance étaient les maîtres mots des citoyens, tous âges confondus. En ce jour de printemps, la tristesse et la colère ont remplacé une joie habituelle dans ces contrées au paysage féerique. Hier, elles étaient aussi affectées, affligées que l’étaient leurs habitants. Nous sommes le 4 avril. Il est 7 heures du matin. Nous arrivons sur les lieux de l’attentat. Sur notre chemin, des patrouilles militaires stationnaient aux abords de la route menant vers le douar Ikedjan et Akfadou pendant que deux hélicoptères bombardaient le flan montagneux d’Adekar. Abordant un virage, nous fûmes surpris par quelques débris sur la chaussée. Nous apprendrons quelques minutes après que c’étaient les traces d’un engin dissimulé par les terroristes pour protéger leur fuite. Deux militaires y ont été blessés environ une heure après l’attentat. Quelques centaines de mètres plus loin, nous atteignons l’endroit exact de l’embuscade. Une succession de virages très serrés et aux alentours fortement boisés.Liste des victimes

    Hamou Tahtah, 41 ans
    Mustapha Hamamouche, 47 ans
    Rachid Adjaout, 47 ans
    Saïd Adjaout, 56 ans
    Madjid Hadid, 62 ans
    Abdelaziz Hadid, 61 ans
    Mohand Lamine Djoudad, 68 ans

    C’était au niveau du virage le plus dangereux que les sanguinaires du Gspc sont entrés en action. Sur place quelques citoyens étaient là. Mines crispées, ils essayaient de deviner le déroulement de l’attaque. Parmi eux se trouvait un patriote. Encore sous le choc, il nous raconte ce qui s’est réellement passé. «Nous revenions de notre mission de surveillance à bord de deux bus. Celui dans lequel je me trouvais s’est d’abord rendu à Hammam Sillal pour me déposer avant de poursuivre cette même route», raconte-t-il. Ses yeux, remplis de larmes, il poursuit: «N’eut été le petit détour chez moi, le carnage aurait été plus lourd.» Les deux fourgons transportaient en tout 16 patriotes qui venaient d’être relevés par une autre équipe. «Je n’avais pas encore quitté le fourgon que nous entendîmes des rafales d’armes automatiques et nous comprîmes que quelque chose de grave venait de se produire, nous avons rebroussé chemin pour découvrir le massacre. Sept de nos camarades tous morts, le huitième s’en est sorti de justesse et a pris la fuite avec son arme.» En fait, les terroristes avaient d’abord visé le chauffeur qui perdit le contrôle du véhicule, puis plongea dans un ravin, les terroristes le suivirent pour achever presque tout le monde, exception faite de Larbi qui n’a pas pu riposter au vu du nombre de sanguinaires. Les sept patriotes tués sur le coup travaillaient pour une société privée de sécurité. Ils assuraient la sécurité d’une entreprise turque en charge de la réalisation sur le territoire de Tifra d’une ligne de haute tension. Il était écrit ce jour-là que les deux cousins Hadid et si Madjid de Chemini, Hamou de Mezgoug, Rachid Saâdi et Mustapha d’Akfadou n’allaient plus revoir leurs familles, leurs enfants car ils étaient tous mariés et père de famille. Au chef-lieu de la commune d’Akfadou, une atmosphère de tristesse régnait. Les habitants n’avaient de mots que pour cet attentat. Là aussi, on s’interrogeait. On se demandait surtout comment cela a pu arriver; on évoquait les défunts et leur bravoure. Au village d’Imaghdassen, la colère était à son comble. Ce village qui a déjà été ciblé par les terroristes durant l’année 1995, arrive à peine à se contenir. Au domicile des deux défunts, la famille, les amis et parents étaient tous venus apporter soutien et réconfort à la famille Adjaout qui vient de perdre deux de ses trois fils. Cris de douleur, larmes, l’atmosphère était indescriptible. Tout le monde attendait l’arrivée des corps tout en se remémorant l’enlèvement d’un des leurs il y a quelques années. Même scène au village Mazoura, lui aussi visité par les terroristes à plusieurs reprises. Ces deux villages sont situés à proximité de la forêt d’Akfadou.
    Les corps n’arriveront qu’en fin d’après-midi, annonce un membre de la famille. Le frère rescapé était à l’hôpital pour les formulaires d’usage. Nous décidons de nous rendre à Chemini. Passage obligé par Tibane, nous rendons visite à la famille de Hamou. Mezgoug ne réalisait pas. Connu pour son patriotisme, l’amour des autres, la disparition du défunt laissait comme un vide ressenti par toute une population. A Chemini, la famille Hadid pleurait ses deux fils. Toute la commune s’interrogeait sur le sort de ses enfants. Au chômage galopant s’est ajouté la mort qui n’aurait jamais eu lieu, du moins de cette manière, si les défunts travaillaient ailleurs. A travers cette attaque meurtrière, les terroristes cherchaient des armes et des munitions. Ils ont récupéré en tout sept kalachnikovs avec leurs munitions. Ils ont disparu dans la nature pour être repérés hier matin se dirigeant vers le massif forestier d’Adekar. Les soldats de l’ANP n’ont pas cessé hier de bombarder cette région. Les auteurs de l’embuscade avaient visiblement bien préparé le coup. Ils avaient non seulement établi le plan d’attaque mais aussi celui de leur fuite.

    l'expression

    Paix à leurs âmes! et courage à leurs familles!!!


