AFP
05/04/2010 | Mise à jour : 15:36 Réagir
Les prix du pétrole montaient nettement aujourd'hui à l'ouverture des échanges à New York, atteignant des sommets en un an et demi, dopés par l'amélioration du marché de l'emploi aux Etats-Unis.
Vers 13H05 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en mai s'échangeait à 85,79 dollars, en hausse de 92 cents par rapport à la clôture de jeudi.
Il a touché dans les tout premiers échanges de la séance 85,97 dollars, son plus haut niveau depuis le 9 octobre 2008.
Le marché était fermé vendredi en raison du Vendredi Saint et les opérateurs n'avaient donc pas eu l'occasion de réagir aux statistiques mensuelles de l'emploi aux Etats-Unis le jour de leur diffusion.
Elles ont révélé que l'économie du premier pays consommateur d'or noir avait créé 162.000 emplois nets en mars, un chiffre qu'elle n'avait pas connu depuis trois ans.
Même s'ils sont un peu moins bons qu'attendu par les économistes, "les chiffres de l'emploi ont été bien reçus par le marché", a observé John Kilduff, de Round Earth Capital. "Une amélioration du marché de l'emploi signifie une amélioration de la demande d'essence, c'est ce qui soutient les prix", a-t-il expliqué.
La demande d'énergie, qui vient de subir deux années de forte baisse, peine à rebondir aux Etats-Unis, comme dans la plupart des pays développés, malgré la reprise économique.
05/04/2010 | Mise à jour : 15:36 Réagir
Les prix du pétrole montaient nettement aujourd'hui à l'ouverture des échanges à New York, atteignant des sommets en un an et demi, dopés par l'amélioration du marché de l'emploi aux Etats-Unis.
Vers 13H05 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en mai s'échangeait à 85,79 dollars, en hausse de 92 cents par rapport à la clôture de jeudi.
Il a touché dans les tout premiers échanges de la séance 85,97 dollars, son plus haut niveau depuis le 9 octobre 2008.
Le marché était fermé vendredi en raison du Vendredi Saint et les opérateurs n'avaient donc pas eu l'occasion de réagir aux statistiques mensuelles de l'emploi aux Etats-Unis le jour de leur diffusion.
Elles ont révélé que l'économie du premier pays consommateur d'or noir avait créé 162.000 emplois nets en mars, un chiffre qu'elle n'avait pas connu depuis trois ans.
Même s'ils sont un peu moins bons qu'attendu par les économistes, "les chiffres de l'emploi ont été bien reçus par le marché", a observé John Kilduff, de Round Earth Capital. "Une amélioration du marché de l'emploi signifie une amélioration de la demande d'essence, c'est ce qui soutient les prix", a-t-il expliqué.
La demande d'énergie, qui vient de subir deux années de forte baisse, peine à rebondir aux Etats-Unis, comme dans la plupart des pays développés, malgré la reprise économique.
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