  • #2
    Après l’assassinat de sept gardes communaux et un militaire à Tifra Le groupe terroriste encerclé par les forces de sécurité
    Les forces combinées, déterminées à mettre hors d’état de nuire ce groupe de fondamentalistes, se sont lancées dans une opération de traque dans toute la zone comprise entre Adekar, Tifra et Akfadou au moyen d’hélicoptères de combat.
    Sept gardes communaux et un militaire ont été tués par un groupe terroriste à Fellih dans la commune de Tifra samedi en fin d’après-midi. Les patriotes étaient à bord d’un fourgon lorsqu’une mine a explosé. Embusqué, le groupe terroriste voulait achever les survivants avec des tirs à l’arme automatique. Deux des gardes communaux ont réussi à prendre la fuite à la faveur des terrains accidentés. Le fourgon roulait sur un chemin communal reliant Tifra à Akfadou. Des éléments de l’armée, relevant d’un détachement militaire cantonné dans la région, se sont rendus sur les lieux pour récupérer les corps des victimes. Ils ont été surpris à leur tour par l’explosion d’une bombe actionnée à distance au passage de leurs véhicules. La bombe fera deux blessés et un mort de plus. Les forces combinées, déterminées à mettre hors d’état de nuire ce groupe de fondamentalistes, se sont lancées dans une opération de traque dans toute la zone comprise entre Adekar, Tifra et Akfadou au moyen d’hélicoptères de combat. Le groupe serait encerclé, selon nos sources, et des échanges de coups de feu ont été entendus par les populations résidant dans les zones voisines. Hier matin, l’opération de recherche se poursuivait toujours, nous dira une source proche des services de sécurité, sans donner d’autres détails tant que la chasse aux terroristes n’est pas finie. Des terroristes qui semblent trouver un terrain favorable dans la région dont les reliefs sont accidentés et difficiles d’accès aux forces de sécurité à pied. Ceci, d’autant que les risques sont très grands à cause des mines enfouies un peu partout et difficiles à détecter avec les appareillages. C’est ainsi que des populations hésitent depuis quelque temps à se rendre dans leurs champs à cause de ces engins explosifs qui ont fait beaucoup de morts ces six derniers mois

    le jour d'algérie

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    • #3
      c'est bizarre a chaque fois qu'il y a un massacre le groupe terroriste est encerclé puis apres plus aucune nouvelle, comme si ce groupe ait pu prendre la fuite..
      l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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      • #4
        Après l’assassinat de sept gardes communaux et un militaire à Tifra Le groupe terroriste encerclé par les forces de sécurité
        Les patriotes étaient à bord d’un fourgon lorsqu’une mine a explosé. Embusqué, le groupe terroriste voulait achever les survivants avec des tirs à l’arme automatique.
        Deux des gardes communaux ont réussi à prendre la fuite à la faveur des terrains accidentés.
        Il s'agit de gardes communaux ou de patriotes ?
        Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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        • #5
          Il s'agit de gardes communaux ou de patriotes ?
          il a tente cet adjectif pour exprimer le patriotisme des gardes communaux je dis peut être.
          Hum ! c'est embarrassant.......(dixit Firefox)

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          • #6
            il a tente cet adjectif pour exprimer le patriotisme des gardes communaux je dis peut être.
            Dans les journaux sérieux, on parle de 7 GLD appelés communément patriotes, d'un seul rescapé et 3 militaires blessés, ces derniers sont venus en renfort, surpris par une explosion d'une bombe.
            Donc ni adjectif, ni walou, une contradiction ou peut être il ne connait pas la différence.
            Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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            • #7
              bonsoir!

              Ils s'agit d'un groupe de patriotes constitué a l'origine par l'ex maire de Chemini,ils etaients employés par l'entreprise turque qui réalise la ligne a haute tension,pour assurer leur securité c'est enquelque sorte une milice privé armée par l'Etat qui participe quand l'armée leur demande aux operations militaires .Ce sont de braves gars ,deux freres figure et un de leur cousin figure sur la liste des victimes,paix a leur ame et courage a leur famille
              Je suis responsable de ce que je dit.Je ne suis pas responsable de ce que tu comprends !

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              • #8
                Si ils ne seront pas abattus, RKHISS DE BOUTEF va les amnestié dans six mois avec un salaire et une prime pauvre Algerie, elle a échoué dans tous les domaines.
                Faute de grives , nous mangeons des Merles

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